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3998 Words
La demi-heure étant passée, je lui dis : "voilà , tu as eu ta récompense". Elle me répondit "oui Mme, au-delà de mes espérances". Son retour au vouvoiement m'indique qu'elle veut être mon objet et non qu'on soit amantes. Je rentre dans mon personnage en lui disant : "tu en auras d'autres si tu le mérites, va chercher les jouets". Elle revient mais sans la cravache. Elle l'avait glissée sous le canapé. J'en profite donc pour prétexter une punition. Le lit étant plus confortable, je reste dans la chambre. Je lui fais s'appuyer sur la tête de lit, je m'assois et lui pince un téton de ma main gauche et quand ça commence à être douloureux, je lâche son téton et lui mets un bon coup de cravache, je recommence cinq fois. Ce jeu est nouveau pour moi. Avant, je ne croyais pas que cela existait ce genre de perversion, je voyais cela comme une caricature, je voyais cela comme un jeu que chacun jouait à tour de rôle, un peu comme une corvée de vaisselle, aujourd'hui, c'est toi, demain, ça sera mon tour, mais je n'imaginais pas que la personne fouettée, humiliée, abusée, y prenait réellement du plaisir. Sans le savoir, Jean m'a éduquée, et je prends goût à avoir un jouet sexuel, surtout que ce jouet a toutes les qualités qu'il faut. Mme De était déjà une femme que j'enviais étant ado, ensuite c'est une femme, qui, sous ses oripeaux, (c'est ce que je me disais à l'époque, car à vingt ans on pense que celles de cinquante sont des vieilles grands-mères), s'avère être bien conservée. J'avais vu dans son tiroir à jouets un tube de vaseline. Je le prends et lui dis, "allez, en levrette sur le lit et en travers", tel un toutou elle s'y met. J'enduis sa rondelle et lui mets le chapelet de boules, elle va pour se toucher, je prends la cravache et lui en mets un coup en disant, "sur le lit les pattes, s****e", j'attrape son clito pour qu'elle mouille, elle gémit et j'en profite pour lui mettre toutes les boules. Je lui dis :, "eh bien, tu as du coffre s****e, on en met la dedans, y a dû en avoir du passage" (sachant qu'elle a été très attristée du décès de son mari, je n'ai pas été sur le sujet), je lui dis donc : "eh bien, tu n'as pas dû le ménager ton trou de balle, ça a dû y aller les godes, hein p****n", titillant son clito pendant ce temps, elle me répond : "oui Mme, j'aime ce que vous me faites". J'attrape le gode et la pénètre, elle lance un "ouiiii", je l'active, elle veut se toucher, mais je le lui interdis, elle ne peut qu'onduler à son rythme, je m'arrange pour qu'elle ne puisse jouir, et puis au bout d'un moment, je lui dis de se mettre sur le dos, je l'enfourche, mettant mon sexe sur sa bouche, en lui disant, gode toi et s**e moi, mais comme ce n'est pas pratique avec ma jambe qui gêne son bras, je lui dis : "attends, c'est moi qui te gode", et je me mets en 69. Je lui dis, "humm, tu s***s vraiment bien p****n, tu sais y faire, hoooo s****e, tu vas me faire jouir avant toi". J'active le gode, elle s'active aussi de son côté. Nous sommes comme à une compétition, celle qui fera jouir l'autre avant. C'est elle qui gagne. Je retire le gode et je lui bouffe sa chatte pendant qu'elle me boit, elle finit par jouir dans ma bouche aussi. Après coup, je me dis, que jamais je n'ai vu Jean la s***r. Après avoir joui, je m'allonge sur elle, et lui embrasse les seins. Elle ne me dit pas "je t'aime", mais "je t'adore". Nous avons ensuite été nous rincer, elle a tout rangé le matériel, après ma douche au premier étage, je vais direct au lit, j'entends qu'elle se douche, j'attends. Au bout d'un certain temps, ne la voyant pas venir, je descends et la vois couchée, je rentre comme chez moi, je vois son air étonné de me voir. La peur au ventre, je m'impose a elle en dominante, j'ai peur qu'elle me dise, "fini de jouer", elle ne dit rien, je lui demande pourquoi elle ne m'a pas rejoint. "Ho, pardon Mme, je ne savais pas quoi faire, j'avais peur de vous déranger". Mais non, viens lui dis-je, apporte le gode et cravache, on ne sait jamais. En fait, elle apporte le sac plein. Encore sous le coup des orgasmes, nues dans le lit, on se repose un peu, je suis contre elle sur son épaule, elle me caresse les cheveux, un peu comme mère et fille. Je lui dis : on fait une pause, puis on discute un peu sur ce qui nous arrive, elle dit "oui Mme", mais je lui dis, de dire Lucie, le Mme, ça sera pendant le jeu. Depuis que je lui ai fait le coup du gode coincé dans le canapé, j'étais étonnée que tout ait été si vite,. Elle me dit qu'en plus d'avoir eu "le coup de foudre" le jour de mon installation, elle m'avait remarquée aussi à une kermesse du village, je devais avoir 16 ou 17 ans, que je l'avais troublée avec ma minijupe, qu'elle ne comprenait pas ce qui lui arrivait, car elle n'était pas bisexuelle. Ensuite, il y a eu le jour de mon arrivée. Elle me raconte qu'elle me guettait le soir quand je descendais l'escalier en chemise de nuit pour venir regarder la télé une dizaine de minutes, elle regrettait qu'ensuite je ne vienne plus. Mais elle ne savait pas que lorsque je ne venais plus, c'était parce que je la laissais seule avec Jean. Elle ne me parle pas d'être venue dans ma chambre, ni de Jean, elle me dit que lorsque je lui ai montré le gode coincé au canapé, elle n'a pas compris comment cela a pu arriver, mais que lorsque je l'ai pris en main devant elle, elle a été très excitée, mais surtout très contrariée, ne se doutant pas que je deviendrais celle que je suis, une belle fille comme moi avec une femme comme elle, elle prenait mes "avances" pour du foutage de gueule, mais en même temps, elle essayait d'y croire, elle se masturbait tous les soirs en y pensant. De mon côté, j'étais bien ennuyée pour lui dire que c'était de la voir habillée sexy à la demande de Jean. Je lui invente une histoire dans le sens qu'avant, du temps de l'usine, elle était élégante et que de la revoir là, j'avais déjà cette idée et de voir qu'elle se godait, j'avais décidé de passer à l'acte, car j'avais envie qu'elle soit ma chose, mon esclave sexuelle. Elle m'embrasse, je t'appartiens dit-elle. La Mme De, public et la Mme De, en privé, ce n'est plus la même. Elle est câline, protectrice, je lui dis, tu feras tout ce que je te demanderais? Elle me redit "oui tout". Voyons voir dis-je... Je me lève, je sors un châle, je lui mets autour du cou, et on va dans la chambre à Jean. La demi lune éclaire un peu le jardin. Je lui dis : "c'est un test, tu sors telle que tu es, tu mets juste des chaussures et tu vas au fond du jardin en marchant normalement, puis tu ne reviens que lorsque j'allumerai la lumière de la chambre". Elle va pour dire non, mais je la coupe, en faisant la grimace d'un éventuel refus, comprenant qu'elle doit obéir. La gorge serrée, le trou de balle à zéro aussi, elle descend et sort. Les chambres sont éteintes, je la vois en dessous de la fenêtre de ma chambre, puis je vais dans celle de Jean, connaissant l'endroit la nuit pour l'y avoir épiée, le seul endroit à risque, est le devant de la maison. Je la vois de dos aller au fond du jardin, je vois bien qu'elle est nue. Il fait frais, elle regarde à droite, à gauche, priant que personne ne la découvre, puis elle attend. Comme il fait froid, je ne la laisse que quelques secondes immobile. J'allume la lumière, je contrôle qu'elle revient et je retourne dans mon lit. Elle revient en disant : me voila Mme. Je lui réponds : bien, petite p**e, viens te réchauffer contre moi. Elle ne se fait pas prier, elle frotte nos corps, on s'embrasse, l'excitation la réchauffe rapidement. Les rideaux ne sont pas tirés, je lui dis en retirant les draps : "va t'occuper de ma chatte maintenant, je te laisse libre de choisir comment tu veux me faire jouir, tu as carte blanche". Je la devine attraper des jouets, et je sens d'entrée le gros gode, je profite. C'est super excitant de commander quelqu'un pour son propre plaisir. Elle me vibre le clito, me pénètre, je gémis sans me retenir, elle me vibre même l'anus par moment. Je comprends pourquoi ensuite, toujours en me le vibrant, elle m'en met un autre plus petit au bord de l'anus. Je dis, "ho non, pas par là", m'ayant déjà mis un doigt. Elle sait que je dis non pour sauver les apparences, car elle dit, "si Mme, vous allez aimer". Tu sais y faire s****e, lui dis-je. Elle me dit : merci Mme. Elle vibre encore un peu, je gémis de plus en plus, elle me retire le petit gode, je dis non, je le sens revenir, mais en fait, c'est le gros qu'elle commence à rentrer. Je lui dis, "ho non pas celui là". Mon ton n'a rien d'autoritaire, elle me dit : "mais si, Mme, vous allez adorer, regardez Mme, vous écartez même les fesses, pour que ça rentre mieux" . En effet, je facilitais le passage. Une fois rentré bien à fond, j'ai à peine le temps de faire "oufff", qu'elle me s**e le clito. Elle a compris que j'aime être soumise quand je me donne au plaisir, elle joue avec mon autorité, elle sait que je suis à sa merci. Elle retarde mon o*****e, m'en approche et le retient. Je lui dis : "fais moi jouir s****e" . Elle me répond : "je m'y emploie Mme", mais je vois bien que ce n'est pas le cas. "Aller p****n" lui dis-je. Elle répond, "ho Mme, ce n'est pas digne d'une sainte, ou alors, Mme n'est pas une sainte".  Je dis : "non", elle me répond, "si vous n'êtes pas une sainte, vous êtes quoi Mme". "Vous n'êtes pas une s****e tout de même, ni une c***n". Je réponds : "si, tu le vois bien que je suis une s****e, une gouine aussi". Elle me rétorque :"vous êtes la s****e à qui Mme ?". Comprenant où elle veut en venir, je lui dis : "à toi, je suis ta p**e, ta s****e, fais moi jouir". Elle me bouffe la chatte en prenant le clito par moment, et je pars dans un grand râle de délivrance, je lui serre la tête entre mes cuisses. Mon o*****e est long, elle me bouffe littéralement, elle se régale de ma jeunesse, elle ne me parle plus, elle aspire tant que j'ondule. N'en pouvant plus au bout d'un moment, je lui cris "assez, assez". Elle s'arrête en me demandant si sa prestation m'a satisfait. Je lui dis que oui, je ne lui parle pas de son arrogance à vouloir me faire dire que j'étais une s****e, cela m'a accentué le plaisir. Elle me dit qu'il se fait tard et qu'il y a les cours demain. Je lui dis de rester dormir. Elle me répond que si elle reste, elle va avoir du mal à résister, et que mes cours risquent d'en pâtir. Je lui dis : "demain matin, je veux le petit déjeuner au lit à telle heure". Elle me répond : "bien Mme, il sera fait comme Mme le désire". Et j'ajoute "et dans la journée, tu iras t'acheter un déshabillé sexy et tu me prendras des bas, pas en boutique mais dans un centre commercial, là ou c'est abordable". "oui Mme" dit-elle. En fait, le lendemain, elle me montre la tenue qu'elle mettait avec Jean, au cas où, si je fouillais son armoire, ne pas avoir à justifier cette lingerie. Elle me sort même plusieurs soutien-gorge et string ainsi que des bas. Elle n'a pas voulu que je paie, en justifiant qu'elle allait m'arracher mes dessous la prochaine fois. Je n'aime pas profiter, mais même avec des moyens plus importants qu'en coloc avec Jean, mes finances n'étaient pas terribles, les siens par contre, c'était l'opulence. Elle n'arrivait pas à dépenser la moitié de ce qu'elle touchait en reversions. Le soir : repos. Même si nous sommes cote à cote à la télé, elle fait le repas, débarrasse, en somme, elle est ma servante. Le lendemain matin, je lui dis d'aller dans un sexe shop, acheter un gode ceinture. Elle fait un "ho", dans le sens qu'elle n'osera pas rentrer. Mais je lui réponds qu'avec tout le matériel qu'elle a déjà, ça ne l'avait pas arrêtée. Ne pouvant pas répondre, elle dit : "oui Mme". Je lui dis : "c'est ça, ou alors, je te ferai traverser la rue comme pour le fond du jardin". Quand je dis cela, elle ne le montre pas franchement, mais je sais qu'elle craint une telle demande, je sais aussi que ça l'excite. Mais le temps du jeu est une chose, il y a l'image qu'on donne au voisinage, je comprends très bien cela. J'aimerais que Jean me prenne, même de force, mais après, je ne vivrai que dans l'angoisse de croiser quelqu'un qui serait au courant. Je lui rappelle ce que j'avais décidé, que pour la récompenser, je lui donnais sa demi-heure ou plus, où je me donnais intégralement. En disant cela, elle savait que c'était aussi à moi que je pensais. Je lui rappelle aussi que le soir, je choisis sa tenue, et elle, elle choisit la mienne, qu'en disant cela, je pensais aux dessous. Le soir après dîner, et après la douche, je lui avais dit de se mettre en déshabillé. Mes affaires quant à moi, sont préparées sur son lit. J'y vois une jupette très courte, plissée, bleu marine, et une chemise à carreaux, culotte et soutien-gorge blanc, des chaussettes blanches aussi et des souliers vernis. Si les premières secondes je ne comprenais pas, tout s'est très vite éclairé... C'est la tenue que je portais à l'époque où mes parents n'étaient pas très modernes, la mode n'était pas dans leurs moyens. Je me suis fait foutre de moi ainsi, je n'étais pas la seule, mais maigre consolation!!! Je m'habille et la rejoins. Elle me dit : "magnifique Mme". Je lui dis : "sais-tu qu'à une époque, j'étais la risée ainsi". Elle répond : "c'était toutes des idiotes, vous étiez la plus belle, elles devaient rire jaune". Je lui dis : "viens la s****e, je vais te punir de me faire porter cet accoutrement ridicule, à genoux devant moi p****n". Elle m'obéit. J'ajoute : "que m'aurais-tu fait à l'époque si nous étions comme maintenant"? Elle va pour parler, mais je lui dis : "non, montre le moi, ne me le dis pas, je te laisse commencer par ta demi heure, tient, une heure même". Elle me caresse les jambes, les cuisses, elle s'approche de mon sexe, mais redescend sa main. "Tu aimes me faire languir?". "oui ma sa....", cela lui a échappé, mais là-dessus, j'ai les mêmes goûts qu'elle. Je lui dis :"pendant cette heure, tu as tous les droits, de me faire faire, de me dire, ne t'interdis rien". Elle ajoute : "même ça"? dit-elle, en me montrant la cravache... J'ai un pincement de lèvres car ce n'est pas mon truc, par contre, la fessée ne me déplaît pas. Je lui dis en grimaçant : "je n'aime pas trop, mais la fessée... pourquoi pas". Bonne idée dit-elle. Elle s'assoit et me fait mettre sur ses genoux. Je suis en train de découvrir que j'aime être soumise, du moins, lui être soumise, car quand je lui donne "la main", je reconnais là, son ton autoritaire de l'époque, la vraie Mme De. Mme De n'est pas une imbécile. Avant d'être mariée, elle était enseignante, elle s'est ensuite occupée de l'usine de son mari et elle a fini par la diriger en sous-main. En ce moment même, je me dis que je suis peut-être en train de la perdre, que c'est elle qui va me diriger, l'idée m'excite même. Elle me caresse les fesses, puis un premier coup cingle. La première chose qui me vient à l'esprit, c'est la honte. Je prends conscience que je lui montre mes fesses et qu'elle me les fesse. Cette honte, au lieu de m'effrayer, m'excite. Elle passe ses doigts sur mon sexe à travers la culotte, elle la découvre toute trempée, accentuant mon excitation. Elle me la baisse ensuite et me remet six autres claques en alternant les cotés. Je me tiens une main à terre et l'autre sur le canapé, pour rester droite. Elle attrape le gode, et me pénètre avec après l'avoir mis en route. "Alors petite cochonne, c'est bon hein?" me dit-elle. Je lui réponds : "oui Mme sans réfléchir. Je prends une bonne claque sur les fesses en même temps qu'elle retire le gode, et elle me dit : "Mme qui", je lui dis, "Mme de". "Bien petite s****e, il va être temps de te dresser" me rétorque-t-elle. Je lui réponds : "Oui Mme De". Elle avait compris que c'était la "châtelaine" qui m'excitait. Elle entretient comme elle sait le faire, mon excitation prés de l'o*****e, sans l'atteindre. Je me donne entièrement à elle. Je perdais le contrôle, elle le savait, c'était elle qui avait le dessus, aucun homme ne m'avait excitée ainsi et aucune fille non plus. Elle avait l'expérience, mais laquelle, je ne lui connaissais aucune aventure lesbienne. Le plaisir est tellement intense par moment, que je l'arrête avec ma main. Elle me dit : "Hoo!!! elle se rebiffe la cochonne". Elle sort les deux attaches poignets, et me les fixe devant, puis elle reprend. J'ai les deux mains sur le canapé, j'ondule, mais elle s'appuie pour limiter mon déplacement. Elle me demande si je veux jouir? Je réponds : "oui Mme De". Elle me redemande plusieurs fois si je veux jouir en ajoutant "s****e ou petite p**e" à chaque fois. Je réponds : "oui Mme De, la s****e que je suis veut jouir". Elle arrête de me goder et m'enfonce le gode dans le c*l. Elle me fait mettre en appuis sur l'accoudoir, puis je vois la nouvelle acquisition : le gode ceinture, qu'elle s'attache. Elle me fait serrer l'anus pour éviter que le gode s'échappe, mais elle a juste le temps de le retenir avant qu'il ne tombe. Elle me le renfile et me pénètre la chatte avec le gode ceinture, empêchant le premier de ressortir, elle me lime un peu puis me dirige vers la table, celle-là même où je la voyais avec Jean se faire bourrer. Elle m'attrape les hanches et me bourre pareillement. Ne pouvant jouer avec mon clito, le plaisir ne monte que progressivement. Elle me lime et je module ses coups de reins pour prendre le maximum de plaisir menant à l'o*****e. Elle me traite de p**e, de truie, de s****e, de morue. J'adore cela et dans sa bouche, cela contraste avec celle que je connais. Puis finalement, je me fixe, elle sent que je vais venir et ne bouge plus, puis c'est l'explosion, je hurle de plaisir, je me remue à nouveau et elle aussi. Quand elle se retire et m'enlève le gode, je me tourne vers elle et je sens le plaisir qu'elle a, à m'en donner. Je passe mes bras à son cou et l'embrasse sur la bouche, je sais qu'elle adore ça et moi également. Après s'être sucé les lèvres et les langues, elle me dit que l'heure n'est pas finie. Je lui dis : "non Mme De". Après m'avoir détachée, elle se met sur l'accoudoir du canapé et me dit : "lèche moi le c*l s****e". Je m'exécute aussitôt. Elle me guide... tantôt je lui lèche la rondelle, tantôt la chatte. Elle déguste la caresse puis elle me dit d'enfiler le gode ceinture. Elle me met un plug et me demande de lui mettre le sien. Elle m'enfile des boules et me demande de m'allonger sur le dos, elle vient ensuite s'empaler sur le gode ceinture. Je lui malaxe les seins pendant qu'elle se b***e sur le gode. Les boules m'excitent aussi. Elle me regarde en me disant que je suis belle, puis je vois sa bouche s'ouvrir doucement, ses yeux vaciller, la voilà en route sur le chemin de la jouissance. Cela m'excite, certains hommes disent, qu'il n'y a rien de plus beau qu'une femme qui jouit. Cela, je peux le confirmer. Se doutant du travail des boules, elle me retire la ceinture et va me s***r. En plus d'une bonne langue, elle a aussi une façon particulière de faire rouler mon clito entre ses doigts. Quand je recommence à vouloir l'arrêter, elle passe ses mains par en dessous de mes cuisses et me tient les mains qu'on a enlacé. Elle me bouffe la chatte, se servant de ses mains qu'elle me tient pour que sa bouche ne se décolle pas de mon entrecuisse. L'o*****e arrive, j'ondule pour essayer de frotter mon sexe sur sa bouche, mais elle me tient fermement. Je jouis à nouveau. Elle me lâche les mains, je lui attrape la tête pour qu'elle accompagne mes soubresauts. Je suis sur le canapé sans force, elle est assise à terre adossée au canapé, la tête en arrière sur mon ventre, nous reprenons notre souffle. Cette fois, l'heure est passée. Je lui attache les poignets avec les chevilles en étant à genoux sur le canapé. Je la lèche puis je la gode. Quand elle est prête, j'essaie de lui attraper le clito comme elle me fait, mais je suis moins douée. Une fois qu'elle est bien excitée, je me mets sous elle en 69, et je la gode ardemment attachée comme elle est, elle ne peut que m'embrasser les cuisses et aussi le sexe quand je me place. De la sentir excitée, ses baisers font que je commence à ressentir une excitation. Avec mes jambes, je me positionne pour qu'elle ait mieux accès à ma chatte. Elle me s**e, mais elle jouit bien avant moi. Elle ne se retient plus du tout maintenant, elle hurle comme une truie. Une fois sa jouissance passé et pendant qu'elle se remet, j'ai entrepris de me goder pour soulager le plaisir qu'elle m'avait refait naître. Une fois remise, elle me regarde me m*******r. Cela m'excite d'être regardée. J'alterne entre me goder la chatte et me vibrer le clito. Quand je me vibre, je lui demande de me s***r l'anus et quand je me gode, elle me s**e le sexe. Je regrette qu'elle soit encore attachée, mais je n'ai plus le temps d'attendre, le plaisir revient et je jouis. Elle me dit : "qu'est-ce que tu es belle quand tu jouis", et aussitôt retourne me boire. Je suis affalée sur le canapé et elle a sa tête dessus en étant au sol. Quand j'ai récupéré un peu, je la détache et elle vient me câliner. La salle de bain du RDC a une baignoire en plus d'une douche, elle me propose un bain que j'accepte. Elle m'appelle quand c'est prêt. J'y vais et je lui dis de rentrer dedans et je m'installe devant elle, entre ses jambes. On s'entend bien, j'ai comme une affection maternelle pour elle et elle me considère comme sa fille en dehors de nos jeux. Elle m'embrasse en disant que je suis sa fille qu'elle n'a jamais eu. On s'oblige à une journée soft entre chaque séance, même si des fois, ça dérape. Le samedi, elle me demande si je veux faire du shopping avec elle l'après-midi, je dis : "oui, pourquoi pas?"
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