Le lendemain, Arthur et Sasa étaient allongés côte à côte, nus sous un simple drap. Les rayons du soleil matinal filtraient à travers les rideaux, illuminant doucement la pièce. Ils avaient passé la meilleure nuit de leur vie, malgré les blessures encore présentes d’Arthur et la nécessité pour Sasa de faire attention à ses mouvements. Arthur, allongé sur le dos, observait Sasa avec tendresse alors qu’elle reposait sa tête sur son torse. Il caressait doucement ses cheveux, profitant de ce moment de calme après des semaines de tourmente. Sasa leva les yeux vers lui et sourit. “Tu te sens comment ce matin?” demanda-t-elle, sa voix douce et concernée. “Un peu endolori, mais c’est un bon genre de douleur,” répondit Arthur avec un sourire espiègle. “Je n’aurais pas voulu passer cette nuit autr

