Chapitre 8

1492 Words
Mais lorsqu’elle entend la porte de fermer, elle coure vers celle-ci c et trouve Jalil avec la clé. — Non. — Si, tu vas rester ici le temps que ton frère paye le reste de l’argent. Annonce Jalil avant de se diriger vers l’escalier mais Amalie l’arête Amalie se débats pour lui prendre les clés mais Jalil lui dit: — Ne me pousse pas à te faire du mal! Amalie continuait de se débattre, elle tente même de donner un coup sur la blessure de la tête de Jalil et elle y parvient, celui-ci ressent une forte douleur. Furieux, il l’a prit par le cou et le serre fort avant de la pousser contre le mur. Amalie ressent une douleur sur la tête et finit par perdre conscience. Jalil avait tellement mal à la tête qu’il s’effondre sur le moment, il reste assis un moment sur le sol avant de se décider de se lever. Après plusieurs tentatives, il arrive à se mettre debout, il va dans le salon et prend son téléphone pour appelé une amie infirmière pour qu’elle vienne urgemment. Il lui demande d’amener le nécessaire pour lui soigner car il ne pouvait pas se rendre à l’hôpital. En attendant, il porte Amalie et l’amena dans la chambre, puis il referme à clé. Puis il retourne dans le salon s’allonger sur le canapé mais il prit le soin de laisser la porte d’entrée entrouverte. Jalil commençait à se sentir fiable, il finit par perdre connaissance. Quelques moment après, l’amie de Jalil arrive, lorsqu’elle rentre, elle trouva du sang partout, ce qui l’a fait peur. Elle se rend dans le salon où elle trouve Jalil inconscient, elle était tellement surprise qu’elle dit: « Oh mon Dieu ! » Elle retourne dans la voiture et prend sa trousse médicale. Et quant elle revient dans la pièce, elle s’approcha rapidement de lui et avec son matériel médical, et elle le soigne. Elle ressentait tellement de peine pour lui, elle lui caressait le visage. Elle se demandait bien ce qui se passait, c’était vraiment étrange pour elle. Quand elle finit, elle reste à son côté pendant un moment, elle veillait à prendre sa température. Lorsqu'elle termine, elle décide de nettoyer les traces de sang dans la maison. Elle se demande ce qui s'est passé. Elle nettoie toutes les pièces du rez-de-chaussée jusqu'à l'étage. C'est à cet instant que les bruits réveillent Amalie. Elle se lève du lit, un mal de tête lancinant, et se dirige vers la porte qui est fermée à clé. — Ouvre-moi la porte ! Je veux m'en aller ! dit-elle d'une voix forte. L'amie de Jalil, surprise d'entendre cela, se demande ce qui se passe. Elle décide d'ouvrir la porte, car la clé est déjà insérée. Lorsqu'elle ouvre, elle se retrouve face à Amalie. Les deux se fixent, ne comprenant pas ce qui se passe. Amalie, soulagée de voir cette jeune fille, pense qu'elle pourrait l'aider à s'enfuir. — Oh, merci beaucoup, dit Amalie. — Qui êtes-vous ? demande l'autre. — Je… j'ai été enlevée par ce type ! S'il vous plaît, aidez-moi. — Qu'est-ce que vous racontez ? — Est-ce qu'il vous a enlevée aussi ? demande désespérément Amalie. — Non, je suis une amie. — Oh mon Dieu, vous ne savez pas de quoi il est capable. S'il vous plaît, donnez-moi votre téléphone, je dois appeler ma famille. — Quoi ? Je ne comprends rien. Amalie décide de laisser la jeune fille plantée devant la porte et se dirige rapidement vers l'escalier. En descendant les marches, elle tombe sur Jalil, qui se tient debout devant elle. Sa respiration s'accélère, elle est terrifiée. — Je t'en prie, ne me fais pas de mal, dit-elle. — Arrête de jouer la victime, je ne t'aurais pas fait de mal si tu ne t'étais pas comportée comme une idiote. À cet instant, l'amie de Jalil arrive et dit : — Bébé, qu'est-ce qui se passe ? — Ne t'en fais pas, Brianna, ce n'est rien, répond Jalil. — Non, ce n'est pas rien ! Il l'a séquestrée, je vous en supplie, appelez la police ! Brianna fixe Jalil dans l'incompréhension. Elle veut comprendre ce qui se passe et s'exprime : — Jalil, qu'est-ce qu'elle raconte ? — Écoute, on peut en parler dans le salon, d'accord ? lui répond Jalil. — Non… non, je veux m'en aller ! réplique Amalie. — Ce n'était pas à toi que je m'adressais, alors ferme-la. Bébé, tu viens ? dit Jalil. Brianna reste perplexe, elle ne comprend pas. Amalie, elle, est paniquée, ne voulant pas que Brianna se laisse manipuler par Jalil, car c'est sa seule chance de s'enfuir. Brianna commence à descendre les marches. Dès qu'elle arrive près d'Amalie, cette dernière l'attrape par le bras en disant : — Ne va pas là-bas ! — Aïe, lâchez-moi ! s'exclame Brianna. — Je viens de vous dire qu'il m'a enlevée, répond Amalie, déterminée. Amalie est consciente que Brianna est sa seule chance. Si elle parvient à lui faire comprendre la situation, elles pourraient s'unir pour confronter Jalil. — Amalie, lâche-la tout de suite, ordonne Jalil. — Bébé, dis-moi exactement pourquoi tu l'as enlevée, demande Brianna. — D'accord, mais descendons, on en parlera dans le salon, répond-il. Brianna est sur le point de poser un pied sur la deuxième marche quand Amalie la retient encore une fois par le bras. — N'y va pas, il pourrait te faire du mal ! — Qu'est-ce que tu racontes ? Brianna, tu viens ? — Non ! Dis-le maintenant. — Tu ne me fais pas confiance ? demande Jalil. — Si, mais je veux t'entendre me le dire, et tout de suite. Jalil est agacé. Il en a assez de cette situation, mais il est tout de même déterminé à faire en sorte que Brianna sache ce qui se passe. — D'accord, c'est bon, je vais te le dire, mais ce n'est pas ce que tu crois. — C'est un imposteur et un ravisseur ! Il m'a enlevée alors que je faisais un retrait d'argent dans un distributeur. Il m'a déjà tout pris et il veut encore me soutirer de l'argent, déclare Amalie. — Quoi… qu'est-ce que tu dis ? dit Brianna, choquée par ces révélations. — N'importe quoi, réplique Jalil, énervé. — Je lui ai déjà donné plus de 70 000 $, mais malgré tout, il ne veut pas me laisser partir. Vous ne le connaissez pas, mais il est dangereux, il m'a frappée plus d'une fois. — p****n, arrête ! Je t'ai juste donné un coup sur la tête et tu le méritais, réplique Jalil. — QUOI… ATTENDEZ, TOUS LES DEUX… QUOI ? 70 000 $ ? Amalie fixe Brianna, qui semble perdue dans ses pensées, tandis que Jalil, lui, en a marre de tout ce spectacle. — Allez, Brianna, descends maintenant, dit Jalil. — Non, je t'en supplie, ne fais pas ça, aide-moi à partir d'ici. — Désolée, ma belle, dit Brianna avant de descendre les marches. — Non… non, ne faites pas ça, dit Amalie, les larmes aux yeux. Après avoir descendu toutes les marches, Brianna se trouve face à Jalil. Elle l'embrasse d'un coup, et Jalil répond à son b****r. En effet, Jalil et Brianna sont amants, ils passent souvent des soirées et des week-ends ensemble. Amalie est choquée de voir Brianna embrasser Jalil. Elle a un regard étonné, ne comprenant pas ce qui se passe. — C'est la dernière fois que tu me fais attendre, dit Jalil avant de lui donner une fessée. Brianna sursaute, se mord les lèvres avant de dire : — Désolée, mais j'étais un peu jalouse. — Et pourquoi ? demande Jalil. Brianna se tourne vers Amalie, la regarde de haut en bas et dit : — Je croyais que tu lui plaisais et qu'il t'avait enlevée pour coucher avec toi. Amalie est tellement choquée que ses larmes cessent de couler. Elle fronce les sourcils, ne sachant pas si elle a bien entendu. — N'importe quoi, comment peux-tu penser ça ? lui demande Jalil. Amalie se retourne vers Jalil et dit : — Elle est belle, tu ne peux pas le nier. — Cette fille ne m'intéresse pas, je la garde uniquement pour lui soutirer de l'argent. L'enlever n'était pas prévu, annonce Jalil. — Alors pourquoi l'as-tu fait ? Et elle prétend t'avoir donné plus de 70 000 dollars, réplique Brianna. — Je devais le faire, sinon elle m'aurait dénoncé à la police. Est-ce ce que tu veux, qu'elle me dénonce ? — Non, mais je ne veux pas qu'elle vive sous le même toit que toi. Bébé, maintenant qu'elle t'a donné de l'argent, débarrasse-toi d'elle, dit Brianna en caressant Jalil. — Pas maintenant, il en reste encore. — Laisse tomber, ce qu'elle t'a donné, c'est une fortune. — Non ! Je veux tout l'argent, et de plus, j'ai un compte à régler avec son frère, dit Jalil en fixant Amalie. Amalie, figée, n'en croit pas ses oreilles. A suivre
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