Arthur se tenait près du lit, observant Sasa et Levi dormir paisiblement. La faible lumière de la lampe de chevet illuminait leurs visages, et il se sentit envahi par une vague d’amour et de détermination. Levi, à peine âgée de quelques mois, gazouillait dans son sommeil, tenant fermement le doigt de Sasa. Arthur savait que, malgré toutes les épreuves qu’ils avaient traversées, cette famille était tout ce qui comptait pour lui.
Il se rappela des moments difficiles : l’accusation injuste, le procès, et cette terrible nuit où il avait été poignardé par la princesse obsédée. Malgré tout, Sasa était restée à ses côtés, soutenant leur amour et leur petite famille avec une force incroyable. Elle était la raison pour laquelle il se battait jour après jour.
En silence, Arthur se glissa hors de la chambre pour ne pas les réveiller. Il se dirigea vers le salon, jetant un coup d’œil à l’appartement qui était devenu leur sanctuaire. Chaque coin, chaque meuble portait les traces de leur vie ensemble. Il savait qu’il devait protéger cet endroit, protéger Sasa et Levi à tout prix.
Alors qu’il réfléchissait à leur avenir, Arthur sentit une douleur sourde à l’endroit où il avait été poignardé. C’était un rappel constant de la fragilité de la vie et des dangers qui les entouraient. Mais il était déterminé à rester fort pour sa famille.
Le son d’un léger pleur provenant de la chambre le fit retourner immédiatement. Levi s’était réveillée et cherchait réconfort auprès de ses parents. Arthur se hâta de retourner dans la chambre, prit sa fille dans ses bras et la berça doucement. Sasa ouvrit les yeux, souriant faiblement en voyant Arthur veiller sur leur petite fille.
“Tu es toujours là pour nous”, murmura-t-elle, sa voix pleine d’affection et de gratitude.
Arthur embrassa tendrement le front de Levi et répondit : “Je le serai toujours. Vous êtes tout pour moi.”
Sasa, apaisée, ferma les yeux à nouveau. Arthur continua à veiller sur elles, prêt à affronter n’importe quel obstacle pour protéger les deux amours de sa vie.
Arthur posa doucement Levi à côté de Sasa, veillant à ne pas les réveiller. La douleur de ses blessures le tiraillait encore, mais il ignora la souffrance physique, déterminé à veiller sur sa famille. Il savait que sa présence à leurs côtés était essentielle, surtout après les épreuves qu’ils avaient traversées.
Assis dans un fauteuil près du lit, Arthur observa Sasa et Levi dormir. Leur tranquillité lui apportait un réconfort immense. Malgré la fatigue, il se sentait revigoré par leur simple présence. Sasa, même dans son sommeil, semblait ressentir sa présence protectrice et son amour inébranlable.
Les souvenirs des récents événements tourbillonnaient dans son esprit. La princesse avait tenté de le détruire, mais elle n’avait pas réussi à briser leur lien. Arthur savait que des défis les attendaient encore, mais il était prêt à tout pour garantir la sécurité et le bonheur de Sasa et Levi.
La lumière douce du matin commençait à filtrer à travers les rideaux, annonçant un nouveau jour. Arthur savait qu’il devait se reposer, mais il ne pouvait pas se résoudre à fermer les yeux. Veiller sur sa famille était plus important que tout. Il se redressa légèrement dans le fauteuil, ignorant la douleur lancinante de ses blessures, et continua à surveiller chaque respiration de Sasa et chaque mouvement de Levi.
Sasa se réveilla brièvement, ouvrant les yeux pour voir Arthur près d’elles. Un sourire fatigué mais plein de tendresse se dessina sur ses lèvres. “Tu devrais te reposer”, murmura-t-elle, inquiète pour lui.
Arthur secoua doucement la tête. “Je vais bien. Je veux juste être là pour vous.”
Sasa soupira doucement, prenant la main d’Arthur dans la sienne. “Merci d’être toujours là.”
Arthur serra sa main, sentant un profond sentiment de gratitude et d’amour. “Je le serai toujours”, répondit-il.
La journée avançait lentement, et bien que la douleur persistât, Arthur restait vigilant. Rien n’était plus important pour lui que de veiller sur les deux êtres qu’il aimait le plus au monde. Leur bonheur et leur sécurité étaient sa priorité absolue, et il était prêt à affronter n’importe quelle épreuve pour eux.
En fin de compte, peu importe les défis, Arthur savait qu’ils les surmonteraient ensemble. Leur amour et leur détermination étaient plus forts que tout. Et ainsi, il continua à veiller sur sa famille, prêt à tout pour les protéger et les chérir.
Arthur veillait encore sur Sasa et Levi, mais la fatigue commençait à le rattraper. Sasa, inquiète pour lui, se réveilla et lui dit avec insistance : “Arthur, tu dois te reposer. Tes blessures sont encore fraîches.”
“Non, Sasa. Je veux veiller sur vous,” répondit-il fermement.
Sasa, visiblement frustrée, se leva du lit et se planta devant lui. “Arthur, tu ne peux pas continuer comme ça ! Tu dois te reposer pour guérir correctement. Tu nous mets en danger en ne prenant pas soin de toi.”
“Je suis bien, Sasa. Je peux gérer la douleur,” rétorqua Arthur, sa voix se durcissant légèrement.
La dispute éclata. Sasa, épuisée et inquiète, finit par tourner le dos à Arthur et se coucha en lui tournant le dos. Arthur, sentant immédiatement la culpabilité l’envahir, se leva difficilement et s’approcha du lit.
“Sasa,” murmura-t-il en s’allongeant à côté d’elle. “Je suis désolé. Je n’aime pas quand on se dispute.”
Sasa resta silencieuse, les larmes coulant sur ses joues. Arthur la prit délicatement dans ses bras, sentant son corps tendu contre le sien.
“Je suis désolé,” répéta-t-il. “Je ne veux jamais te faire de la peine. Je veux juste vous protéger, toi et Levi. Mais je comprends que je dois aussi prendre soin de moi pour pouvoir être là pour vous.”
Sasa se détendit légèrement, tournant lentement la tête pour le regarder. “Promets-moi que tu prendras soin de toi, Arthur. Pour nous.”
Arthur hocha la tête. “Je te le promets. Je ne veux pas qu’on se dispute. Tu es tout pour moi.”
Sasa soupira et se blottit contre lui, ressentant son amour et sa sincérité. “Je t’aime, Arthur. Et je veux que tu sois là pour nous, en bonne santé.”
“Ils se tinrent ainsi, enlacés, trouvant un réconfort mutuel dans la chaleur de l’autre. Peu importe les épreuves qu’ils devaient affronter, leur amour restait une ancre solide. Arthur ferma finalement les yeux, promettant intérieurement de toujours veiller sur sa famille, mais aussi de prendre soin de lui pour le bien de Sasa et Levi. Ensemble, ils savaient qu’ils pouvaient surmonter n’importe quoi.
Arthur s’endormit contre Sasa, la fatigue ayant finalement pris le dessus. Sasa le regarda avec tendresse, puis lui fit un doux b****r sur le front. À ce moment-là, Levi se mit à pleurer, réclamant l’attention de sa mère.
Sasa se leva doucement pour ne pas réveiller Arthur, prit Levi dans ses bras et se dirigea vers la cuisine pour préparer un biberon. Elle chauffa le lait, puis le testa sur son poignet pour s’assurer qu’il était à la bonne température. Une fois prête, elle alla s’asseoir dans le fauteuil du salon et commença à nourrir Levi.
Levi tétait avec avidité, ses petits yeux fixés sur ceux de Sasa. Une fois le biberon terminé, Sasa la posa délicatement contre son épaule et lui fit faire son rot, se sentant une fois de plus émerveillée par la douceur de ces moments partagés.
Après le rot, Sasa continua de bercer Levi, qui commençait déjà à se rendormir. Mais avant de la coucher, Sasa décida de jouer un peu avec elle, la faisant rire avec de petites chatouilles et des câlins. Le son du rire de Levi emplit la pièce, apportant une chaleur réconfortante malgré les difficultés récentes.
Quand Levi fut enfin prête à se rendormir, Sasa la coucha délicatement dans son berceau. Elle resta un moment à la regarder, absorbant chaque détail de son petit visage paisible. C’était dans ces instants que Sasa se sentait le plus en paix, entourée de sa famille, malgré les épreuves qu’ils avaient traversées.
Rejoignant Arthur dans le lit, elle se blottit contre lui, le cœur apaisé par l’amour qu’ils partageaient. Demain apporterait de nouveaux défis, mais pour ce soir, elle savourait simplement la tranquillité de leur foyer. Avec une dernière pensée pour leur avenir ensemble, Sasa ferma les yeux, prête à affronter tout ce qui pourrait venir, tant qu’ils étaient unis.