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Traquée par le diable

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''Cache toi Zara, prends Niko et fuis le plus loin possible car si mon frère apprend ma mort, il fera tout pour le prendre avec lui. Je ne veux pas de cette vie pour mon fils... Zara ne laisse pas Stefano prendre Niko...''

Ce fut les dernières paroles de mon beau-frère Orlando. Je suis Zara Clark. J'avais une famille : ma sœur et son mari. Tous deux morts dans un accident de voiture me laissant ainsi la garde de leur fils. Il est la seule famille qu'il me reste et je dois le protéger à tout prix de son oncle Stefano ROZATTI, le chef de la Mafia italienne. Le Diable en personne. Je ne peux pas laisser un enfant si innocent grandir parmi ces criminels...ces gens sont des tueurs. Je dois respecter la promesse que je lui ai faite ! Protéger Niko au péril de ma vie.

Cours Zara, cache toi, Le Diable est à tes trousses. Il ne veut qu'une chose récupérer le fils de son frère et pour cela il sera intraitable. Il détruit tout ceux qui se dressent devant lui. Que fera t-il de toi ?

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La tragédie
                                                                    NEW YORK - Cache toi Zara, prends Niko et fuis le plus loin possible car si mon frère apprend ma mort, il fera tout pour le prendre avec lui, je ne veux pas de cette vie pour mon fils ... Zara ne laisse pas Stefano prendre Niko Il expire une dernière fois et ses paupières se rabattent lentement. - Non !!!! Orlando non, je t'en prie ne nous fais pas ça, Non !. Reste s'il te plaît !! - Mademoiselle, veuillez sortir s'il vous plaît. Je n'entends plus rien par delà la brume de tristesse et de désespoir qui m'entoure. Les infirmières se précipitent à son chevet.  - Heure du décès 20h15 min.  Comment? Il n'est pas mort, non pas lui..non. J'ai déja perdu Libby, que vais je faire toute seule? Un s'abbat sur affligeant désespoir moi et m'empêche d'des pensées cohérentes Avoir. Je sens que ma poitrine se comprime à cause de cette douleur atroce qui s'y propage. J'ai l'impression qu'un étau se referme autour de moi. C'est si douloureux, perdre sa famille en une journée ... si difficile de me dire que je ne les verrai plus jamais. Plus jamais.  Non, non. Mes larmes coulent comme si une digue était ouverte en moi. Je viens de perdre la seule famille qu'il me reste. Pourquoi sont-ils morts? Je suis maudite, maudite. Ma sœur adorée et son mari Orlando. Non.   Tu n'es pas seule, me crie ma conscience, oui Niko. Oh mon Dieu quelle horreur, perdre ses parents le même jour. Non, je vis un cauchemar. Ce n'est qu'un bébé, il n'a que quatre ans. Oh ... J'ai si mal Seigneur non ... que vais-je faire? Oh Niko!   Ses deux mots résonnent en écho dans ma tête, comme pour amplificateur ma souffrance. Quelques heures ou quelques minutes plus tard, un infirlier m'apostrophe. Il faut dire que j'errais comme une âme en peine dans les couloirs de l'hôpital. - Vous êtes Zara Clark?  - Oui. Je murmure en nettoyant mon visage ruisselant de larmes. - Vous devez signer ces documents. Les dépouilles seront envoyées à la morgue. Vous décidez ensuite de quoi faire. - Je .. dites moi, ils ont souffert? - Votre sœur non. Elle est morte sur le coup. Le choc lui a été fatal, mais votre beau-frère par contre, a perdu beaucoup de sang avant que l'ambulance n'arrive sur les lieux. Le fait de l'extraire des débris du véhicule a été douloureux et fatiguant pour lui. C'est presque un miracle qu'il est tenu jusqu'ici. Je suis vraiment désolé mademoiselle. Je ne sais quoi répondre à cet infirmier qui me dévisage l'air compatissant. Que dire? Qu 'il est mort en moi tenant la main? Que ma sœur l'était avant lui? Que dois-je répondre? Je l'observe en silence, la cervelle en bouillie, tellement je suis abattue par cette tragédie. Il me dépose les documents sur la banquette et s'éloigne. Je n'éprouve plus une sensation vague des objets et des personnes qui m'entourent. Je ne distingue plus rien. Avec ma vue brouillée, je ne perçois que des formes indécises. Plus tard un policier m'explique qu'on n'a pas retrouvé le chauffard qui a été l'accident. Il s'est évaporé dans la nature. Je n'ai même plus de force pour crier. Tout ce qui me fait tenir, c'est mon neveu. Il est âgé de quatre ans. Mon Niko que va t-on devenir? Je m'assieds sur la banquette, la tête entre les mains secouée par des sanglots. Mon désarroi est si grand que je regarde sans voir les documents, que je suis censée signer. Si seulement ils respectent pas sortis ce matin. Si j'étais restée à la maison, ça aurait été moi dans cette voiture et eux, ils seraient en vie. Ils sont morts mon Dieu! Morts tous les deux, que vais, je faire? Ma sœur et son mari sont ma seule famille. La seule qu'il me reste. Je n'ai plus de mère, ni de père, personne. Aujourd'hui je me retrouve plus seule que je ne l'ai jamais été.  J'aurai dû ne pas aller à cette sortie, j'aurai dû ... Seigneur pourquoi eux? Pourquoi? Que vais-je dire à Niko? Comment pourrai-je lui annoncer qu'il ne reverra plus jamais son papa et sa maman? Commentateur? Je le remémore douloureusement une dernière discussion que j'ai eu avec ma sœur. Elle date d'hier.  - Zara, tu travailles trop, il faut que tu sortes t'amuser . - Libby, bien sûr que je m'amuse. Assister aux procès à la cour d'appel, c'est une distraction sans pareille! Tu devrais m'y accompagner un de ces jours, certains litiges sont aussi ridicules que puériles. - Non merci! Entre le langage juridique et moi c'est une longue histoire de haine. Je veux seulement que tu t'épanouisses ma chérie. Tu le mérites, et puis Niko peut bien se passer de toi une journée. Orlando et moi, iront faire des courses. - Je peux très bien ne pas y aller demain. J'irai u ne autre fois. En effet, étant en année de master, je dois faire un stage dans un cabinet juridique de la place. Il fallait donc que j'aille visiter les cabinets potentiels désireux de m'engager, afin d'y laisser mon CV. Je repoussais depuis des semaines, le moment de le faire. Ma sœur s'était mise en tête de me convaincre de m'y mettre le plus tôt possible. - Zara, tu y es presque. Regarde-toi, tu as réussi, il ne reste que cette étape et je pourrai enfin clamer haut et fort que ma sœur est un juriste accompli. Il faut que tu le fasses et puis tu pourras sortir un peu voir la grande ville. - Il reste aussi le concours de magistrature. Il faut donc que je continue ma documentation. - Si tu n'y vas pas je le dirai à Orlando. - Tu comme gagné! J'y vais, traîtresse! Orlando incarnait pour moi, malgré son jeune âge une figure paternelle. Il était à la fois, le père et le frère que je n'avais pas. Impressionnant de par sa carrure, il inspirait le respect. Ma sœur était douce, aimante et tout simplement ma deuxième mère. J'avais finalement cédé. Je venais à peine de commencer à discuter avec l'un des avocats quand un numéro inconnu m'a appelé pour m'annoncer d'une voix calme, le terrible accident. J'ai sauté dans ma vielle voiture et conduit aussi vite que je le pouvais pour me rendre à l'hôpital. Trop tard cependant, la voiture Libby était déjà morte. Je n'ai pu qu'assister à celle d'Orlando. Impuissante, le cœur en miettes. Cette journée est la pire de toute ma vie. Pourtant, ma vie n'a pas été de tout repos. Des larmes de désespoir inondent une nouvelle fois mon visage. Je suis seule. Seule. Il ne me reste que Niko. Je dois à tout prix respecter la dernière recommandation d'Orlando. Me cacher afin que son frère ne nous retrouve pas, mais comment dois je m'y prendre? Pour le moment, je n'arrive pas à réfléchir intelligemment, toutes mes pensées sont altérées par la détresse dans laquelle je suis plongée. Je voudrais tellement cesser de ressentir cette douleur. Je m'effondre sur la banquette, puis plus rien ... Plus rien. Je ne ressens plus rien. Je suis seule plus de famille plus personne. Faites que ça soit un cauchemar, par pitié Seigneur je veux me réveiller.                                                                   NAPLES  Tuer est un jeu pour moi. Un jeu, auquel j'ai toujours gagné. Pas toujours, Il y a eu une période de ma vie au cours de laquelle j'ai été faible. S'en est suivie une époque où son absence m'a rongé. Depuis, je me suis représailles. Certains m'appellent le Diable, mais je suis Stefano ROZATTI. Je suis à la tête de la mafia italienne. Dans le passé, j'étais prêt à tout envoyer valser et quitter ce monde de crime avec lui. Jusqu'à ce qu'il la rencontre, et décide de m'abandonner. Il l'a préféré à moi. Je suis qui je suis et je ne me plains pas, je ne regrette pas mes actes. Dans ce milieu, il n'a pas de place pour les sentiments: ici, c'est tuer ou être tué et moi j'ai toujours tout mis en œuvre pour être celui qui appuit sur la gâchette. En moi dirigeant donc avec mes hommes de main dans cet hôtel miteux, je sais déjà ce que je dois faire et pourquoi j'y vais. Mon mode de vie peut en choquer certains, mais je m'en fous comme une guigne. Je suis le chef d'une mafia mon univers à moi, c'est le crime, le pouvoir et le sexe sans attaché. - Signore c'est ici. Me dit Carlo, mon homme de confiance.  Je lui réponds d'un hochement de tête, en lui demandant d'ouvrir la porte. Je ricane intérieurement. Dans cette chambre d'hôtel à l'aspect lugubre, le spectacle que nous venons d'interrompre est très intéressant. Je pourrai regarder cette partie de jambes en l'air torride jusqu'à ce qu'elle prenne fin, si je n'avais pas d'autres chats à fouetter. Je me déplace rarement, et si je suis sur place, c'est que l'un de mes collaborateurs à décider de se faire la malle avec cent millions de dollars $ de mon organisation.  L'argent, pour moi n'est qu'un moyen de se faire plaisir. Le fait qu'il est volé m'importe peu ce montant ne diminue en rien ma fortune. C'est parce que cet idiot est un traître que je suis là. Il file des tuyaux aux Russes. Ces connards pensaient que je ne saurais pas, ce minable m'a sous-estimé et c'est pourquoi je vais en finir avec lui et je vais adorer le faire. - Si ... Signore Rozatti? - Oui c'est bien moi. Non, tu ne rêves pas. Tu es bien éveillé. Le problème est qu'on est dans ton pire cauchemar !!! Il déglutit avec peine. Il est mort de trouille ça se voit. Pourquoi les pires salauds sont-ils des trouillards? C'est sans moi compter bien sûr, car je suis sans aucun doute un s****d le pire d'entre tous. Et je le sais. Sa compagne se rhabille avec précipitation. C'est bien la femme, toujours à vous abandonner au pire moment. Elle me regarde avec des yeux aguicheurs. Tu ne sais pas a qui tu as affaire, j'en bouffe trois comme toi au petit-déjeuner. L'envie de l'achever me titille, mais je sais qu'elle ne dira rien pour sa petite vie. Elle sort de la pièce sans demander son reste. Bon elle est sortie revenons aux choses sérieuses. Je fais un signe à Carlo pour qu'il fasse asseoir le traître sur une chaise. Quelle chance pour lui, mourir dans le plus simple des appareils. -Je peux vous expliquer Signore T'expliquer? Je l'observe avec un air moqueur et il baisse la tête. T'expliquer ne changera rien à ta mort prochaine et je n'ai pas de temps à perdre. Je lève mon arme et il s'exclame: - J'ai une femme et des enfants, je vous en conjure, par pitié épargnez moi. Je vais vous rendre tout l'argent et même plus. Je vous en prie. Je suspends mon geste et il continue: - Je m'ont menacé je vous ... - La ferme idiot! Tu me parles de ta famille? Le fric, je m'en fiche royalement! Tu m'as trahi. Je vais te faire une fleur. Les cent millions de dollars $, je les offrirai à ta femme et à tes enfants, après t'avoir élimininé. Ils ont élargi de quoi vivre après ta mort! Tu devrais me féliciter. Il joint ses mains, le visage apeuré, espérant ainsi obtenir ma clémence. S'il y a une chose que je ne tolère pas, c'est la trahison. Ma décision étant prise, il n'y a pas de sursis possible. Ce soir est le dernier de sa misérable vie. - Je vous en prie signore ne me tuez pas ... Baaaanng! Je tire sans aucun état d'âme. J'en avais assez de l'écouter. Il se prend une balle dans la tête et s'écroule comme une souche à mes pieds. Une bonne chose de faite. - Carlo débarrassez-moi les lieux. Simulez un accident sa femme devra garder en mémoire que c'était un homme bien. - Nous avons retrouvé la mallette et le compte y est. - Virez le montant sur le compte de sa femme. Présentez-lui des condoléances de ma part je ... Dring dring dring. La sonnerie de mon téléphone coupe ma tirade. Carlo décroche et moi passe le téléphone. - C'est González. Lui? Pourquoi m'appelle-t-il à cette heure-ci? Qu'est-il arrivé? Cet appel ne me dit rien qui vaille. - Que s'est-il passé? Que veux tu me dire de si urgent? -... Son silence me conforte dans l'idée que quelque chose s'est passé. Une choisi que je ne vais surement pas aimé. S'est-il fait repérer? Mon frère sait-il que je le fais surveiller?  - Signore je suis désolé ... mais .. - Désolé de quoi? Parle non d'un chien! - Ils sont morts Que vient-il de dire? Morts? Mais de quoi parle t-il? - Quoi? Qui? - Oui Signore, ils ont eu un accident tous les deux. Sa femme est morte sur le coup. Lui parcontre, est mort une demi-heure plus tard à l'hôpital. Une crainte soudaine s'empare de moi.  - Mais de qui parles-tu? - Signore, il s'agit de votre frère. Mi dispiace signore Ce n'est pas vrai. Orlando! Mort? mon frère? Ce n'est pas vrai, non il ne peut pas âtre mort. La crainte s'amplifit et s'installe totalement au creux de ma poitrine.  - Ce n'est pas possible, il doit y avoir une erreur. Finis-je par dire après quelques minutes de silences pour assimiler l'information. - Je suis venu une minute trop tard. C'est moi qui ai appelé l'ambulance ... - Orlando et sa femme sont ... Le petit était avec eux? Fais-je après un sursaut de lucidité. - Non, heureusement il était avec la nounou. - Mais où étiez-vous bon sang! Je vous paie pour garder un œil sur lui et pour le protéger, c'est mon frère, il était la cible de tous mes ennemis! Je n'y crois pas, c'est impossible, non pas mon frère. La peine que je ressens se traduit pour le moment en une rage que je dois déverser.  - C'était un meurtre. La phrase met quelques minutes à atteindre mon cerveau.  - Scusi?  - Le conducteur les a percuté exprès signore. J'ai..j'ai assisté à la depuis scène mon véhicule. - Figlio di puttana ! - Le véhicule est sorti de nulle part et leur a foncé dessus jusqu'à les précipités dans un ravin. Merde, un meurtre. Qui est ce f****r ?  Je sens que ma rage vient de grimper d'un cran.  - Tu n'as pas jugé bon de poursuivre la voiture en question. N'est-ce pas ? -J'étais entre deux feux.  J'ai décidé d'essayer de les sauver. Il ne peut pas être mort ! Ce n'est pas vrai. Je donne un coup de pied brusque et v*****t dans la chaise sur laquelle est mort l'autre enflure. Il a voulu les sauver en laissant s'échapper leur assassin. Ils sont morts, tous les deux. Comment suis-je censé annoncer cette terrible nouvelle à ma sœur et à ma mère?  - J'ai une piste Signore donnez moi quelques jours. Une piste ? Je réfléchi en toute vitesse. Celui qui a orchestré ça voulait se débarasser de toute la famille, il reviendra certainement pour leur fils. Mon neveu. Mon neveu est en danger. - Je viens dans quelques heures. Attendez-moi à l'aéroport, je dois aller chercher mon neveu, il est en danger. - D'accord j'y serai. Clic ... C'est sur ce son que prend fin la discussion téléphonique, la plus douloureuse de ma vie. Il est mort! Orlando est mort. Mon frère jumeau, ma moitié. Il est mort p****n. Je sens les larmes venir. Pas devant tes hommes Je fais taire avec colère ce sursaut d'ego et sans tenir compte de la présence de mes hommes et du cadavre, je tombe à genooux pour pleurer mon frère. Orlando, tu m'abandonnes encore une fois et cette fois-ci pour toujours. 

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