Chapitre 4

2001 Words
⊰᯽⊱┈──╌❊╌──┈⊰᯽⊱ Won-hyuck soupira tout en s'engouffrant dans le poste de police, tous ses hommes se retournait à son passage, se courbant en signe de respect, à chacun de ses pas. Il avait encore beaucoup d'affaires non élucidées, il avait monopolisé tous ses hommes, pour retrouver tous, c'est enfants séquestre par, c'est scientifique, et maintenant que la mission était terminée, ils devaient se charger, d'autres qui était tout aussi important. Il soupira tout en montant les escaliers qui menait à son bureau, il avait l'impression de s'écrouler sous la pression de la situation qui venait de s'abattre sur sa tête. Il s'engouffra dans son bureau, et s'arrêta un moment en voyant l'homme assis derrière son bureau. - Hyung, qu'est-ce que tu fais ici ? Demanda-t-il surpris de voir son frère. Ce dernier soupira exagérément tout en décollant ses fesses, du siège qui appartenait à son frère, tout en gardant les yeux sur ce dernier, qui attendait qu'il, lui réponde. - ton Cher père, veux que je te ramène avec moi à la maison, il ne te fait pas confiance et doute de la véracité de ses mots. Dit-il tout en laissant tombé sont corps sur, le fauteuil qui se trouvait face aux bureaux. - C'est toujours comme ça avec lui, et toi tu fais tout ce qu'il te demande pour avoir ses bonnes grâces. Souffla Won-hyuck tout en prenant place sur son fauteuil. Et puis rassure-moi tu n'as pas du travail, au lieu de venir ici pour me surveiller ? Demanda-t-il après un moment de silence. - j'ai laissé des instructions à mes employés, n'oublie pas que c'est moi le patron, et c'est moi qui donne des ordres ici. Dit-il tout en faisant un petit sourire en coin. - Et pourtant, c'est père qui dirige ta vie, quelle ironie. Avait dit Won-hyuck tout en effaçant l'immense sourire qui ce trouvé sur les lèvres de son frère. Je suis désolée si je te blesse avec mes mots, c'est juste que je déteste voir père t'utiliser, parce qu'il sait ton besoin te faire racheter à ses yeux...yung-duk Hyung, je c'est que ce n'est pas facile pour toi de suivre tout de ses ordres. Continua-t-il tout en posant la main sur celui de Sont. - Si je fais tout ce qu'il me demande, c'est parce que je sais que je n'ai pas réussi à le rendre fière, en devenant commissaire de police comme lui, et j'ai préféré faire ce que je voulais de ma vie, alors que toi tu à fait tout pour lui plaire, voilà pourquoi je veux qu'il me considère à nouveau comme sont fils, voilà pourquoi j'ai repris la tête de l'entreprise de maman en la fusionnant avec le mien. Won-hyuck n'avais pas interrompu son frère une seule fois, comprenant sont immenses besoins d'être aimé par leur génitrice. Mais ce que son frère ne savait pas, c'est qu'il n'avait jamais voulu être comme leur père, c'est son amour des choses extrême qui l'avait poussé à entrer dans la police, et non à cause de son père qui ne l'influencer pas du tout. Il soupira longuement avant de se mettre aux travaillés, faisant signe à son frère, que c'était l'heure pour lui de se charger des dossiers en cours, ce dernier se leva et s'éloigna pour le laisser travailler en paix. Les heures passèrent, sous les Trônes de travail, qu'avait Won-hyuck. Un autre crime a élucidé, cela devenait fréquent, et ce n'était pas vraiment une bonne chose pour la ville, qui devait cohabiter avec un tueur en série, et ce n'était pas la chose à dire à la press, qui était prêt à tout pour un ragot croustillant, de leurs parts. Won-hyuck bâilla tout en levant les bras pour les étirer, avant de poser sont regards sur l'horloge murale qui indiquait, dix-sept heures trente. Il soupira dû aux retards, qu'il avait, alors qu'il avait promis d'être chez ses parents plus tôt. Son frère se leva à son tour attirant ainsi l'attention de Son frère sur lui. - il est déjà dix-sept heures et papa, va se mettre à parler plus que de raison, franchement Hyung pourquoi tu ne m'as pas dit que nous étions en retard. Dit-il tout en rangeant son bureau. - désolée, je m'ennuyais alors je me suis assoupie.  Dit-il tout en bâillon. Won-hyuck soupira avant de lever les yeux au ciel, tout en ce dirigeant vers la sortie, suivie par ce dernier. Ils se dirigèrent tous deux vers leur voiture respectives. Le plus jeune deux s'installa derrière le volant de sa voiture et soupira fortement, tout en posant son front, contre le cuir noir, du volant. Il était tellement épuisé qu'il savait qu'il ne tiendrait pas, à cet interrogatoire qui l'attend. Il releva finalement la tête, tout en remarquant que la voiture de son frère avait disparu, il se replaça correctement sur son siège, avant de démarrer la voiture, et de quitter le parking, réserver à son nom. Durant tout le trajet, Choi Won-hyuck, ne savais pas comment faire face à cet homme qui avait fait de lui ce qu'il était, avec une éducation des plus stricte. Il savait que son père parlait beaucoup trop lorsque lui et Son frère, faisait des choses qui le déplais. Il s'arrêta devant l'entrée de la maison de son père, ce dernier l'attendait devant l'entrée et il fronça les sourcils, tout en descendant de la voiture, et se dirigea vers son père, qui ne tarda pas à ouvrir la bouche. - Pourquoi c'est toi qui conduit, où est ton chauffeur ? Demanda Son père qui se trouvait devant l'entrée. - je lui aie donné Son jour de congé, il en avait besoin. Dit-il tout en dépassant son père. - Parfois tu fais exprès de ne pas connaître ta place, tu es commissaire et tous les policiers de Séoul sont à T'est ordres, alors pour tu continues à donner des vacances à tous vas à ton chauffeur ! S'exclama son père tout en suivant sont fils dans la maison. Won-hyuck se boucha les oreilles, ne voulant pas écouter son père, ce dernier voulais beaucoup trop s'investir dans sa vie comme s'il était un enfant, et ça il ne le voulait pas, il faisait ce qu'il voulait de ses employés, et il n'avait pas sont mots à dire. Il soupira tout en se laissant tombé sur le canapé. - alors comment va mon second fils ! S'exclama sa mère tout en entrant dans le salon. - ton second fils ce porte à merveille. Dit-il tout en souriant à sa mère, qui ne tarda à le prendre dans ses bras. - Tu m'as manqué, j'ai l'impression de ne pas t'avoir vue depuis des années. Dit-elle tout en se détachant de son fils. Je suis fière de toi, et dire à tous mes amies que mon fils est un homme formidable. Continua-t-elle tout faisant asseoir sur le canapé, alors que le père de famille faisait Sont entré dans le Salon. - Tu dois savoir pourquoi je t'ai fait venir ici alors que tu es un homme très occupé.  Dit-il tout en s'asseyant sur le fauteuil recevez pour lui. - ouais, je sais pourquoi tu voulais me voilà, c'est à cause de ce que j'ai dit à la press ce matin. Dit-il tout en posant ses yeux sur celui de son père. Et c'est pour me dire que j'ai fait une erreur, alors tu te trompes, tous les choix que j'ai fait était la bonne décision. Dit-il tout en contractant sa mâchoire. Un éclat de rire traversa la barrière des lèvres de Son père, le faisant froncer les sourcils.il ne savait pas Pourquoi père, riait de la sorte, après tout, il n'avait rien dit de drôle. - qu'est-ce Tu racontes, si je t'ai appelé, c'est pour te dire à quel point je suis fière de toi, tu à présent la bonne décision, tu es un homme de loin et tout ce que tu feras, sera regarder par la population, et chacun de tes décisions doit être bien réfléchi, où Sinon tu perdras le poste de commissaire, alors que tu à travailler si dur pour avoir ce porte. Dit-il faisant soupirer Won-hyuck. Ce dernier massa sa tempe tout en se levant, du canapé, il savait qu'il n'aurait pas dû venue ici, pour entendre Son père parlé, de boulot et de fierté. - si c'est pour me dire ça que. Tu m'as fait venir, alors je vais devoir rentrer, maintenant, puisse que j'ai écouté ce qu'avait à me dire, alors je vais rentrer maintenant. Dit-il avant de tourner les talons et de quitter la maison de son père, il avait bien plus à faire qu'à écouter son père parlé politique et autres choses. Won-hyuck monta dans sa voiture et conduit, jusqu'à l'hôpital qui appartenait à son ami. Il s'arrêta un moment dans un magasin, voulant offre quelques choses aux jeunes hommes qui portait désormais sont enfants, et dont il ne connaissait pas le prénom. Après sa petite course, il s'engouffra dans la voiture et conduit jusqu'à l'hôpital où il c'était garer dans le parking avant de remonter, vers l'étage des soins. Il ferma un moment les yeux, avant d'ouvrir difficilement la porte aux vues de se qu'il portait sur lui. Il s'engouffra dans la pièce ou seule l'appareil cardiaque se faisait entre. Won-hyuck trouva le jeune homme seule dans la pièce, et ce dernier tourna la tête vers lui, suite aux bruits qu'avait faits la porte, à son entré. Il s'avança vers le plus jeune qui avait ce petit éclair de bonheur dans les yeux en voyant l'immense peluche que portait le jeune commissaire dans ses bras.  Won-hyuck fini par prendre place près de lui, tout en lui offrant la peluche qu'il avait dans ses bras. - c'est pour toi, je me suis dit que peut-être, tu n'en avais jamais vue de ta vie, et en voyant ton regard, je peux dire, que j'avais raisons. Dit-il tout en voyant le jeune homme observer le nounours des regards, tout en posant les pulpes de ses doigts sur la peluche. Dis-moi comment tu t'appelle ? Demanda-t-il tout en posant sa main sur le lit attirant l'attention du plus jeune sur lui. Ce dernier resta un moment à observer, la peluche, ce qu'avait fait le jeune commissaire l'avait réjoui, alors il pouvait le dire comment il s'appelle, puisqu'il n'avait pas l'intention de lui faire du mal. - k~Ki-suk... chuchota-t-il tout en reposant ses yeux sur la peluche. - Ki-suk, c'est comme ça que tu t'appelles, j'aime bien. Dit-il tout en caressant les cheveux de son ce dernier, qui ce mis à joué comme un enfant. Won-hyuck sourit tout en observant ce dernier, qui avait les yeux plaint d'étincelles de joies en voyant tout ce qu'il avait apporté pour lui, un sourire naquit sur ses lèvres, tel une plume qui se posa délicatement sur sa peau, c'était si innocent, et il voulait tellement faire bien plus pour ce dernier, qui avait tant subit, des Abu faites par ses propres parents. L'heure du dîner était passé, et Ki-suk avait fini par ce couché, sous le regard du plus vieux. Ce dernier posa une main sur sa tête avant de chuchoter, à l'oreille du plus jeune. - Ki-suk, je sais que toi et moi, ont ne se connaît pas, mais je te fais la promesse de te donner tout ce que t'es parents t'ont privé, le bonheur et la paix du cœur, mais en échange tu devrais continuer à sourire, tant que tu souris, rien de mal ne va t'arriver, je te fais la promesse de toujours veiller sur toi. Dit-il tout en caressant la tête de ce dernier. Tout ce qu'il voulait, c'était de rendre, le sourire, sa joie de vivres aux plus jeunes, lui donner tout ce qu'il n'a jamais eue, et même si pour ça il devrait renoncer à la femme qu'il aime, c'était sommes devoir et il ne pouvait pas faire autrement que veiller à ce que rien n'arrive au bébé et à Ki-suk, c'était le devoir qu'il c'était promis d'accomplir.
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