Alexandria Blew est rentrée de sa sortie chez ses copines, c'est vrai que sa vie ne se passe pas comme elle avait souhaité mais ce n'est pas une raison pour laisser tomber les rendez-vous qu'elle avait, même si ces amis en question ne sont pas vraiment des amis vu qu'ils ne sont que des personnes de la haute société devant qui elle doit garder les apparences.
Elle n'a pas le droit de leur dire ce quelle vie et encore moins de parler d'un divorce ça serait vraiment mal vu et ils la regarderai comme un échec de toute façon elle a toujours su que ce n'était pas de l'amitié mais pour la fondation qu'elle tient elle devait garder les apparences de sorte à ce que les dons puissent continuer pour qu'elle puisse soutenir ses orphelins pour lesquels elle se bat depuis toujours.
Elle alla directement dans sa chambre pour se changer après quoi elle descendit les escaliers pour venir dîner quand elle vit attablé, son mari. sans lui jeter un coup d'œil, elle vient prendre place à la table et commença à se servit à manger.
-- Bonsoir Alexandra. lui dit-il
-- Tu n'es pas obligé de me saluer. répondit-elle
-- Bien sûr que oui, si nous sommes attablés ensemble je pense qu'on devrait déposer les armes pour dîner tranquillement
-- Je dînais déjà tranquillement avant que tu me parles
-- S'il te plaît, arrête de te comporter comme une enfant, on ne pourrait pas juste passer un bon moment ?
-- Je suis désolée, tu as dit que j'étais comme une enfant ?
-- Je ne voulais pas t'énerver, je disais juste ça parce que tu es toujours fâchée contre moi
-- Et bien si je suis toujours fâchée contre toi c'est parce que la raison pour laquelle je le suis n'a pas changé aujourd'hui
-- Très bien. J'aimerais bien qu'on parle de tout ça mais là il faut qu'on dîne n'est-ce pas ?
-- Ça dépend de ce que tu as à dire... je veux dire, on peut parler en mangeant ça nous sauvera d'une autre rencontre forcé
-- Je comprends. Je voulais juste que tu saches que Alexander est passé par mon bureau
-- Ah oui et de quoi avez-vous parlé ?
-- Tu sais très bien de quoi nous avons parlé, du fait que j'ai une aventure alors il a décidé de me rendre une petite visite
-- Je savais que tu n'arriverais pas à le faire c'est pour ça que je l'ai fait à ta place tu devrais me remercier
-- C'est vrai que ça m'a surpris mais je t'assure que j'allais le faire, nos enfants sont grands je pense qu'ils comprendront ce qui se passe
-- Qu'ils comprendront quoi ? Que tu as toujours su comment m'humilier ?
-- Non, qu'ils comprendront pourquoi je l'ai fait, je ne sais pas si on peut appeler ça humilier, j'essaie juste d'être heureux vois-tu ?
-- Tu essaies d'être heureux ? Je comprends
-- Je sais bien que tu ne comprends pas. Je lui ai raconté nos conditions de mariage
-- Tu as fait quoi ? Je pensais qu'on avait convenu de ne jamais raconter cette histoire à nos enfants. Pourquoi est-ce que tu as outrepassé cet accord sans mon avis ? demanda t-elle en laissant tomber la fourchette et le couteau qu'elle avait en main
-- Ne te fâche pas OK ? C'est juste qu'il fallait qu'il comprenne que je n'ai pas fait tout ça parce que je ne suis qu'un mauvais père et que j'ai d'autres raisons
-- Comme d'habitude ton égoïsme est la raison, juste pour te faire bien voir auprès de ton fils après m'avoir trompé encore et encore tu as lâché cette histoire alors que nous nous étions entendus là-dessus.
-- Arrête un peu tu veux ? Ce n'est pas comme si c'était quelque chose de grave que nous avions fait, on a tout les deux été des victimes dans cette histoire, c'est tout ce que je lui ai dit
-- N'empêche que tu aurais dû m'en parler. Un accord n'a pas d'importance pour toi, un mariage n'a pas d'importance pour toi, même notre famille n'a pas d'importance. La seule chose pour laquelle je te faisais confiance tu l'a détruite. Non mais comment est-ce que tu fais pour te regarder dans le miroir ?
-- Je suis en paix avec moi-même c'est tout ce qui compte j'imagine
-- Je vois, c'est vraiment très bas ce que tu as fait tu sais
-- Tu sais, au lieu de rester là à te disputer avec moi tous les jours, si ma manière de vivre ne te plaît pas tu peux bien t'en aller
-- Que veux-tu dire ?
-- Alex nous a autorisé à divorcer
-- Quoi comment ça ?
-- Et bien après que je lui ai raconté les conditions de notre mariages, que c'était de la faute de nos père, quand je lui ai raconté qu'on y arrivait pas dans les débuts et tout, il a dit qu'on avait encore une chance d'être heureux chacun de son côté et qu'on n'est pas obligé de rester marié et je crois qu'il a raison
-- Waho, alors toi et lui vous avez convenu du divorce ensemble ? J'attendrai les papiers pour les signer
-- Alexandria s'il te plaît, ne prends pas les choses comme ça. Je suis désolé de ne t'en avoir pas parlé mais je suis sûr que tu as déjà toi aussi penser au divorce plusieurs fois
-- J'avoue que ça m'avait traversé l'esprit mais je ne voyais pas ça comme quelque chose qui allait me rendre libre. j'ai consacré toute ma vie à ce mariage, à cette famille. J'ai laissé ma vie de jeune fille bien que ça m'a coûté et tu étais témoin de mes pleurs chaque jour mais j'ai pu le faire, j'ai pu rester là. Je ne connais personne d'autre, je n'ai pas d'aventure et j'en ai jamais eu du moins à part Ben mais ça il y très longtemps alors le divorce oui mais ensuite ? Qu'est-ce que je vais faire de ma vie ?
-- Très bien, si tu ne veux pas divorcer ça me va bien aussi... je veux dire c'est juste pour sauver les apparences mais si ça te permettra d'avoir quelque chose auquel te raccrocher je suis prêt à le faire pour toi
-- Waho, c'est très aimable à toi, franchement merci ça se voit que tu tiens beaucoup à moi. dit-il avec sarcasme
-- Qu'est-ce qu'il y a encore ?
-- Rien. J' accepte le divorce ,fais ce que tu as prévu de faire et emmène-moi les papiers pour que je les signe. Je vais ramasser mes affaires le plus vite possible comme ça tu pourras ramener qui tu veux dans cette maison
-- Ce n'est pas parce que nous divorçons que tu dois partir, je te rappelle que cette maison nous a été offerte par nos parents, elle nous appartient à tous les deux il y a tout deux nos nom dessus et elle renferme tous les souvenirs de notre familles. C'est ici que les enfants ont grandit, que nous avons grandit, tu n'es pas obligé de quitter la maison elle est très grande c'est un manoir tu peux rester
-- Je sais tout ça mais je pense que si je veux vraiment recommencer il va falloir que je quitte cette
maison, je me vois mal vivre dans cette maison avec toutes les maîtresses que tu ramèneras oh pardon, toutes tes nouvelles petites amies. Ça sera un peu mal vu, tu ne penses pas ?
-- Franchement, là maintenant je m'en fiche pas mal de ce qui serait mal vu ou bien vu. Alexandria, toi et moi avons passé toute notre vie à sauver les apparences, à faire semblant d'être le couple et la famille parfaite tu n'en as pas marre ?
-- Bien sûr que oui j'en ai marre, j'en ai eu marre de ça dès le départ lorsque nous avons commencé et chaque jour après mais tu sais à force de lutter quand rien ne change, on finit par abandonner et ça fait longtemps que je me suis laissé aller dans cette vie et maintenant je ne connais que ça que veux-tu que je te dise ?
-- Je veux que tu reprennes ta vie en main, que tu repenses à ce que tu voulais faire de ta vie, à ce qui te rendait heureuse, à ce qui te ferait plaisir. C'est vrai que je suis égoïste mais j'aimerais que tu sois toi aussi égoïste pour une fois, pense à toi, fais-le pour tous les deux
-- Pour tous les deux, que veux-tu dire ?
-- Je veux dire que moi j'ai su garder la tête hors de l'eau, j'ai eu beaucoup d'aventures mais le but recherché c'était le bonheur. Je voulais juste être heureux alors j'ai besoin que tu le sois auss,i nous avons été emmenés dans cet enfer ensemble il est hors de question que je m'en sorte et que toi tu y restes. Rappelle-toi que nous avions décidé au départ d'être amis, c'est vrai que notre mariage a échoué mais ça ne veut pas dire que je ne tiens pas à toi ou que je ne tiens pas à cette famille. Alexandria, je veux que tu soit heureuse, alors pense à ça, s'il te plaît veux-tu ?
-- C'est vrai, tu as raison je me rappelle encore de nos fous rires et de tout ce qu'on faisait. Je pense que j'ai été beaucoup trop faible face à cette situation, maintenant il est temps d'ouvrir les yeux et de passer à autre chose. Tu as raison il faut que je pense à moi, à ce que je veux
-- C'est tout ce que je veux et je sais que nos enfants seront fiers de toi
-- Moi aussi je l'espère. À propos, je voulais te parler de Stacy
-- Stacy ? Qu'est-ce-qui ce passe avec elle ?
-- Je crois qu'il est temps qu'on la laisse retrouver sa famille, ça fait plus de trois ans qu'elle est loin de nous maintenant. Crois-moi, elle a appris la leçon
-- Écoute c'est vrai que notre petite princesse me manque aussi mais elle a fait tellement de mal à ses amis, aux personnes qui tenaient à elle que j'ai peur que la faire venir crée encore d'autres choses. J'ai évité de justesse la prison pour elle, j'ai eu tellement peur ce jour-là lorsque j'ai appris tout ce qu'elle avait fait et maintenant la faire revenir ? Qu'est-ce qui prouve qu'elle ne recommencera pas ?
-- Je pense qu'il n'y a qu'elle qui peut te donner cette preuve. Je comprends bien ton inquiétude et c'est vrai que ça m'a traversé l'esprit. Je ne l'ai qu'au téléphone mais elle a vraiment l'air d'avoir changé et je pense que pour être convaincu tu dois toi aussi lui parler
-- Très bien, je vais trouver du temps pour lui parler
-- Merci. Si nous devons divorcer toi et moi notre famille doit être d'abord réunie. Qu'est-ce-que tu en dis ? Je veux que nous soyons ensemble tous les quatre et que nous décidions ensemble de notre séparation ça serait comme une trêve amicale et chacun pourra aller de son côté en gardant de bonnes relations
-- Et bien je pense que c'est une très bonne idée, je ne rêve que de ça : une relation saine entre nous.
-- Très bien, alors on fera comme ça
-- Oui ça serait très bien.
Il était neuf heures du matin quand Peyton Forge est enfin sortie de son lit. Après être rentrée accompagné par Brandon Ridley, elle a pris som dîner dans sa chambre et à terminer de travailler sur quelques projets pour ne pas penser à ce qui venait de se passer mais pendant qu'elle essayait de trouver le sommeil, elle a passé au moins trois heures perturbée par la tournure qu'a prit la soirée. Peyton savait que Brandon n'était pas là pour lui faire du mal du moins elle avait se pressentiment même si elle ne fait plus confiance à ce qu'elle ressent depuis ce qui s'est passé avec Derek Bones parce qu'avec lui aussi elle était sûre que c'était le bon, elle était sûr que ça serait une grande histoire d'amour mais regarde comment les choses se sont passées ?
Elle s'en veut d'avoir réagi comme ça à l'offre de dîner de Brandon parce que même si elle était encore brisée, même si elle avait encore peur de s'engager, il n'avait rien fait de mal et elle sent à quel point il a pu se sentir mal à l'aise quand il a vu fondre en larme. Non mais qu'est-ce qui lui a prit ? Elle n'en sait rien mais elle est sûre d'une chose, c'est qu'elle ne va pas aussi bien qu'elle le pensait, elle ne va toujours pas bien. C'est juste qu'elle a enfuit toute cette douleur qu'elle ressentait au fond d'elle, mais combien de temps va-t-elle prendre avant d'être guéri ? Combien de temps va-t-elle souffrir de ce que Derek lui a fait et est-ce qu'elle sera nouveau heureuse ? C'était la question qu'elle ne cessait de se poser intérieurement.
Elle s'est endormie vers quatre heures du matin et maintenant elle a les yeux bouffis parce qu'elle a dormi sur son visage mais elle se sent reposé et prête à attaquer une nouvelle journée de travail, uniquement de travail pensa t-elle. Elle se donnera les moyens de rester concentrée que sur le travail c'est vrai que ça n'aide pas pour guérir mais jusqu'à ce qu'elle trouve comment faire pour aller de l'avant, elle refuse de se laisser abattre pour le moment. Elle sortit donc de son lit et alla directement dans sa salle de bain pour se préparer pour sa nouvelle journée. Elle n'avait pas fini de le faire quand son téléphone sonna, elle vi le nom d'Alex s'afficher en même temps elle eu un soupçon d'inquiétude sur le fait qu'il remette en question le travail qu'elle a fait mais elle décrocha quand même
--" Allô alex"
--" Bonjour peyton comment tu vas ?"
--" Ça va et toi tout va bien ?"
--" Oui je vais très bien merci"
--" Tu es sûr ? Écoute, si c'est par rapport à ce travail que je suis venu faire à ton entreprise, tu n'as qu'à me le dire s'il y a quelque chose qui ne va pas, je passerai le corriger"
--" Non ce n'est pas ça, c'est bien ce que tu as fait je te l'ai déjà dit non ? Ou alors tu crois que je t'ai menti ?"
--" Je n'en sais rien, ce n'est vraiment pas mon domaine alors il est possible que je ne l'ai pas fait aussi bien que tu l'as dit, peut-être que tu l'as juste dit pour me faire plaisir"
--" Non ce n'est pas ça et crois-moi tu as vraiment bien travaillé"
--" Ah oui ? Alors pourquoi est-ce que tu appelles ?"
--" C'est dans le cadre du travail mais c'est justement parce que tu as bien travaillé que j'ai besoin de toi, le directeur marketing ne s'en sort pas tout seul parce qu'il a vraiment beaucoup de travail à faire, en peu de temps. J'aurais vraiment dû écouter le chef de mon équipe quand il me le disait mais là j'ai vraiment besoin d'aide, je sais que tu as du travail à ton entreprise mais ..."
--" Ne t'en fais pas, je pourrais être là pour t'aider. Il n'y a pas vraiment grand chose à faire à l'entreprise à moins que moi-même je cherche du travaille rajouter et je serai ravi de t'aider, ça fait de nouvelles expériences pour moi"
--" Ça me fait plaisir de l'entendre, vraiment merci. Je me demandais comment j'allais faire sans toi, c'est vrai que je pouvais engager un freelancer mais le fait que je puisse le donner à quelqu'un de confiance me rassure davantage "
--" Ça me fait plaisir moi aussi. Alors quand est-ce que tu veux que je passe ?"
--" Le plus tôt possible serait le mieux, que ce soit aujourd'hui ou demain mais vraiment le plus tôt pour qu'on en finisse parce que cette histoire commence vraiment à me prendre la tête"
--" Très bien, je regarde mon agenda, je vais reprogrammer quelques chose que j'avais déjà et je te reviens d'accord ?"
--" Très bien merci beaucoup Peyton, à plus"
--" À plus Alex"
Quand elle raccrocha elle sourit une minute satisfaite du travail qu'elle a fait puis la scène d'hier soir avec Brandon passa à nouveau dans son esprit, sa joie disparaît en une fraction de seconde quand elle se rendit compte qu'elle serait amenée à le voir. Elle sentit la honte la submerger, du fait d'avoir fondu en larme devant lui mais aussi la culpabilité de lui avoir parlé comme ça alors qu'il voulait juste un dîner, elle ne sait toujours pas comment elle va faire mais il faut qu'elle aide Alex et la situation s'avère beaucoup plus compliqué que ce qu'elle pensait, du moins beaucoup trop pouvoir s'en réjouir.
Luciana De La Rosa était en route pour le manoir de sa famille, elle a prévu de parler à son père et elle sait qu'à cette heure-ci il est à la maison du moins elle espère pour ne pas avoir à lui téléphoner. Quant à la visite chez Camélia elle espère pouvoir le faire ce soir quand elle sera sûrement rentrée du bureau. Elle appréhende vraiment cette rencontre avec son père parce que les choses ne se sont pas bien passées la première fois mais elle espère qu'il a eu le temps d'y réfléchir, qu'il la laissera vivre son rêve sans qu'elle soit obligé de couper les ponts avec lui.
Elle sait que sa mère sera heureuse pour elle, elle lui avait dit qu'elle n'abandonnera pas ses rêves et c'est ce qu'elle compte faire mais qu'il en soit elle est déjà arrivée et elle pourra enfin en finir avec cette histoire. Elle gara sa voiture dehors en espérant que sa visite ne prenne pas trop de temps. Après avoir pénétré dans la maison, elle alla directement au bureau de son père et frappa à la porte
-- Entrée ! Dit-il depuis l'intérieur elle poussa la porte tout doucement et entra sous son regard plus ou moins surpris
-- Lucia, qu'est-ce que tu fais ici en pleine journée ? Je veux dire, ça me fait plaisir de te voir mais je suis un peu surpris
-- Oui je vois ça, ne t'en fais pas je ne vais pas te déranger très longtemps
-- Je n'ai pas dit que ça me dérangeait que tu sois là, ne dit pas de bêtises enfin. Viens assieds-toi
-- Alors comment est-ce que tu vas depuis la dernière fois ?
-- Je vais très bien merci c'est gentil de t'inquiéter et toi ?
-- Je vais bien aussi je dirais même très bien
-- Content pour toi, et ma petite fille
-- Alexiana va bien
-- Tu sais, si c'était pas en pleine journée tu aurais pu venir avec elle j'aimerais bien la voir ça fait un moment que tu m'as dit que tu l'enverrai mais rien jusque-là
-- Je suis désolé papa, j'étais vraiment occupée. Ce n'est pas si facile de trouver un moment avec son programme et le mien
-- Si tu le dis
-- Et sinon, ici tout va bien ? Maman va bien ?
-- Oui, elle ne devrait pas tarder d'ailleurs elle est allée vérifier quelque chose à l'hôpital
-- À l'hôpital ? Elle va bien
-- Oui elle va bien ne t'en fais pas, ce n'est pas par rapport à sa santé mais par rapport aux comptes
-- Ah d'accord, je vois
-- Sinon qu'est-ce qui t'amène ?
-- Je suis là pour t'annoncer quelque chose d'important pour moi.
-- j'ai déjà ma petite idée. Écoute, ce dont on a parlé la dernière fois...
-- Non papa, laisse-moi continuer s'il te plaît, j'ai fait tout ce chemin pour parler pas pour écouter ce que tu as dit alors pour une fois écoute-moi
-- Très bien, c'est vrai que c'est un peu frustrant que ma propre fille ne veuille pas écouter ce que j'ai à lui dire mais que puis-je faire ?
-- Ne le prends pas comme ça d'accord ?
-- Je n'ai fait que le prendre comme tu l'as envoyé
-- Très bien. Papa, j'ai été accepté à la galerie d'art de Coryland
-- Il y a plusieurs galeries d'art à Coryland Luciana
-- Oui c'est vrai, c'est la galérie d'art contemporain diriger par Oscar Kennedy qui est à l'entrée de la ville, la plus connue
-- Très bien, je suis content pour toi dit-il avec un visage impassible
-- Ce n'est pas l'impression que tu donnes. Tu vois je ne suis pas venu pour que tu sautes de joie ou que tu sois fier de moi mais je m'attendais quand même à un peu plus...
-- Un peu plus de quoi ? Tu voudrais que je sois content que tu abandonnes quelque chose de fiable pour quelque chose qui repose sur un "feeling"
-- Je ne veux pas me disputer avec toi, je voulais juste que tu le saches
-- Et bien c'est fait
-- Très bien, je n'ai plus rien à faire ici.