Chapitre 002

1082 Words
De l'autre côté, dans la gigantesque maison, une femme élégante observait Livia par la fenêtre. Un verre de champagne dans une main, elle souriait sournoisement. Elle avait l’air à la fois détachée et malicieuse, comme si elle savourait un secret qu’elle n’était pas prête à partager. — Comme les années passent vite, murmura-t-elle, un sourire mystérieux sur les lèvres. Ce jour me rappellera toujours le jour de notre gloire. Mais pour cette idiote, c'est son jour le plus tragique de sa vie. Je me demande pourquoi ce jour est tombé précisément le jour de son anniversaire… Derrière elle, un homme, lui aussi tenant un verre de champagne, la regardait avec un regard froid. — Elle a de la chance d’avoir trouvé un refuge dans cette ville, dit-il d’une voix calme. Et je pense que dans sa tête, elle se fait des idées, qu'un jour elle pourrait récupérer une partie de notre fortune. Mais elle se trompe carrément. Je ne lui laisserai jamais cette chance. Elle éclata de rire, un rire empreint de cruauté, et tourna son regard vers la silhouette de Livia qui se dirigeait vers le taxi. Le destin de la jeune femme était déjà scellé, et personne ne pourrait changer les choses. Bien sûr, je vais respecter vos consignes et vous fournir une suite qui s'intègre naturellement à l'histoire tout en respectant la structure et le ton que vous souhaitez. Voici la suite de votre histoire : De toutes façons, elle n'a plus à qui se confier dans la vie. Elle est juste une mendiante, une fille sans avenir. Aucun jour elle n'arrivera à retrouver ses parents. Et en tout cas, je n'ai aucun remords pour ce que j'ai fait, pensa la femme élégante, en serrant son verre de champagne. Mon frère ne m’a jamais regardée de son vivant, il était trop occupé par sa petite famille misérable, il m’a laissée seule, comme si je n’étais rien dans sa vie, alors qu’on était que deux à se parler… C’est lui qui a choisi de m’abandonner. Elle se tourna lentement, son regard froid et calculateur fixé sur la silhouette de Livia qui disparaissait dans la rue. — En tout cas, elle risque de mourir de faim un jour ou l'autre, murmura-t-elle, presque satisfaite de la situation. Elle a une longue journée qui l'attend. Allez, laisse-moi partir maintenant, dit-elle à son mari, tout en se dirigeant vers les escaliers, toujours son verre de champagne en main. — De toutes façons, elle n'a plus à qui se confier dans la vie. Elle est juste une mendiante, une fille sans avenir. Aucun jour elle n'arrivera à retrouver ses parents. Et en tout cas, je n'ai aucun remords pour ce que j'ai fait, pensa la femme élégante, en serrant son verre de champagne. Mon frère ne m’a jamais regardée de son vivant, il était trop occupé par sa petite famille misérable, il m’a laissée seule, comme si je n’étais rien dans sa vie, alors qu’on était que deux à se parler… C’est lui qui a choisi de m’abandonner. Elle se tourna lentement, son regard froid et calculateur fixé sur la silhouette de Livia qui disparaissait dans la rue. — En tout cas, elle risque de mourir de faim un jour ou l'autre, murmura-t-elle, presque satisfaite de la situation. Elle a une longue journée qui l'attend. Allez, laisse-moi partir maintenant, dit-elle à son mari, tout en se dirigeant vers les escaliers, toujours son verre de champagne en main. Cet homme, c'était l'oncle de Livia, Ted. Ted, un homme rongé par la jalousie envers son frère, le père de Livia. Depuis leur enfance, il avait toujours envahi l'ombre de son frère, jaloux de sa position, de sa fortune et de son influence. Lorsque son frère et sa belle-sœur moururent dans un accident de voiture, Ted ne perdit pas de temps. Il s’empara de l’héritage, laissant la petite Livia dehors, sans un regard. Il avait toujours été satisfait de sa réussite sur le dos de la pauvre fille, car pour lui, sa fortune était plus précieuse que la vie d’une enfant. Tandis que dans la villa de Ted, Livia luttait chaque jour pour survivre. Dans un autre coin du pays, dans la ville de Vespero City, une autre histoire se jouait. Une histoire de pouvoir, de contrôle et de sang. Alessandro Volta, le chef de la mafia le plus redoutable et impitoyable de la ville, errait dans les rues, suivi de son cortège. Une dizaine de voitures noires, remplies de gardes du corps vêtus de costumes sombres et de lunettes noires, passaient dans les ruelles étroites de la ville. Les habitants de Vespero City n'étaient plus effrayés par cette vue. Ils étaient habitués à la présence de Volta. Il était respecté, craint, et nul ne voulait le défier. Quand Alessandro Volta se promenait dans ces rues, cela signifiait qu'il se rendait à un endroit très spécial. Un endroit où il négociait dans le marché noir, où des affaires louches et dangereuses étaient menées. Vespero City était son domaine, et la justice ici, c'était lui qui la détenait. Il avait le pouvoir de détruire ou de construire à sa guise, d’éliminer ceux qui se mettaient en travers de son chemin ou de récompenser ceux qui lui étaient loyaux. Son regard perça la foule, glissant sur les visages des passants qui s'écartaient avec respect, voire crainte. Alessandro n'avait pas besoin de dire un mot pour imposer sa présence. Chaque pas qu'il faisait dans la ville était une déclaration de pouvoir. Un regard de sa part suffisait à faire comprendre à tout le monde qu'il n'était pas là pour discuter. Il venait pour faire des affaires, et il n'y avait pas de place pour l'incertitude dans son monde. Alors que son cortège avançait, Alessandro fixa le bâtiment qu'il venait d'apercevoir au loin. C'était l'endroit où des décisions importantes allaient être prises. Dans cet endroit, des vies pouvaient être changées en un instant, et Alessandro Volta en était le maître. Alors qu'ils traversaient les rues sombres et étroites de la ville, le cortège d'Alessandro avançait à une vitesse implacable. Les moteurs des voitures rugissaient, faisant trembler les pavés sous leurs roues. Dans la voiture du milieu, Alessandro restait impassible, observant les environs avec un regard perçant, presque comme s’il était en train de scruter l'âme de la ville elle-même. À ses côtés, ses gardes du corps étaient prêts à agir au moindre signe de menace. L’ambiance dans la voiture était lourde, tendue, un silence absolu, interrompu uniquement par le ronronnement du moteur.
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