Chapitre 3
~~Brayan~~
Des semaines après, je me suis complètement rétabli je vais reprendre mes activités MAIS pas ce que ce vous pensez je parle de mes supermarchés et je suis en construction d'un immeuble. Je prends une douche et m'habille d'un jean bleu et un Polo Ralph Lauren et je sors de ma chambre pour me rendre dans celle de ma mère, on a pas encore parlé de ce qu'elle a appris et je sais qu'elle est fâché. Je cogne elle me dit d'entrer j'exécute elle est assise entrain de lire une magasine de mode je m'assoie à ses pieds mets ma tête sur ses genoux.
Moi:maman je suis désolé pour ce que tu as appris.
Elle: (m'ignorant)
Moi:je... j'avais peur de ta réaction je ne voulais pas que tu te fâches contre moi maman.
Elle: quand on a peur on ne fait pas,si tu ne voulais pas que je me fâche fallait me dire comme ça on allait trouver une solution Brayan.
Moi: (la regardant) je suis désolé ma reine vraiment désolé.
Elle:
Moi:je ne recommencerai plus jamais je te le promets maman.
Elle:je l'espère Brayan j'espère vraiment que tu arrêtes tes bêtises ton père est déjà vieux c'est juste le sport qui le maintient sinon y'a longtemps il serait mort. Je ne veux pas qu'il reste fâché contre toi car la mort ne prévient pas et je veux que tu m'arrêtes ça.
Moi: je te promets maman je te promets que je vais tout arrêter.
Elle: (me regardant dans les yeux) arrêtes de fumer car ça gâte les poumons.
Moi: (souffle bruyamment) d'accord ma reine.
Elle: (souriant)tu m'envoies quand ma belle-fille ?
Moi: je suis célibataire maman et je n'ai pas envie de me mettre à corde au cou et chercher encore.
Elle: (soufflant) il faut chercher à te poser Brayan tu n'es plus un enfant.
Moi: maman s'il-te-plaît ne me presse pas d'abord tonton Rayan n'est pas marié ni Prince (me levant) alors ne me presse pas.
Elle: (me regardant) hum. Où vas-tu ?
Moi: je vais voir Ci-ci ensuite je vais chez Noël avec Dylan il est un peu souffrant.
Maman:oh mais je ne savais pas après je vais appeler sa mère pour la saluer mais avant de partir je vais te donner un bol de nourriture pour lui.
Moi: (souriant) je suis souffrant aussi maman.
Elle: (sortant de sa chambre) tchrrre.
Après je sors aussi de là je la trouve à la cuisine emballant le repas je lui fais un bisou prends le panier et je sors dans le garage. Je démarre direction chez ma grande sœur, ai feu rouge je regarde les filles passer elles sont très en forme. J'aime les fesses comme mon grand-père, mon père et mon grand frère c'est quelque chose de doux si voulez savoir. J'arrive chez Ci-ci 20 minutes plus tard je gare devant le portail car je ne vais pas durer. Dès que j'entre c'est ma nièce Léna qui me saute dessus cette petite aime trop s'amuser tout comme Suzie. Léna à 19 ans et à l'Université elle vit avec ses parents et ses sœurs.
Moi: (allant au salon) bon descends maintenant Nana.
Elle: (descendant) pff t'es trop relou à m'appeler comme ça imagine si mon gars t'entend.
....: (voix rauque)quel gars ?
Elle: (tremblant) papa c'est....je blaguais avec tonton Brayan je n'ai personne.
Loïc: y'a intérêt Léna. Comment vas-tu petit ?
Moi: (lui serrant la main) ça va je suis là.
Lui: d'accord tu sais j'ai besoin de quelqu'un à l'entreprise.
Moi:le grand.../
Lui:viens me voir lundi si tu ne te plais pas là-bas je te laisse tranquille.
Moi: (souriant) d'accord sans problème et Ci-ci elle est là ?
Lui:dans la cuisine comme toujours.
Ciéra: (depuis la cuisine) JE T'ES ENTENDU LOÏC TU VERRAS CE QUE TU VAS MANGER CE SOIR TCHRRRRRRE !!
Lui: (riant)tu viens de me créer un problème.
On éclate de rire en allant à la cuisine elle tourne pour bien nous toiser accompagné d'un long tchrre. On a parlé un peu et j'ai repris la route pour aller chez Dylan et enfin chez Noël. Arrivés je donne le panier à sa maman et on part dans sa chambre il dormait on l'a réveillé.
Noël: (nous regarde) qu'est-ce que vous faites ici ?
Moi:on est venu se balader.
Dylan:on vient draguer ta petite sœur idiot.
Noël: (souriant) vous êtes les meilleurs les gars bon je vais prendre une douche.
Dylan:enfin tu te décides franchement je n'arrivais plus à respirer à cause de ton haleine.
Noël: (jettant le coussin sur nous) espèce d'idiots.
Il se lève et part à la douche moi je m'assoie sur le canapé pour l'attendre Dylan lui est dans son dressing il cherche ce que Noël va mettre rapidement.
Dylan:il est trop compliqué en matière de vêtements ce petit.
Moi: une vraie femelle.
Dylan: ouais.
Noël: (depuis la salle de bain) JE VOUS ENTENDS ESPÈCES D'ENFOIRÉS.
Nous:ta gueule !!
On éclate de rire il sort et s'habille rapidement entre-temps sa petite sœur apporte un plateau remplie de nourriture et elle s'en va.
Dylan: (la regardant) p****n elle est en forme la petite.
Moi: (la regardant) hum. Mais c'est pas à goût.
Lui: tchrrre toi je ne sais pas c'est quel genre de fesses tu veux regarde comment elle est formé.
Moi:j'ai dit qu'elle n'est pas à mon goût frère.
Noël: (sortant de son dressing) même si elle était à ton goût tu n'allais pas goûter et puis arrêtez de la regarder moi je ne fais pas ça avec vos petites sœurs.
Nous:ok.
Lui: (mangeant) alors on fait quoi ?
Moi:je vais au supermarché pour voir les comptes.
Dylan:mais t'as déjà un comptable non ?
Moi:oui mais je veux y aller surtout pour les surprendre.
Lui:hum.
Après on sort de leur maison pour rejoindre ma voiture et eux les leurs on se retrouve au mon super marché. On entre discrètement je vais directement dans les bureaux des responsables ils sont surpris et heureux de me voir. Je regarde un peu les comptes et caméras de surveillance tout est ok donc on sort comme on est venu.
On part à Bassam pour prendre du bon temps, avec mes potes nous nous amusons sans cigarettes et droque c'est ce que j'aime chez eux et ils donnent de bons conseils. On passe toute la journée et on rentre chacun chez soi. J'arrive aux environs de 20h ils sont déjà à table je vais embrasser les femmes de ma vie et mon père. Chez nous c'est comme ça on ne se fâche jamais avec nos parents quelque soit l'ampleur de la dispute.
Maman: où étais-tu ? J'ai essayé de t'appeler.
Moi: j'étais à Bassam avec Dylan et Noël d'ailleurs sa mère te passe le bonjour et mon téléphone est éteint.
Elle:hum.
Suzie: assieds-toi non ?
Moi: (touchant mon ventre) ah non je suis rassasié moi.
Papa:donc tu manges autre part qu'ici ?
Maman: (me toisant) quand tu vas attraper le Corona tu vas aller vivre en Chine.
Moi:mais maman le Corona ça fait des années maintenant que c'est fini.
Elle: (tirant la bouche) avec les vendeuses de maintenant là on s'en sait jamais.
Moi: (soufflant) bon c'est bon je vais manger mais pas trop.
Papa:sage décision petit.
Suzie se moque de moi je mange un peu puis je monte ne coucher je suis fatigué. Je prends une douche rapide et me mets dans ma couette en boxer.
Toc toc toc.
Moi:oui !
C'est ma petite sœur elle vient vers moi manipulant son téléphone.
Suzie: Brayan papa te demande dans son bureau.
Moi:dis-lui que je dors.
Elle:non lève toi.
Et elle sort je grogne avant d'aller porter un jogging et un t-shirt. Je descends trouver papa dans son bureau il est assis dans son petit salon je fais de même.
Moi:oui Marc tu m'as appelé.
Lui: (souriant) vraiment ?
Moi:non je plaisante papa. Oui que puis-je faire pour toi ?
Lui: (buvant son thé) demain tu pars me chercher des dossiers au bureau.
Moi:tu ne pars pas au travail demain ?
Lui: (faisant une grimace) non je vais travailler depuis la maison.
Moi: (arquant un sourcil) tu es malade papa ?
Lui:non maintenant vas te coucher il se fait tard.
Moi:hum. Bonne nuit papa.
Lui: bonne nuit mon fils je t'aime.
Je m'arrête devant la porte et fais demi-tour pour le serrer dans mes bras je réponds à sa dernière phrase et sors de là un peu ému. Je m'assoie sur mon lit les idées mélangées. Et s'il est malade et ne veut rien me dire ? Et meurt sans qu'il soit vraiment fier de moi ? Et s'il meurt sans voir mes enfants ? Et si....et si... Toute la nuit je n'ai fait que cogiter, je ne veux pas perdre mon père c'est avec cette phrase que j'ai fermé les yeux.
Je me lève rapidement pour aller me rendre propre je m'habille d'un jean, Polo et une veste dessus. Je descends prendre mon petit déjeuner, je fais un bisou à ma mère et j'y vais mais bien avant je dépose Suzie à l'école et continue mon chemin.
Dans le hall tout les regards se braquent sur moi je souris intérieurement car c'est toujours comme ça partout où je passe je ne passe pas inaperçu. J'entre dans l'ascenseur privé, je sors de celui-ci la tête sur le téléphone mais je lève la tête car quelque chose du enfin quelqu'un vient de me rentrer dedans.
Elle: (ramassant ses affaires) je suis vraiment désolée Mr.
Moi:ce n'est rien.
Je la laisse là pour aller dans le bureau de mon frère mais en passant sa secrétaire n'y est pas. J'entre sans toquer il est assis concentré sur son ordinateur je crois qu'il est en réunion souffle et dépose mes clés sur la petite table.
Je cherche les documents que papa m'a dit de venir chercher je regarde un peu partout mais rien alors je m'assoie pour attendre Prince. Je regarde les photos des filles sur i********: elles sont belles mais ce sont des Photoshop donc rien d'intéressant.
Prince:alors ça va petit ?
Moi:vous avez quoi à m'appeler tous petit même j'ai 25 ans quand-même.
Lui:tu seras petit tant que tu ne travailleras pas ici.
Moi: (souriant) alors vous allez m'appeler comme ça toute votre vie.
Lui: (secouant la tête) alors tu veux quoi ?
Moi:papa veut un dossier c'est le projet avec les *****
Lui:oui il m'en a parlé hier attends j'attends ma secrétaire elle les a.
Moi:ok. Mais je ne l'ai pas vu quand je venais.
Lui:oui elle est allée faire des photocopies pour la réunion de toute à l'heure.
Moi:ok..
On parle de tout et de rien quelques minutes plus tard une fille entre dans le bureau elle donne les documents à Prince s'excuse en sortant. Je regarde Prince la bouche presqu'ouverte il me regarde aussi en souriant j'enlève ma veste ne crois que j'ai chaud là.
Lui: (riant) calme toi petit bois de l'eau fraîche sinon tu vas t'étouffer.
Moi: (le regardant)c'est qui ?
Lui:ma nouvelle secrétaire.
Moi:et l'autre ?
Lui:je l'ai renvoyé.
Moi:hum. Et tu l'as déjà sauté ?
Lui:qui ça ? la nouvelle ou l'ancienne ?
Moi:les deux.
Lui: (souriant) l'ancienne oui mais là nouvelle non et rassure toi je ne la toucherai pas.
Moi: (pouffant) comme si je t'ai dit que je voulais la sauter.
Lui:je te connais comme ma poche Brayan donc pas besoin de faire semblant.
Moi:hum. Elle est formé.
Lui:très même elle doit être aussi juteuse.
Moi: (le toisant) arrêtes bro.
Il rigole et il m'explique un peu ce que le dossier dit. Bien-sûr que je comprends tout ça c'est dans cette branche que j'ai fait mes études. Bref après je sors du bureau de mon frère je me dirigeais vers l'ascenseur mais je vois sa secrétaire encore elle est entrain de parler avec une autre femme qui travaille ici je suppose. Je m'approche d'elles l'autre me dévore du regard je ne la calcule même pas.
Moi: bonjour mesdemoiselles.
Elles: bonjour Mr Lawson.
L'autre: (avec un large sourire) comment allez-vous Mr Lawson ?
Moi: (regardant la secrétaire) bien merci.
Secrétaire:euh je peux vous aider Mr Lawson ?
Moi: (à l'autre) vous pouvez nous laisser seuls ?
Elle: (déçue) euh oui.
Elle s'en va découragée mais en remuant ses petites fesses je secoue la tête tellement qu'elle est pitoyable.
Moi: (regardant la secrétaire) c'est quoi ton nom ?
Elle: Mlle Suzanne Holié Mr
Moi: (charmeur) jolie prénom Suzanne moi c'est Brayan.
Elle: (me regardant le visage neutre) ok.
Moi: (la regardant) alors à quelle heure tu finis ?
Elle: ça dépend de mon patron Mr, pourquoi ? Vous avez besoin de quelque chose ?
Moi: (me mordant la lèvre) c'est juste pour raccompagner une belle femme comme toi je veux qu'on discu.../
Elle: (ferme) non merci Mr Lawson et appelez-moi Mlle Holié sur ceux bonne journée.
Elle s'en va sans me laisser parler elle marche normalement sans fournir d'efforts mais son déhanché est bandant. p****n cette fille peut faire tomber tout les hommes du ça je vous le dis. Je pars dans le parking pour joindre ma voiture je démarre les idées un peu mélangées.
Arrivé à la maison je trouve papa dans son bureau il travaille je lui dépose le dossier il me remercie je vais voir ma mère mais elle est sortie. J'appelle mes potes pour voir qui est disponible mais personne je m'assoie sur le canapé du salon je m'ennuie à bloc.
Vers 18h tout le monde est rentré on a mangé ensemble et moi je suis allé me coucher quelle journée ennuyeuse j'ai eu à part la matinée. Je souris en repensant à son attitude elles aiment se faire désirer les femmes mais après c'est elles qui courent derrière moi. Pour Suzanne j'attends je ne suis pas pressé je vais simplement la bombarder de cadeaux et l'inviter au restaurant chaque soir quand elle serait émerveillée je vais la sauter sans problème. Toutes les femmes aiment être chouchoutées donc c'est ça la solution. Mais pour que je la voie je dois savoir où elle habite d'abord, je voulais faire connaissance avec elle chez et ensuite la déposer là ça allait faire une pierre deux coups.
J'aime les femmes oui mais pas n'importe quelle. J'aime les fesses oui mais pas n'importe quelle aussi. J'ai déjà baisé des grosses fesses plus volumineuses que celles de Suzanne mais celles de Suzanne sont belles, parfaites et bien dessinées surtout avec le ventre plat et la poitrine massive.
Je me lève pour aller sur le balcon j'allume une cigarette que je finis en 4 tirées je commence à être excité juste en pensant à cette donc imaginez en vrai ce que je serai capable de faire. Je vais me coucher vers 2h du matin je suis bandé à bloc je ne peux pas dormir comme ça. Juste être entrain de penser à une femme je b***e c'est vraiment...pfff c'est juste qu'il y a longtemps je me suis vidé c'est tout.
Je m'habille rapidement descends les escaliers et sors de la maison je monte dans ma voiture direction chez ma copine. oui oui même si je suis un homme à femmes j'ai quand-même une copine mais rassurez vous je ne suis pas amoureux d'elle et je ne l'aime pas non-plus mais elle me plaît juste.
J'arrive 10 minutes plus tard parce-que les routes sont bien dégagées j'entre dans l'appartement j'ai les clés car c'est le mien je la trouve assise au salon regardant la télévision elle porte un t-shirt de mec et ce n'est pas le mien dès qu'elle me voit elle sursaute et se lève.
Leïla: (surprise) Bra...Brayan? Que...fais-tu là ?
Moi: (la regardant) c'est chez moi je te signale alors je viens quand je veux où je dois te prévenir d'abord ?
Elle: je...euh non non...tu veux quelque chose ?
Moi: (m'approchant d'elle) oui je veux que tu me soulages.
Je ne la laisse pas parler je l'embrasse elle répond mais tremble je ne m'attarde pas dessus j'enlève son t-shirt j'en fais de même je recule avec elle vers le canapé mais je vois des chaussures d'hommes ce ne sont pas les miennes donc je me détache.
Moi: (pointant du doigt les chaussures) c'est à qui ça ?
Elle: (avalant sa salive)j'en...je ne sais pas...c'est peut-être pour mon... frère.
Moi:ton frère ? Dans mon appartement ? Je ne connais pas ta famille Leïla. Qui est là ?
Elle: (pleurant) bb...je...suis...
Moi: (m'approchant) C'EST QUI JE TE DEMANDE ?
Elle: personne bb !! (tremblant cette fois)
....:ohw!! Mais c'est qui ?
Je me retourne pour voir qui s'est je ne le connais pas c'est un homme à ma vue il commence à paniquer. Je me retourne pour regarder Leïla elle a la tête baissée déjà nue et moi je suis en jean torse nu avec une érection à craquer.
Moi:c'est qui ?
Elle: (sanglotant) c'est personne...je suis...désolée.
Moi: c'est qui Leïla ?
Lui:je suis son petit ami.
Moi: (rire nerveux)ok.
J'attrape le bras de cette s****e pour l'emmener dans la chambre son petit pédé nous suivait je lui ai donné un coup de poing qu'il n'oublira pas de si tôt et je ferme à double tour.
Moi: (regardant Leïla) comme ça tu b****s dans mon dos ? Et dans l'appartement que j'ai acheté pour toi en plus.
Elle:je...suis désolée..
Moi:ne t'inquiètes pas je ne suis pas fâché mais comme tu peux le voir je suis venu me vider les couilles donc ce n'est pas ça qui va m'empêcher.
Elle: (pleurant) Brayan je t'aime je suis désolée..
Je ne la calcule pas je retire mon pantalon sans embrouille je la tire vers moi et la pénètre elle gémit comme la s****e qu'elle est je commence à la b****r comme jamais elle crie de plaisir ou de douleur je n'en sais rien mais pour moi c'est mon plaisir qui compte c'est tout. Je sais que le salop qui est de l'autre côté de la porte nous entend c'est pour quoi je la fais crier autant. Je change de position pour lui faire mal elle pleure mais elle me supplie de continuer pff les femmes vraiment. Je ne la calcule pas plus que ça c'est presqu'à la jouissance je me retire d'elle pour aller jouir dans les toilettes à mon retour elle est encore coucher sur le lit avec des larmes aux yeux je porte mon pantalon en silence.
Moi: prends tes affaires et sors de chez moi.
Elle:je...bb...je croyais que tu m'avais pardonné.
Moi: (ricanant) non je ne pardonne pas les salopes de ton espèce aller sors de chez moi je ne vais plus me répéter.
Elle pleure, me supplie je la traîne par les cheveux pour la mettre dehors elle et son g****o qui est en boxer malgré qu'ils soient nus c'est pas mon problème je ne les veux pas dans mon appartement je vais prendre une douche je regarde ma montre il est 5h déjà m'appele le propriétaire de l'immeuble pour lui dire que de me trouver un gardien pour surveiller mon appartement que personne ne rentre à l'intérieur.
Je monte dans ma voiture direction la maison j'arrive un peu tôt je vais me coucher j'ai sommeil. Je me réveille il quandp je regarde autour de moi il fait déjà sombre je prends mon téléphone il est 19h je vais dans la salle de bain et ressors pour m'habiller d'un ensemble jogging Nike et je descends. Je trouve mes grandes sœurs avec leurs enfants je les salue je vais manger un croissant pour attendre le dîner familial. Karell est assise près de Deyana entrain de parler de je ne sais quoi je tourne la tête et tombe sur Prince qui la regarde non il la dévore du regard.
Moi: (m'asseyant près de lui) qu'est-ce que t'attends pour lui déclarer ta flamme ?
Lui: (revenant à la réalité) quoi ?
Moi:tu es amoureux de Karell.
Lui:tu dis du n'importe quoi maintenant.
Moi:c'est faux ?
Lui: absolument et elle le sait.
Moi: (le regardant dans les yeux) hum. Moi je te regarde seulement. Mais si tu sais que tu as des sentiments pour elle dépêche toi de lui avouer car elle a déjà un copain qui est prêt à l'épouser.
Lui: (fronçant les sourcils) quoi ? Qui ça ?
Moi:je les ai vu au restaurant il y'a des jours déjà le Mr s'est présenté en tant que son fiancé et elle n'a pas rectifié quand je lui ai demandé.
Prince: (serrant les points) tu le connais ce bâtards ?
Moi:non mais qu'est-ce que tu vas faire ?
Lui: (se levant) j'ai deux mots à lui dire.
Il s'en va énervé Karell le remarque elle le suit je souris à cette situation. Ils se tournent autour depuis qu'on est petit maintenant qu'on a grandi personne ne veut faire le premier pas donc je prendrai les choses en main. Appelez-moi désormais Cupidon-Brayan je ferai en sorte qu'ils se mettent ensemble.