Un amour imprévisible

Épisode 15

je me retourne et je vois cette fille arrêté derrière moi.

Moi: tout énervé : attends qu'est ce que tu fais ici? Tu es venu faire quoi ici?

Elle : tu m'as appelé non, je me suis donc dit que tu as peut-être besoin que je vienne et que tu te sens seul ici! Donc je suis là pour te tenir compagnie.

Moi: je ne t'ai pas appelé pour que tu viennes ici, c'est clair ? Sors maintenant de ma maison avant que je ne m'énerve.

Elle : mais chéri, qu'est ce que tu as ? Tu sais combien d'hommes j'ai rejeté avant d'être là ? Bien sûr que non! Tu devrais t'estimer heureux et profiter de l'instant.

Moi: en fait le nombre d'hommes que tu as rejeté ne me regarde même pas du tout, tu as compris ? Tout ce qui m'intéresse c'est que tu sors de ce pas de chez moi.

Elle : ok, je vais sortir et je vais partir, mais dit moi, si tu n'étais pas intéressé pour m'avoir, pourquoi tu m'as amené Chez toi alors ? Pourquoi tu m'as fait connaître chez toi ? Tu ne me donne même pas la place pour que je m'assois ?

Moi: tu n'as pas du tout besoin de t'asseoir ici, tous ceux dont tu as besoin c'est de sortir d'ici.je me demande aussi même pourquoi je t'ai amené chez moi peut être que ce jour là j'avais bu beaucoup d'alcool.

Elle : tu n'avais pas bu, en fait c'est le destin qui nous a lier, donc réfléchi y, je serai toujours là à t'attendre quand tu changeras de décision tu n'as qu'à me le faire savoir. Bisous bye.

Elle est partie et j'ai pû enfin respirer l'air frais. Le destin nous a lier, mon œil oui, quel destin ? Il faut que je prenne des mesures sinon je crois que ça ne va pas marcher comme ça.

Je me lève et passe dans la chambre de Hortavie, la porte n'est pas fermée à clé, elle dort paisiblement sur son lit. Je ne sais pas ce qui m'a pris mais je m'assois à côté d'elle.

Moi: tu ne peux pas savoir combien tu m'as manqué, je voulais même venir te voir, mais comme tu es là ça me fait vraiment plaisir, je suis désolé pour mon comportement, mais j'espère que tu comprendras. Je ne voulais pas te faire de mal, mes mains ont commencé à devenir baladeuses, d'ici que je me rends compte j'étais couché près d'elle, elle se réveille.

Elle : qu'est ce que tu fais là ? Ce n'est pas l'une de tes petites amies qui est dans cette chambre, regarde bien le visage c'est moi Hortavie, alors vous allez me faire ce plaisir de disparaître de ma chambre tout de suite sinon !

Moi: ok, ok, je m'en vais passe une bonne nuit

Elle : c'est ça oui.

Point de vue de Mira

Je me réveille le matin de bonne heure, je fais ma valise et pars réveiller votre pote, il dort toujours comme un petit bébé.

Moi: monsieur,

Pas de réponse, il commence à parler, maintenant tu vas partir de ma maison, je ne veux plus jamais te revoir, si c'est pas parce que je suis gentil j'allais demander à ton patron de te virer, sort…

Moi: en criant un peu fort : monsieur

Il se réveille les yeux écarquillés et près à s'enfuir, j'explose de rire

Moi: riant : décidément tu ne peux pas dormir et te réveiller comme une personne normale, mais tu te réveilles toujours comme celui que des zombies veulent croquer !

Lui: moi zombies

Moi: dit moi, c'était quoi le cauchemar que tu faisais tout de suite ? Toi gros bras comme ça tu ne peux pas utiliser ta force physique pour chasser ce qui te traumatise dans ton sommeil ? Si c'était moi j'allais bien corriger cette chose qui me dérange quand je dors.

Lui: est ce que même quand tu te réveilles tu veux celui avec qui tu luttait, c'est un rêve pas une réalité jeune fille.

Moi: mais le rêve c'est toi qui le fait non? Ou bien c'est quelqu'un d'autre qui le fait à ta place ?

Lui: bien sûr que c'est moi, maintenant arrête de te moquer de moi il n'y a rien de drôle dans ce que je te dis

Moi: bien sûr qu'il n'y a rien de drôle dedans, mais ton comportement est trop drôle, tout temps tu te réveilles comme ça ? Comme si on avait effrayé un….bon bref je préfère ne pas terminer ma phrase. J'ai fini de m'apprêter, si vous ne pouvez pas me déposer à la gare je vais sortir chercher un taxi.

Lui: attends moi dans le salon, mais arrête de rire, ça m'énerve.

Je suis sortie, et je me suis assise au salon. Mais c'est quel genre de personne qui se réveille chaque fois près à bondir, est-ce qu'il va bien même, je ne crois pas.

Quelques minutes plus tard, il sort et me trouve.

Moi: le petit déjeuner est servi

Quand il a fini de manger, nous sommes partis mais au lieu d'aller à la gare il m'a plutôt amené dans son entreprise, mais ce monsieur fait ce qu'il veut.

Moi: attendez on fait quoi ici? Ou bien c'est une nouvelle gare ?

Lui: mon entreprise ? Une gare?

Moi: on ne sait jamais avec vous, ça change de tempérament à chaque fois, et en plus il y plein de taxi ici, donc c'est pour me mettre dans un taxi?

Lui: avec un ton élevé : ce ne sont pas des taxis, ce sont les véhicules du personnel, et puis dit moi tu ne connais pas la différence entre les véhicules personnels et les taxis ?

Moi: me faisant toute petite : je suis désolé monsieur.

Lui: désolé je ne voulais pas te faire peur maintenant suis moi.

Nous rentrons dans son bureau, et il ferme la porte à clé, ah c'est pour que personne ne le dérange ?

Lui: maman a dit qu'elle a besoin de quelque chose, je fini et te donne ça, ce sont des papiers.

Je n'ai pas répondu. Quand il a fini, il est venu s'arrêter près de moi et m'a dit.

Lui : lève toi, voici ça je vais te déposer à la gare, pourquoi tu ne veux pas partir avec un chauffeur ?

Moi: je préfère ce que tout le monde utilise.

Il me remet les papiers et au lieu de partir ? Il attrape mon visage et...