Chapitre 4

1629 Words
J'étais f****e, et je crois que f****e n'était pas le mot adéquat. Je ne sais pas pourquoi j'ai pas réagis quand j'ai vu mon oncle. Et lui il me regardait sans broncher comme si .... Je ne voulais même pas y penser. Quand j'ai reçu l'appel de max j'étais même pas habillé, je lui ai alors dit d'y aller et moi j'irai à 9h. J'arrêtais pas de repenser à la façon dont il me regardait. Je ne pourrai décrire L'expression de son visage. Je n'allais plus jamais pouvoir le regarder en face. En espérant ne pas le voir dehors, je suis sortie en douce. Je marchais en flannant ça et là sans aucune détermination. J'ai pris un billet d'entrée pour 9h mais j'étais pas vraiment dans mon assiette. J'écoutais le prof mais je ne l'entendais pas. Max qui comme à chaque fois que ça n'allait pas s'est mis à me distraire mais j'étais trop coincé pour rire à ses blagues. Sur le chemin du retour je trainais sans conviction C'est comme si je ne voulais pas arrivé à destination mais fallait bien arrivé. À cette heure c'est sur que les autres n'étaient pas encore là. Je suis passé dans la cuisine mais oumy n'y était pas. Je ne savais pas vraiment si mon oncle ou tante était de retour donc je me suis mise à marcher doucement jusqu'à la chambre. Oumy était entrain de mettre des affaires dans son sac en vitesse. - oumy ? Tu vas où ? - je rentre chez moi. - en pleine semaine? - je quitte le travail je ne peux plus avoir à travailler dans cette famille ni à y passer une journée de plus. - qu'est-ce-qui s'est passé ? Elle me répondit pas et se mit à faire des vas et viens dans la chambre pour récupérer ses affaires. je ne savais pas pourquoi elle partait et elle n'avait pas l'air de vouloir me répondre. - tu l'as dit à ma tante au moins ? Pour qu'elle te paie. - je leur offre l'argent. - mais tu vas dire ton problème s'il te plaît. - non je ne peux pas mais tu as mon numéro et j'ai le tien on va s'entendre. - on t'a fait quelque chose ? - arrête de poser des questions s'il te plaît. Fais attention à toi ok ? - d'accord. Même si tu me fais peur. - tu n'as pas à avoir peur tu fais partir de la famille toi rien ne t'arrivera. Elle a ensuite pris ses affaires et est sortit. Je l'ai suivi jusqu'à la porte. - tu peux continuer le repas si tu veux ou le laisser comme ça je m'en fou. Bon ciao. - tu vas attendre un taxi ? - oui. - je t'accompagne jusqu'à ce que tu en trouve.... dis-je en prenant l'un de ses sacs. Quand elle a eu un taxi, je suis rentrée à la maison. Je suis allé dans la cuisine et mon ventre m'a conseillé de continuer le repas. Je l'ai donc fait. Oumy m'avait dit que mon oncle était dans sa chambre alors j'ai fait de mon mieux pour ne pas faire de bruit jusqu'à ce qu'arrive Momo - c'est toi qui cuisine ? Me demande-t-il. - oui. Je crois qu'il s'est passé quelque chose car Oumy a démissionné. - quoi quand ? - elle vient de partir il y'a même pas une heure. - je crois qu'on a un problème avec les bonnes, elles ne durent jamais ici. Je pensais même que oumy allait rester encore longtemps. Ça semblait vraiment louche ce qu'avait dit Momo mais je m'y suis pas attardé. Ensuite c'était nabou qui est venu et moment où ma tante entrait dans la maison, mon oncle descendait les escaliers. Elle l'a salué puis est venu vers moi. - tu cuisines ? - oui - où est oumy. - heu elle est partie. - où ça ? - elle a démissionné je ne sais pas pourquoi. Elle est juste partie. - qui est partie ? Demande mon oncle. Je me suis levé mon siège et je suis entré à l'intérieur de la cuisine. - apparemment oumy a démissionné...lui dit ma tante. - et elle n'a parlé avec personne ? - avec sala je crois. - vérifie si elle n'a Rien emmené elle a pu voler quelques choses. Je voulais sortir et leur dire que je l'ai vu partir mais rien le fait de savoir que j'allais croiser le regard de mon oncle m'a cloué l'a où j'étais. Je ne suis ressortie que quand leur voix s'étaient éloigné. Je savais bien que je ne pouvais pas fuir indéfiniment mais je ferai de mon mieux en tout cas. Il m'a vu toute nue et je ne sais ce qu'il penserait en me revoyant. Durant le déjeuner il n'arrêtait pas de me regarder je faisais mon possible pour esquiver son regard mais c'était vraiment pas facile. - tu cuisines bien Hein, va falloir apprendre nabou... dit-il en me donnant une tape sur l'épaule mais ça m'a fait sursauté. J'ai même pas réussi à dire merci mais personne n'avait remarqué la tête que je faisais. Après avoir fait la vaisselle, je suis allé me préparer parce-que j'avais cour à 17h. Après avoir fini je suis allé chez max. C'était la seule endroit où je pouvais être bien. Et cette nuit pour la première fois j'ai eu peur de dormir seule. Jusqu'à très tard dans la nuit je n'ai pas pu dormir. Je manipulais mon téléphone quand j'ai entendu le loquet tourner je me suis brusquement levé pour voir qui c'était. La personne a arrêté puis a commencé a toqué. - ouvre la porte j'ai à te parler...me dit la voix derrière et c'était ma tante. Je ne répondais pas et faisait aucun bruit pour qu'elle croit que je dormais. Elle a continué un long moment puis mon téléphone a sonné. Je me suis précipité de l'éteindre et elle a recommencé de taper. - je sais que tu dors pas ouvre cette porte ou demain tu quittes la maison - quoi j'ai fait quoi ? - ouvre d'abord la porte. J'ai inspiré un coup puis j'ai ouvert la porte. Elle est entré et l'a refermé derrière elle. Elle s'est dirigé vers moi et a commencé à me caresser. - fais-moi plaisir et tu deviendra ma préféré... dit-elle en mettant sa main dans ma petite culotte. Je ne réagissais pas elle m'a jeté sur le lit et s'est mis à me caresser en bas. - décontracte tes muscles tu verra que c'est trop bon. - s'il te plaît. - chut Elle prit alors ma main et l'introduisit dans son intimité. - caresse moi comme je le fais en ce moment avec toi. Je ne réagissais toujours pas alors elle a appuyé sur ma main. - tu fais ce que je te dis ou demain tu quittes la maison et on arrête de te payer l'école. Ses menaces ont été comme un déclic alors j'ai commencé à faire ce qu'elle demandait. Je l'entendais gémir sans gêne et me forçait à la suivre dans cette mouvance. Après un long moment elle m'a dit d'arrêter et a écarté ses jambes puis m'a intimé l'ordre de faire de même. Elle frottait son s**e sur le mien en m'imposant aussi de lui caresser les seins. - jure que tu n'as pas ressenti du plaisir.. dit-elle en se rhabillant. Je ne lui répondit pas restant immobile sans réagir. - je viendrai à chaque fois que j'en aurai envie et toi tu restera ici tant que tu le veux. Et tu n'as pas intérêt à ouvrir la bouche pour le dire à qui que ce soit. Ce sera notre secret. Elle m'a lancé un clin d'œil et est parti. Je me suis précipité pour fermer la porte et je me suis glissé sur la porte et je suis tombé en arrivant assise. J'avais toujours mal avec sa main qu'elle avait mis en moi. J'essayais de pleurer mais je n'y arrivais, aucune larme ne sortait et je me sentais incapable de faire des efforts. Là où j'étais assise c'est là que j'ai passé la nuit, sur le sol. Quand mon réveil a sonné je me suis levé en sursaut, j'avais mal à la tête et je ne pouvais même pas me tenir debout. Je me suis jeté sur le lit pour je ne sais quoi et quand je me suis réveillée il était déjà 10h 53 min. Je ne me suis même pas inquiété d'avoir manqué l'école. J'ai écouté derrière la porte un moment pour vérifier s'il y avait quelqu'un dans la maison. Après 5 minutes je n'ai rien entendu je suis donc sortie et suis allé dans la salle de bain. J'avais faim mais je n'avais pas envie de descendre en bas. Je suis retourné dans ma chambre et j'ai répondu aux messages de max elle avait l'air de s'inquiéter. Quand je l'ai rassuré j'ai appelé ma sœur. Fallait que j'entende sa voix. - tu ne devrais pas être à l'école à cette heure ? - si c'était le cas j'allais pas t'appeler. - je te manque hen. C'est loin que tu te rend compte que je suis la meilleure des sœurs. - ça je te l'avais déjà dis. - qu'est-ce qu'il y'a? Tu as un problème? - non non Sava. Comment vas tu ? - je vais bien et toi ? - je vais bien sauf que j'ai envie de rentrer. - en milieu année scolaire ? Donc il se passe quelque chose n'est-ce-pas ? On te traite bien là-bas ? - oui ils sont tous gentils c'est pas ça le problème. - c'est quoi ? - je ne peux pas te le dire. - c'est si grave que ça ? - ma tante ...
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