Chapitre 2 La sortie.
- Tant que l’on aura besoin de moi !! Dit je en limitant grossièrement enfilant mon short. Qu’elle c*n, on n’a pas besoin de lui ici !!
Mon téléphone vibra.
- Quoi ?
- Bonjour Madame Mademoiselle Léa nous a dit que vous venez ce soir.
- Oui, je passerais dans la soirée merci.
Je me frotte le visage crever moi qui voulait fumer et me coucher ses foutues m***e. Je souffle un bon coup et me change pour une jupe crayon noir au-dessus du genou et un chemisier blanc où je laisse trois boutons d’ouvert ou on peu voir le début de mon soutif, je lâche mes cheveux et mes uns peu de maquillage un trait d’eye-liner liner noir, du mascara et du rouge a lèvre rouge, j’enfile des cuissarde noir à talon. Je sors de la chambre discrètement et me dirige vers le garage, une fois à l’intérieur, je me dirige vers ma voiture et la démarre j’enclenche la marche arrière quand la portière s’ouvre a grande volé, je tourne la tête vers lui et vois une tête aux cheveux noirs, un visage dur et des yeux vert.
Merde, il ne vas plus me lâcher maintenant.
Trop choqué, je sors mon pied du frein et fonce dans le mur, la voiture s’enfonce dans le mur avec un gros boum et déclenchant les air bags, je sors vite de la voiture.
- Oh m***e quelle conne ma voiture oh non Bianca m***e ma voiture !! Dit je un quart panique, à moitié triste, un quart en colère. Bianca !!!
Je tourne au tour de la voiture une main sur la tête l’autre sur la bouche.
- Tu allais ou comme ça ? Demanda la voix grave du c*n.
- Là ou ça ne te regarde pas ! m***e p****n, mais fais chier ma Bianca !
Je sors dehors et me dirige à pied hors de la propriété et décroche mon téléphone une fois sûre qu’il ne m’a pas suivi et pour être sûre de ne pas me faire repérer, j’appelle Aurélien.
- Salut beauté ! Dit-il avec une voix endormie.
- Aurélien ses Eva, j’ai besoin d’une voiture ! dit-je d’une voix mielleuse pour qu’il comprenne que je ne suis peut-être pas seule.
- Très bien, je t’envoie ça tout de suite envoyé moi l’adresse ! Dit-il en raccrochent.
- Merde ma voiture ! Crie, ai-je encore une fois.
- Monte !! M’ordonne la voix de Raphaël.
- Il est hors de question que je monte avec toi ! Répondis-je en continuant à marcher.
- Monte-je t’ai dit ?
- Oui et moi, j’ai dit non !
- Ses pas une demande, c’est un ordre ! Me crie-t-il.
- Et moi, c’était une réponse à cette requête ! dit je en criant.
Je commence à courir et lui accélère la voiture en crier que je monte.
Il finit par arrêter sa voiture et me courir après.
- Mais m***e laisse moi tranquille à la fin ! Crie, ai-je exaspéré.
- Je ne vais pas te laisser partir en pleine nuit ! Crie-t-il en m’attrapant par la taille.
Je ravale mon élan de panique et le plus possible mon démon, je plaque un faux sourire sur mes lèvres et pose mes mains manucurées en rouge sur ses joues.
- Mon Chère Fiancé s’inquiète ? Je lui demande en pinçant ses joues.
Il attrape mes mains et les met derrière mon dos bien serrais.
- Si tu crois que c’est pour toi que je m’inquiète ! Tu t’enfonces bien profondément le doigt dans l’œil ! Si je fais tout ça, c’est pour ma réputation !
- Qu’est que t’as réputation à avoir avec moi ! Dit je en levant les sourcils étonnés.
- Ma réputation est maintenant reliée la tienne et je ne veux pas qu’on apprenne que m’a fiancer sort le soir, on ne sait où habiller comme une p**e ! Me crie-t-il.
- Quoi j’ai très mal compris la répète ! Je le regarde étonner.
A qu’elle moment je suis habiller comme une p**e.
- Tu t’es regardé dans un miroir avant de partir ! S’enfonce-t-il.
- Tu es le genre de garçon assez matcho. Commençais-je en me reculant et enlevant ses grandes mains de mes hanches. Pour croire que parce qu’une fille porte une jupe où on voit un bout de son soutif ses une putes et on peut faire ce qu’on veut d’elle ? Ou alors c’est pour vous plaire à vous ? Alors j’ai une très bonne nouvelle pour toi ! Maintenant, tu sais où je vais ! Je vais faire mon boulot la p**e et je suis heureuse d’entacher t’as superbe réputation imaginaire ! Maintenant, laisse-moi tranquille et retourne dans ton lit et tu peux rêver de moi avec un autre ce qui sera vrai !
Je m’éloigne de lui en me déhanchant un peu plus que d’habitude et en prenant soin de bien remonter ma jupe en souriant.
Non mais quel culot je suis habillé comme une p**e moi. J’arrive au petit carrefour city dans le centre-ville ou une Lamborghini Urus S gris anthracite a l’intérieure noire m’attend ma dernière acquisition. p****n qu’es que j’aime mets voiture que je m’achète.
- Et bonjour Lou ! dit-je quand j’arrive à ma voiture, je baisse ma jupe à la bonne taille et descends sur la roue arrière cote conductrice et attrape les clés coincé dans la roue. Une fois en main, j’ouvre la voiture et m’engouffre dedans et respire à pleins poumons l’odeur de neuf de ma voiture.
- Tu es prête Lou ! Dit je en démarrant la voiture et partie.
00 h 40 QG Dax Landes.
- Bon qu’elle est cette urgence ? Dis-je en entrant dans mon bureau.
- Madame, tous ses documents demandent votre signature en urgence et le convoi avec la fille de notre fournisseur arme russe a était intercepter que fessons nous avec sa fille maintenant ? Demanda un employer.
- Elle est où ?
- Au sous-sol.
- Ok, je descends !
On descend au sous-sol et j’ouvre la porte ou et retenue la fille de mon fournisseur en arme russe.
- Bonsoir Liouba ! Dis-je d’une voix douce en entrant dans la cellule.
Je m’assois sur une chaise en croisant mes jambes et jetant mes cheveux en arrière.
- Tu sais qui je suis ? Je lui demande gentiment en regardant mes ongles.
- Non ! Dit-elle d’un ton larmoyant.
Je souris, ses fous, mais tout le monde connaît mes exploits, mais personne ne me connaît. Je rigole de mes propres pensés.
- Tant mieux ! Pourquoi et tu venue en France ? Dis-je toujours sur le même ton pour ne pas l’effrayer.
Là mal traité ne me servirait à rien à perdre mon temps et de l’argent.
- Je suis avec mon école pour une sortie scolaire ! Je veux sortir s’il vous plaît laisser moi sortir ! Chouina t’elle.
- Je suis désolé, mais je ne peut rien pour toi il n’y a que ton frère et ton père qui pourra t’aider, mais ne t’inquiète pas Liouba, on va bien te traiter !! Mais j’ai besoin d’une photo de toi ma chère ! dit je en sortant mon téléphone et prend une photo d’elle et sors de la cellule.
Je retourne dans mon bureau et imprime la photo et l’envoyer à son père et à son frère avec ce mot :
Bonjour, ci-joint une photo de Liouba envoyer moi ma commande et signer ce contrat et renvoyer le moi sinon vous pourrais lui dire au revoir !
Cartel Aurélien.
Une fois, ça fait, je joint un contrat pour que le montant de nos armes reste en dessous du prix et qu’il ne pourra en aucun cas augmenter. Je le mets sur la pile de courrier à envoyer et attrape-tout les documents que j’ai a signer les photographie et le met dans un dossier photo cacher dans mon téléphone bloqué avec un code que personne n’a par moi et je l’ai mis antipiratage. Et m’attaque à tous les documents minutieusement.
4 h 30 du matin QG Dax.
Mon réveil sonne, je suis en train de rédiger un nouveau contrat, car celui que l’on m’avait envoyé ne me convient pas, j’ai passé toute ma nuit à faire ça, je n’ai pas bougé de là. Je suis épuisé j’ai juste envie de retrouver mon lit, mais heureuse d’avoir fait plus de la moitié de la paperasse et je reviendrais, ce soir, continue, mais pour l’heure faut que je rentre à la villa prendre une douche et dormir quelques heures.
5h30 Boulangerie Marie Blanchard Labenne.
Je me dirige vers ma voiture avec mon café, j’ai dû m’arrêter, il me fallait un café de toute urgence, j’ouvre la portière de ma voiture quand on m’attrape le bras et le tire en arrière tellement fort que je renverse mon café.
- Et beauté, tu ne veux pas jouer avec moi ! Dit une voix grave en me retournant et me plaquant contre ma voiture.
Je souris mauvais, et son haleine était une infection, un mélange de tabac, de whisky et de parfum pour homme vous savait cela qu’il sente horriblement forte ce là, j’ai horreur de ses parfums.
- Ah oui et tu veux jouer à quoi mon chou ? Je lui demande d’une voix sensuelle en posant mes mains sur son torse et les faisant glisser jusqu’à mets mains sois à la hauteur de mes cuisses.
- On va jouer dans la voiture ! dit il en posant ses grosses mains dégoutantes sur mes épaules. Je glisse mes mains sous ma jupe et attrape mon couteau et le pointe sur lui.
- Bien sûr, j’adore ce jeu un corps dans mon coffre de voiture ! dit-je en appuyant mon arme sur son front.
- Tu sais ses pas un jouet, tu peux te faire mal avec ça ! Me dit-il sans panique ni peur.
Je hausse un sourcil.
- Vous avez raison ! Répondis-je en plantant mon couteau dans son épaule tout sourire.
Il tombe en arrière en se tenant l’épaule, je fais taire ses hurlements de douleur avec une veste qui était restée dans ma voiture et décroche mon téléphone et appelle Léa.
- Oui ? Demandas t’elle à peine décrocher.
- Envoie-moi quelqu’un a l’adresse que je vais t’envoyer, j’ai trouvé mon nouveau jouer ! dit je heureuse.
Je raccroche, m’accroupis à sa hauteur et lui tient les joue d’une main.
- Tu ne veux plus jouer avec moi mon chou ? Je lui demande d’une fausse voix a pleuré. En plus, j’ai plein de jouets à essayer avec toi !
Quelques minutes, plus tard, une voiture arriva et un de mes hommes sorti.
- Soigner les et enferme le ! Dis-je en entrant dans ma voiture, je descends la vitre. Au fait appeler le docteur, je le veux en bon état ce soir ! Et le premier qui touche à Liouba il est mort vous avez compris ?!
-Bien sûre madame ! Bonne journée madame ! dit il en le prenant sur son épaule comme si c’était une plume et le met dans son coffre.
Et je pars sans m’arrêter, requinquer et super exciter d’être à ce soir.