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Il ne m'a jamais rien dit pour l'emprunt de sa voiture, car afin de ne pas qu'il se dise que je ne roule pas avec, avant de rentrer, je faisais des km, Mme De, allait plus souvent au coiffeur qu'au début, elle allait aussi chez l'esthéticienne, à la demande de jean surement, petit à petit, le soir à table, contrairement au début, elle était habillée plus moderne, elle changeait crescendo, afin que je ne remarque pas le changement.
Un autre soir, j'ai attendu longtemps, dés qu'ils sont dans la salle, je monte et me poste, lui est sur le canapé, elle avait mis une tenue limite p**e, très maquillé, elle marche en racolage devant lui qui lui dit de plus se déhancher en l'insultant, de tortiller du c*l, elle lui obéit sans résistance, elle s'applique même, sur un trottoir, elle aurait du succès et des clients.
Il lui demande ensuite de faire un striptease, sans être une professionnelle, elle se débrouille très bien, elle arrive à m'exciter de la voir se trémousser, des pensées malsaines m'arrivent, je regrette de ne pas avoir gardé quelques négatifs, elle m'excite, je lui demanderais bien le même traitement, mais j'ai peur qu'elle le dise à jean si je n'ai rien contre elle, aime t'elle les femmes, je suis dans l'inconnu sur le sujet.
Après l'effeuillage, étant nue, elle le s**e à sa demande, cela dure une minute, il se lève et lui dit d'aller se mettre à plat ventre sur la table et il la b***e, jean a du mal à se contrôler, il jouit alors qu'elle n'est pas prête, je l'entends dire, "ho non maître, pas déjà, b****z-moi encore maître, bourrez-moi", jean la bourre encore un peu, mais pas suffisamment.
Il lui donne un gode et lui dit, "finis-toi avec ça", ce qu'elle fait, allongée sur le canapé, elle se gode pendant qu'il lui tripote les seins, quand elle jouit, elle hurle avec retenue son plaisir pendant que jean l'insulte, voyant comment cela se passe, je comprends pourquoi jean n'est pas si entreprenant avec moi, ce n'est pas ce qu'on appelle un bon baiseur, il a peur que je lui fasse une mauvaise pub.
Un autre soir, deux semaines après, ou je les laisse seuls, lui est en boxer, et torse nu, sans être un athlète, il est bien foutu, de le voir ainsi m'émoustille, dommage qu'on se connaît de trop et qu'il est bizarre comme tout le monde dit, son boxer est déjà déformé, dans ces moments-là, je me dis, "au diable les quand dira-t-on, s'il vient dans ma chambre, je l'attendrais nue", mais heureusement que quand l'excitation de ce moment-là est passé, je me reprends.
Mme De arrive en tenue d'écolière, avec chaussettes blanches, jean a beaucoup de fantasmes, elle a quand même du charme dans cette tenue, jean rouspète en disant qu'elle a eu de mauvaise note, elle rentre dans son jeu en inventant une excuse plus que bidon.
Vient là dit-il, l'allongeant sur lui, sur le ventre, prenant appui sur une main au sol et l'autre sur le canapé, il remonte sa jupette, baisse sa culotte blanche et la fesse, apparemment, il ne frappe pas assez fort, elle demande plus de fermeté, il continue plus fort à sa demande et au bout d'une dizaine de tapes, il lui met la main au sexe qui a l'air bien trempé, car il dit, "mais tu aimes ça c***n", il lui en remet d'autre plus fort et plus vite.
Jusqu'au moment où elle commence à ressentir que ça chauffe, car elle gémit en se tendant les muscle des jambes et du dos, il arrête et lui dit, s**e-moi, elle s'exécute en vitesse, lui sortant le sexe de son boxer, qu'est-ce que j'aimerais être à sa place, sans être une bête de foire, il a vraiment une dimension respectable, dommage même qu'il ne sache pas s'en servir, cela viendra peut-être avec l'expérience.
Suffit s****e dit-il, va m'attendre penchée sur la table, Mme De, contrairement au début, s'exécute aussitôt qu'il ordonne, c'est lui son maître, à l'époque, c'était la partie qui me dégoûtait le plus, comment une femme pouvait-elle obéir ainsi à un homme, en s'humiliant de la sorte, les mois suivant me l'ont fait comprendre, même si je ne suis pas à cette pratique, (pas encore), (moi qui écris ici, je le comprends tout à fait par contre, son récit m'avait fortement émoustillée quand elle me l'avait raconté).
Mme De, penchée sur la table, attend d'être s*****e, se connaissant, il ne la b***e pas de suite, il la gode, le gode dans une main et la cravache dans l'autre, la culotte en bas des jambes, quand elle veut se toucher, la cravache s'abat sur elle, elle ne peut que dandiner son c*l pour mieux recevoir le plaisir, de mon côté, je me m******e aussi, je suis prête à jouir, mais j'attends le moment, celui ou, il ou elle jouira aussi.
Mme De n'a plus aucune retenue, elle hurle, elle gueule, elle demande, "encore maître, faites jouir votre p****n, oui là, plus vite, encore plus vite, je veux jouir maître", il répond, "c'est vrai, tu veux jouir c***n, tu es une vraie morue, une sale p**e", comprenant qu'il faut qu'elle s'insulte, elle répond, "oui maître, je suis votre morue, vous pouvez tout me faire, tout me demander maître, je vous appartiens, faites jouir votre s****e".
Il s'active encore un peu avec le gode, puis posant la cravache, il baisse son boxer, (moment que je préfère), il la pénètre d'un coup, elle émet un grand gémissement, il lui donne le gode pour qu'elle se vibre le clito.
Elle se vibre et commence à gémir en répondant à ses insultes, "oui maître, je suis votre p**e, je vous appartiens maître, b****z-moi, haaa, non maître restez", il s'était retiré d'elle, j'ai pensé qu'il jouissait, mais non, il lui dit de continuer de se goder, d'où je suis-je n'ai pas de vue précise, mais j'entends ce qui se dit.
Et j'entends, "non maître, pas par là, non maître", tais-toi s****e", "non maître, non, haaaaa, oui maître encore, haaa, c'est bon maître", tu aimes ça te faire e*****r s****e, je t'ai vu au club te faire défoncer le c*l, hein, tu aimes s****e, dit le", "oui maître, j'aime ça, c'est tellement bon de se faire défoncer, je viens maître, je....... , haaaaaaa".
Jean venait de l'e*****r, elle appréciait grandement, à cette époque, je me demandais comment pouvait-on être aussi s****e, quelle horreur que se faire s*******r, cela ne m'empêche pas de jouir en même temps qu'elle, jean n'a pas trainé non plus, il lui a donné encore une dizaine de coups de reins, puis lui a tout mis dans son fondement pendant qu'elle lui disait, "oui maître, remplissez-moi, videz bien vos couilles dans mon c*l".
Avec les années, je me suis demandé si ma présence dans la maison ne les excitaient pas davantage, la peur que je les surprenne, l'humiliation qu'elle aurait si je la surprenais, quelques semaines après, les soirs de relâche, jean revenait me mater, j'attendais cela impatiemment, il venait me mater en se masturbant, en le voyant avec Mme De, j'avais compris qu'il n'était pas ce qu'on appelle un baiseur, mais plus un voyeur, un dominant.
J'étais de plus en plus dénudée quand il venait dans ma chambre, ma chemise de nuit bien remontée, j'avais moins peur qu'il me saute dessus, un soir, dans le miroir, je découvre qu'il n'est pas seul, j'étais sur le dos, le sexe visible et un sein sorti, je me dis, ce n'est pas un copain et j'entends chuchoter, sans en comprendre les mots, mais les devinant", vas-y, s**e-moi", les yeux fermés, j'entendais à voix très basse toujours, le oui maître, c'était Mme De qui était là, à le satisfaire, heureusement qu'il faisait sombre, mon sexe était tout trempée.
Depuis quelque temps, j'avais acheté des boules de geisha, plus facile à cacher, un soir, je me les suis mise, et j'attends qu'ils arrivent, quand ils avaient fait deux soirées de suite, j'étais sûr que la troisième était dans ma chambre, j'avais fini à me mettre sur le côté, en position de fœtus, ma chemise de nuit complètement remonté, je leur montrais mon derrière, et quand je voyais Mme De qui le suçait, je bougeais doucement comme un sommeil agité et prenais un o*****e silencieux en même temps que lui.
Je prenais de plus en plus de risque, et aussi de plus en plus de plaisir, une fois, je m'étais allongée sur le dos et jambes légèrement écartées, sans mes boules, elle était là aussi, je ne pouvais les voir, mais je les ai entendu chuchoter ensemble, il lui dit de regarder ma chatte et elle répond, "oui, on en mangerait", après leur départ, je me suis masturbé en fantasmant sur Mme De qui me bouffait ma chatte.
Je les avais suivis quelques vendredi ou samedi, j'avais acheté une perruque afin de rentrer dans les clubs où ils allaient, plus loin encore que ceux ou on avait été, Mme De, était exhibée, tripotée, baisée même, quand jean voyait qu'elle était trop en centre d'intérêt, ils partaient, il ne voulait pas que trop de monde sache de peur de tomber sur quelqu'un de connu.
Il n'y avait généralement que des hommes qui étaient autour, sauf une fois, un couple de la quarantaine approche, l'homme parle à jean, j'étais trop loin pour entendre, il a dû lui dire oui, car la femme passe sa main sous la jupe de Mme de, elle n'a pas le temps de refuser, jean lui fait signe de se laisser faire, l'homme lui tripote les seins, jean tripote la femme, Mme De, tient l'épaule de la femme et commence à onduler.
L'homme parle à jean, et ensuite, ils sont partis s'isoler, je n'ai pas pu rester, comme d'habitude, dés qu'on arrive, on nous repère, on attend un peu, et dés qu'ils sont certains qu'on est venue seule, on vient nous draguer, tous ceux dans ce genre d'endroit, étaient des "vieux" de plus de 30 ans, à cette époque, celui qui avait cinq ans de plus que moi, était des vieux pour moi.
J'avais vu que Mme De n'était pas réticente au plaisir entre femmes, c'est la seule fois où j'ai pu le vérifier, autant avant, elle ne me donnait aucune envie de gouiner avec elle, et autant depuis que je l'ai vue nue, elle m'excite, je ne sais pas comment faire pour l'aborder et j'ai peur qu'elle le dise à jean.
Il arrivait, que jean parte seul, certains weekend, et que je reste, un de ces soirs, j'était nue sur le lit et je m'imaginais jean, qui allait venir me voir pour se branler, je savais qu'il n'était pas là, j'étais jambes complètement écartées, comme je ne bougeais pas, j'entends comme marcher sur la pointe des pieds dans le couloir, je pense à un bruit extérieur, mais j'entends la poignée s'ouvrir doucement, je me dis, jean est revenu ou alors j'avais mal compris, je me tourne vers la fenêtre, coté miroir.
Et là, j'entends, "vous dormez", j'allais dire non, mais il me vient à l'esprit, que comme Jean, elle contrôle si vraiment je dors, quand jean vient, je ne bouge pas, elle redemande et suffisamment fort pour que j'entende, si mon sommeil était léger, elle essaie une troisième fois, je ne bouge pas, et là, je vois une lampe très petite s'allumer, je n'avais pas pris la position adéquate pour me montrer, et je craignais de bouger pour lui faire peur.
Sans la voir de façon nette, je la devine se m*******r, sur le coup, j'aurais dû en profiter, mais je n'ai pas été assez rapide, de plus, je n'avais aucun plan, après ma surprise passée, comme je suis sur le côté, je me mets complètement sur le ventre, j'aurais préfère sur le dos, mais elle aurait vu mon visage sur elle, et aurait pus penser que je me réveille, alors que sur le ventre, je ne la verrais pas.
Tendant l'oreille au maximum, la tête sur le coté miroir, j'écoute ce qui se passe, soit la porte soit qu'elle reste et là, j'entends qu'elle se m******e, son souffle ne laisse aucun doute, une fois partie, je me m******e à mon tour.
Deuxième partie
Forte de ce que je viens de comprendre, que je fais de l'effet à Mme De, qui maintenant ne m'est plus indifférente, je me mets en tête de chercher un moyen de profiter d'elle moi aussi.
C'est lors de ce weekend, seules toutes les deux qu'une idée me vient, depuis qu'elle est avec jean, elle ne va plus au bridge, (donc, plus en club seule), le vendredi soir, j'avais pris la voiture et les avais épié dans leur jeu, ce samedi matin, jean était partie de bonne heure.
L'idée qui me vient, est de prendre le gode que j'ai vu la veille dans leur jeu, et de le mettre dans le canapé, entre le dossier et le siège, la ou les miettes et la poussière se mettent, cela n'est pas trop possible, car il se verrait, et elle le retirerait aussitôt, je profite que le samedi après midi, elle soit de sortie shopping, je suis censé être chez une copine, sachant ou est la clef de son tiroir ou se trouve ce gode, je le prends et le cache.
Je ressors ensuite et je vais m'acheter des dessous sexy, je rentre en fin d'après-midi après elle, elle était en train de lire, je révise un peu, on mange, et puis après, je lui demande ce qu'elle regarde à la télé, je lui dis, que je la regarderais avec elle, elle est étonnée, mais comme je me suis levée tard le matin, elle pense que j'ai mon compte de sommeil.
Après le repas, je prends ma douche, elle débarrasse, alors qu'avant, c'était à moi de le faire, je m'installe sur le canapé, cote droit, je mets le gode dessous et sur le côté, il y a des coussins sur le canapé, avant que Mme De s'installe à son tour, je me lève et dis, "ha tient, je vais profiter que jean n'est pas là, je vais dans ma chambre et reviens en soutien-gorge et string.
C'est une chose que je n'aurais jamais osé faire, mais comme je l'ai vu dans des situations bien plus hard, je n'ai aucune gêne, quand j'arrive devant elle, je la sens troublée, elle fait un, "mais, vous.... ", Je lui dis, "oui, j'en profite, comme nous ne sommes qu'entre femmes", quand même dit-elle, le film commence, je ne la vois pas me regarder, si elle n'avait pas une aventure avec jean, elle m'aurait renvoyé ad pâtre dans ma chambre, pour mettre une tenue plus convenable.
Au bout de cinq minutes, je gesticule sur le canapé, elle me regarde bouger en jetant furtivement un coup d'œil, après plusieurs gesticulations, ou je devais être énervante, elle me dit, "vous avez des vers", comme je m'y attendais plus ou moins, je saute sur l'occasion et dit, non, mais je ne sais pas, j'ai un truc qui me rentre dans les fesses, je ne sais pas ce que c'est.
Je me mets au bord du canapé et fouille, j'attrape le gode que j'avais enfoui dés le début du film, et le brandissant, je dis, "c'est quoi ça", Mme De, étonnée et toute rouge dit, "ho mon dieu", disant cela, elle se rend compte qu'elle s'est trahi, elle tend la main pour le saisir, mais je le ramène à moi en lui disant, "c'est a vous".
Mme De vie un grand moment de solitude, elle dit, "non, oui, enfin je..., ce n'est pas ce que vous croyez, je le mets à mon nez et lui dit, il a servie, contre toute attente, elle se lève, et va dans sa chambre, j'avais envie de la rejoindre, mais je n'ai pas osée, j'éteint la télé et devant sa porte, je lui dis que je monte me coucher, en fait j'éteins les lumières, je monte dans ma chambre en faisant du bruit dans les escalier et en fermant ma porte, puis je redescends en catimini.
Je m'allonge sur le canapé, j'ai toujours le gode avec moi et j'attends, je ne sais pas quoi faire, je n'avais pas prévu sa fuite dans sa chambre, j'espérais dialoguer avec, qu'elle me dise comme avec jean, "ne dites rien, je ferais tout ce que vous voudrez", mais je repense à leur première fois, elle n'a pas été favorable au début, elle a agi pareillement, de plus, jean avait des photos d'elle hard, moi, je n'ai qu'un gode, maigre moyen de pression.
J'attends bien une demi-heure, mais rien ne se passe, elle s'est mise au lit, j'ai vu la lumière s'éteindre sous sa porte, j'attends encore une demi-heure, en me disant, qu'elle va venir pour récupérer le gode, je fantasme même qu'elle se m******e en pensant à moi, qui sais qu'elle se gode, mais hélas, je n'entends rien lorsque je me lève pour écouter à sa porte, je ne sais même pas si elle dort ou pas, je m'en veux même de lui faire peut-être passer une mauvaise nuit.