11. Misères humaines
Hôtel de Police – Grenoble
Les éléments donnés par la police scientifique firent avancer l’enquête soudainement. Entre autres, les policiers apprirent que Boubaye avait été tué non pas dans le parc Mistral, mais dans son appartement. Celui-ci avait été soigneusement nettoyé, mais d’infimes traces avaient été retrouvées çà et là. Ensuite seulement, il avait été transporté dans le parc. Une personne seule ne pouvant porter un corps, Lecouerc et Jacquier en avaient conclu qu’il y avait donc au moins deux complices…
Loin de le faire rapidement comme il l’avait promis – était-ce une vengeance ou un simple problème technique ? –, Barbier, le légiste, tardait à rendre son rapport d’autopsie. Pourtant, les informations qui concernaient notamment l’arme du crime apparaissaie
