Le penthouse baignait dans son calme ordinaire quand je franchis le seuil. Je ne pris pas la peine de la chercher dans les autres pièces, car je savais exactement où elle se trouvait. Cet ainsi que je pris la direction de sa chambre e pas assuré.
J’entrai dans la chambre en veillant à effacer de mon visage toute trace de trouble. Depuis des heures, je me préparais à ce moment, et pourtant, mes pas résonnaient comme ceux d’un imposteur. La lumière tamisée baignait les murs d’une clarté chaude, presque intime, mais moi, je n’étais qu’une silhouette froide, étrangère à cet espace qui aurait dû m’apaiser.
Valentina leva les yeux vers moi, et déjà, je sus que mon masque vacillait. Elle lisait trop bien. Ses yeux avaient cette lucidité tranchante qui perçait au-delà des gestes et des mots. El
