you just have to smile

Chapitre 5

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Won-hyuck s'était réveillé en sursaut, suites aux bruits qu'avait faits sont réveil, alors qu'il n'avait fermé l'œil que pendant trois heures avant de se réveiller, car il devait se préparer, pour accueillir le plus jeune chez lui. C'était bizarre pour lui d'emmener un inconnu, pas si inconnu chez lui, mais il n'avait pas d'autres choix, un bébé grandissait dans le ventre de ce dernier,et il en était le père. Un soupire traversa la barrière de ses lèvres, lorsqu'il s'engouffra dans la salle de bain pour faire sa toilette,il avait vraiment besoin de repos, mais en tant que commissaire de la police nationale, c'était comme s'il n'avait pas de vacances, car s'il pensait à s'absenter une journée,il ne voulait pas voir comment il allait retrouver,le poste de police. Il regarda sont réglé dans le miroir, constatant sa perte de poids, comment pouvait-il pensée à manger, lorsqu'il y avait des gens, à sauver. Main maintenant, qu'ils avaient sauvé tout c'est enfants,qui avait été prises en otage.

Après avoir pris une bonne douche, et s'être habiller, avec des vêtements décontractés. C'était rare pour lui de s'habiller de la sorte depuis, qu'il avait enfilé l'uniforme de commissaire,il n'avait pas vraiment d'occasion pour lui de s'habiller simplement. Alors aujourd'hui c'était un autre jour différent,de d'habitude, c'était le week-end, le début de matinée et calme, alors que toute la maison commençait à émerger en même temps que lui. Chacun des employés, avait commencé à faire leurs tâches alors qu'il s'engouffre dans la salle à manger, là où son petit déjeuner l'attendait. Il prit place sur son siège,et commença à déguster son petit-déjeuner, alors qu'une femme, un peu plus jeune que sa mère fit sont entré dans la salle,ce dirigeant vers lui, attirant ainsi l'attention sur elle.

- Bonjour monsieur, j'ai entendu que vous voulez me voir ? Demanda la femme d'âge mûr tout en s'inclinant vers lui.

Won-hyuck leva ses yeux marron clair, vers cette dernière tout en déposant,ses baguettes sur le Bol de soupe, avant de poser ses coudes sur la table.

- je voulais t'informer, que quelqu'un d'autre viendra vivre ici. Commença-t-il tout en attrapant un verre de jus d'orange,et de la porter, jusqu'à ses lèvres.

- Oh mademoiselle suk-hee va enfin emménagé ici avec vous. Dit-elle tout souriant, faisant soupirer Son employeur, qui leva les yeux au Ciel.

- ce n'est pas suk-hee qui emménagera ici, c'est quelqu'un d'autre, c'est pour cela que je t'ai appelé, je veux que tu prépares la chambre qui est face à la mienne. Dit-il avant de se lever. Je veux qu'à mon retour tout soit près, et que tout le monde face un travaillé irréprochable. Dit-il avant de quitter la pièce en premier.

Won-hyuck quitta la maison et ce dirigea vers,la voiture garée devant la maison, le chauffeur sorti de la voiture et y fit le tour pour venir ouvrir la portière, pour son employeur, qui s'engouffra dans l'habitacle. Tout en soufflant, alors que le chauffeur se plaça derrière le volant avant de demander d'une voix.

- Où voulez-vous que je vous conduise Monsieur ? Demanda-t-il tout en se rencontrant sur la route.

- à l'hôpital centrale. Dit-il tout en observant l'horizon.

L'air caressait Son visage alors que la vitre était baissé. Les yeux rivés sur la ville qui commençait à prendre vie. Il était entré dans une profonde réflexion, après tout il n'avait toujours pas annulé son mariage, avec copine qui était toujours sa fiancée, et ça promettait d'être dur pour lui. Hier encore sa vie avait pris une tournure différente,il fait des choix,et prix des décisions qui allait changer toute sa vie. Et devait être front, avec cette femme qui à toujours été dans sa vie,et lui dire que leur relation ne sera jamais comme elle l'espère. Le chauffeur gare la voiture dans le parking de l'hôpital,et Won-hyuck descendant,de l'engin, avant de faire appel à l'ascenseur qui le déposa à l'étage des soins, où ce trouvait la chambre du plus jeune. Won-hyuck s'engouffra dans la pièce là où le plus jeune venait à peine de se réveiller de son sommeille.

- bonjour, comment te sens-tu aujourd'hui ? Demanda Won-hyuck tout en prenant place du plus jeune, qui avait toujours la grande peluche entre ses bras.

Ki-suk observa un moment, l'homme face à lui,et sourit tout en reconnaissant le visage de ce dernier. Celui sui l'avait offert la peluche. Il hocha alors la, tout en se redressant, Won-hyuck se leva et posa l'une de ses mains sur la chevelure du plus jeune,et la caressa tendrement.

- je vais te ramener avec chez moi et je prendrai soin de toi et du bébé. Dit-il en faisant des signes pour ce faire comprendre. Est-ce que tu veux venir avec moi ? Demanda-t-il tout en observant les faits et gestes du plus jeune.

Pour seule réponse, Ki-suk hocha la tête faisant sourire le plus vieux,et ce dernier ébouriffa les cheveux du plus jeune avant de la porte de la chambre s'ouvrit sur une infirmière, qui était venue pour s'occuper du plus jeune.

- je reviens. Dit-il tout en se dirigeant vers la sortie, tout en regardant une dernière fois le plus jeune, avant de sortir de la pièce.

Won-hyuck se dirigea vers le bureau de son ami, qui dirigeait cet hôpital qui était un héritage de famille. Son père était médecin, son grand-père,et maintenant, c'était à son tour de prendre la relèvent de l'hôpital. Et Won-hyuck devait l'avouer son ami, avait fait un bon travail, sa gestion de l'hôpital était irréprochable, et même le père de ce dernier ne pouvait le nier. Won-hyuck Donna deux coups sur la porte, avant de l'ouvrir. Kyubok s'apprêtait à sortir.

- tu vas quelques part ? Demanda Won-hyuck tout en se plaçant face à Son ami.

- tu te souviens de l'une des victimes que tu à sauver. Commença-t-il faisant froncer les sourcils de son ami qui essayait de ce souvenir de cette discussion. Tu te souviens pas,je t'ai parlé du garçon qui avait, lui aussi, un utérus, comme Ki-suk. Explica-t-il tout en s'avançant vers Won-hyuck qui se trouvait toujours devant l'entrée.

- Oui je m'en rappelle maintenant,et qu'est-ce qui ne va pas lui, les autres victimes sont déjà rentrées auprès de leurs familles pas vraiment ? Demanda-t-il tout en suivant son ami à l'extérieur du bureau.

- Oui ceux qui n'ont pas trop eux des séquelles psychologiques ont pu rejoindre leur famille, et ceux qui sont traumatisés, on été interné dans pour un suivi plus approfondi. Dit-il tout en continuant sa route.

Won-hyuck ne savait pas vraiment où son ami l'emmenait,et il ne voulait pas trop mettre du temps, après tout il avait promis aux plus jeunes de revenir le voir,et Choi Won-hyuck est un homme de parole, qui ne fait jamais les choses à moitié.

- je vois, nous ne pouvons pas savoir ce qu'ils en tous vécus là-bas attendant que quelqu'un les sauve, et maintenant s'ils ont tous libre, leurs bourreaux les hante toujours, alors chacun des familles devrait être là pour eux, encore en ce moment où leur vie à été changé. Dit-il alors qu'il se rendait compte qu'il était revenu à l'étage des soins.

- c'est vrai, car personne ne comprendra que rien n'a été de leurs fautes, et qu'il n'en jamais voulu avoir un utérus comme une femme, et malgré ce que nous pouvons dire, les insultes et les moqueries ferons maintenant partie de leurs quotidiens, et même toi et moi pensons autrement, les autres ne sont pas comme, nous, et c'est le plus dure. Dit-il tout en s'arrêtant un moment, et se retourna vers son ami. Quoiqu'on peut dire, les autres ont ne pourrai pas changer leurs mentalités, mais ont peu au mieux, prendre la responsabilité de les donner une vie meilleure, une vie supportable, dans un foyer sûr. Dit-il tout en soupirant de lassitude.

- Lorsque tu parles comme ça, c'est que tu t'es attaché à l'une des victimes. Souffla Won-hyuck tout en s'adossent aux murs pour laisser un groupe de médecin. Dis-moi tout, je suis ton ami, et je suis le seul qui ne te trahirait jamais. Continua-t-il en croissant ses bras sur son torse.

Won-hyuck et Kyubok était enfance. Il s'était connue dans le bac à sable, et depuis ils étaient devenus inséparables, chacun connaissait l'autre comme sa poche, Ils se faisaient aveuglément confiance et personne ne pouvait les monter l'un contre l'autre, même pas une histoire de cœur. Aucune fille n'avait réussi à se mettre entre eux. Ils ont toujours vécu en s'aimant comme des frères, et même yung-duk pouvait le dire c'est deux là était inséparables. Kyubok avait suivi Won-hyuck dans une autre ville, lorsque ce dernier avait voulu entrer dans la police, alors il avait suivi son ami et c'était inscrit dans des universités, il avait prise médecine, car ce dernier l'avait conseillé de le faire et Won-hyuck avait pris la décision d'être dans la police, car son ami n'avait pas arrêté de l'encourager. Et maintenant qu'ils étaient adultes, ils n'étaient pas prêts à faire leurs vies chacun de leur côté, car ils étaient des frères, et ils voulaient être là l'un pour l'autre, et Won-hyuck connaissais les préférences de son ami en matière d'hommes, et c'était la première fois qu'il voyait ce dernier s'attacher à un patient. Kyubok ferma un moment les yeux, sachant que son meilleur ami avait raison, il le comprenait mieux que lui-même, et il était heureux de constater, que malgré leur petit éloignement, leurs amitiés était toujours aussi fort.

- il s'appelle chul hei, et comme Ki-suk, l'expérience à marcher sur lui, il ce rétabli bien, mais le problème, c'est que sa famille ne veut pas de lui, hier l'hôpital à appelé ces derniers pour qu'ils puissent venir récupérer leurs enfants, mais ils ont dit qu'il ne voulait pas l'avoir chez eux, un enfant comme lui, ils n’ont en pas besoin. Dit-il tout en soupirant lourdement. Et tu vois, c'est ça qui me tracasse, dire à un patient, que ses parents ne veulent plus de lui chez eux, et puissent qu'il est un adulte, les services sociaux, ne peuvent rien pour lui, alors tu comprends pourquoi je suis aussi inquiet. Dit-il tout en tournant la tête vers lui.

- l'homme est parfois bizarre, je ne comprends pas pourquoi certains parents font ils ça à leurs enfants, après tout ce n'était pas de sa faute s'il s'est fait kidnapper et utiliser comme rat de laboratoire. Dit-il tout en décroissant ses bras. Ce genre de mots est horreur, surtout lorsqu'elle est prononcée par, c'est propre parente, savoir ça doit être douloureux. Dit-il tout en levant les yeux verts le plafond.

- je ne lui ai encore rien dit, je voulais d'abord trouver une solution, pour qu'il ne se retrouve pas à la rue. Avait dit Kyubok tout en levant à Son tour les yeux sur le plafond.

- peut-être que la solution que tu cherches, c'est toi, tu peux le ramener chez toi, tu pourrais aussi bien t'occuper de lui. Dit-il tout en observant le couloir de l'hôpital.

- Qu'est-ce que tu racontes encore, c'est mon patient, et je ne peux pas, l'emmener chez moi. Dit-il tout en observant son ami.

- il ne sera plus ton patient, lorsqu'il sera sorti, alors à ce moment, accepteras-tu de le livré à lui-même dans ce monde pourri, réfléchi un peu tu es la seule personne qui s'inquiète pour lui et pour son avenir, alors sois-en responsable, si tu tiens vraiment à lui, alors tu le feras. Dit-il tout en se redressant et en faisant face à ce dernier. Bon j'ai des choses à faire, comme ramener Ki-suk chez moi, j'espère que tu sauras prendre la bonne décision pour lui, appel moi si tu le fais. Dit-il tout en faisant une tape sur l'épaule de ce dernier.

- j'ai compris, ça me fait du bien de parler avec toi, j'espère que tu pourras mettre aux clairs la situation dans laquelle tu te trouves. Dit-il tout en faisant un sourire à son ami.

Won-hyuck sourit à son tour, avant de s'en aller pour rejoindre, le plus jeune à qui il avait promis de revenir.