Après m'avoir limite étouffée, Siara se dégagea enfin de moi. Mais évidemment, c'était trop beau pour être vrai. Elle nous examina d'abord, sourire aux lèvres, elle secoua la tête, tout son bonheur se reflétant sur son visage, avant de me reprendre dans ses bras.
_C'est bon Siara, tu peux me relâcher maintenant.
Et elle m'écouta à mon plus grand bonheur.
_Alors, le déménagement, ça commence maintenant? Me demande-t-elle, toute excitée.
Je me dégageai de l'emprise de son frère et lui aggrippa le coude avec douceur.
_Viens. On en parle à l'intérieur; lui dis-je.
Mieux vaut éviter de tous lui raconter devant une certaine personne.
Elle hocha la tête, hâte de connaître les derniers événements. Et après un bref aurevoir, on laissait les hommes entre eux.
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_Voilà ; dis-je ap
