Chapitre 2

593 Words
Le bel inconnu aux dents blanches, Arthur, n'a pas attendu longtemps pour que nous nous faufilions hors de cette soirée puant le fric. Nous sommes montés dans un Mercedes noir aux vitres tintées et il a foncé à 130km/h dans les rues de Paris pour nous emmener chez lui. Moi qui pensais que cela allait être une épreuve inouïe pour les convaincre qu'on aille chez eux, finalement c'est un jeu d'enfant. Mais étrangement cela ne me rassure pas, parce qu'après tout je ne le connais pas. Il est peut être taré et dangereux. Si c'est le cas je suis déjà morte parce qu'il est trop tard pour faire marche arrière: nous sommes déjà dans son parking privé. Il n'a pas dit un mot durant le trajet, se contant de fixer la route avec une intensité effrayante. Ses muscles des bras contractés, et ses mains puissantes agrippants le volant. Je n'ai pût m'empêcher d'imaginer qu'au lieu du volant, il tenait mes seins, entre ses doigts féroces. Je veux ouvrir la portière mais il ne m'en laisse pas le temps et le fait à ma place. Je sors de la voiture et sans hésiter une seconde il me soulève du sol et me met sur son épaule. J'ai le souffle coupé. Nous prenons l'ascenseur et il me lâche. Mais à peine ai-je enfin les pieds sur la terre ferme qu'il me plaque contre la parois de l'ascenseur et se met à dévorer ma bouche. Il aspire ma lèvre inférieur et ma langue avec tellement d'envie que c'est à croire qui n'a pas touché une femme depuis une décennie. Je me laisse faire, ne sachant pas trop comment réagir. Lorsque les portes de l'ascenseur s'ouvrent enfin directement dans l'appartement, sa main a déjà glissé sous ma robe et triture l'élastique de mon tanga. Je le repousse légèrement pour reprendre ma respiration. Si il continue comme ça je vais mourir étouffée dans ses baisers. Il me fait avancer dans le salon et je tombe à la renverse sur un canapé de cuir froid. Mon corps se recouvre de frisson, sûrement dû à la différence de température entre le canapé et son corps brûlant collé au miens. En quelques secondes mon tanga se retrouve par terre et il a baissé son pantalon de costards ainsi que son boxer. Je ne peux m'empêcher de rougir jusqu'aux oreilles en voyant son sexe dressé devant moi. Il attrape une c****e posée sur l'immense bibliothèque (comme si il avait prévu le coup depuis longtemps) et l'enfile. Il se faufile entre mes cuisses et avant que je n'ai le temps de réfléchir d'avantage il me pénètre avec fougue. Il n'y est pas allé particulièrement brutalement, mais mon sexe était loin d'être humide et excité et une douleur vive me transperce. Je contracte mon vagin par réflexe, ce qui n'a pour seul effet que d'accentuer encore plus la douleur. -On p****n Méduseee... Sa voix est rauque et son souffle court. Il prononce mon surnom avec désir. À cet instant ma seule envie est de l'insulter, de le forcer à retirer sa queue de ma chatte et de partir en courant d'ici, me réfugier dans les bras de l'homme que j'aime. Mais je ne peux pas me permettre de tout gâcher maintenant. Alors je me mords la lèvre violemment pour résister à l'envie de pleurer, à cause de la douleur et du dégoût, et je l'entoure de mes bras pour le serrer contre moi. Je ferme les yeux et tandis qu'il continue ses va et viens, j'imagine que c'est Owen qui est en train de me prendre et pas ce c*****d accro au sexe...
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