jjjjjUpdated at Dec 15, 2021, 20:50
Djalika était assise dans sa chambre en se souvenant de ses derniers instants avec sa défunte mère, ses dernières paroles, et ses dernières gouttent de larme….
Sa mère était tellement malheureuse et malgré cela elle s'était jamais plaindre face à toutes les difficultés qu’elle traversait. Quand sa mère avait découvert que son père l’avait trahie avec sa meilleure amie, elle s’était sentie brisé comme un crayon entre les mains d'un enfant.
C'est le bruit de la porte qui l'a fit sortir de sa rêverie, elle essuya ses larmes rapidement quand elle remarqua la présence de sa belle-mère dans la pièce.
Elle se leva en l’ignorant complément, elle prit le chemin du jardin mais cette dernière la poursuivit quand même.
Mala : Djalika comme tu es insolente ?
Djalika continua sa route sans s’arrêter tandis que sa belle mère l’arrêta, leva sa main et l’aserna une gifle magistrale.
Elle tenait sa mâchoire, elle pointa son doigt vers elle sur un ton sévère.
Mala : tu es sous mon toit alors quand je te parle, tu dois me répondre !
Elle sourit avec un visage crispé et dit…
Djalika : c'est aussi chez moi chère Belle-mère car tu as oublié je suis là fille unique de mon père.
Mala : Maintenant tu remets ma fertilité en question sale peste.
Djalika : j'ai simplement dit la vérité car ici c'est chez moi ainsi que toutes les autres propriétés de mon père.
Mala : je te ferai une belle surprise et je promets que tu n'auras rien après sa mort.
Djalika : je m'en fiche totalement de ça car la chose que je sais c’est que je ne vais pas te laisser me détruire comme tu l'as fait avec ma mère.
Mala : Qui va m'empêcher toi ?
Elle éclata de rires mais d'un coup se mit à pleurer.
Djalika : le jour que mon père découvrira ton vrai visage… hummm !! je donnerai tout pour être là.
Elle sursauta quand elle entendit la voix de son père derrière elle…
Elle se retourna en et vit que son père était là entrain de les regarder mais sa belle mère courut dans les bras de son père en larmes de crocodile.
Mala : tu as vu mon amour comment elle me parle?
Djalika roula ses yeux en voyant comment sa belle-mère manipule son père à sa guise.
Mala(en pleure):elle est toujours comme ça ,elle le nie a chaque fois.
Djalika(énervée) :je ne mens pas, c'est toi la peste ici tu es une traîtresse comment tu as pu coucher avec le mari de ta meilleure amie ?
Moussa (en criant) :Assez ,j'en ai marre tout le temps de ces disputes sans fin.
Moussa prit le visage de sa femme et sécha ses larmes et cette scène , Djalika ne l’a pas du tout apprécié.
Moussa :écoute mon amour ,je vais parler à notre fille.
Mala quitta le jardin en regardant sa belle-fille avec un air mesquin.
Moussa : Djalika c'est quoi ce comportement ?
Djalika :c'est elle qui a commencé !
Moussa :je ne veux pas savoir qui est la fautive dans cette histoire, chaque jour c'est toujours la même chanson !
Djalika :bien sûr à chaque fois pour toi c'est moi la peste.
Moussa :ce n’est pas ça, je ne comprends pas comment une femme qui t’as pratiquement élevé, tu la détestes autant.
Djalika :je la détesterai même étant morte.
Moussa :je veux que vous vous habituez l'une à l'autre, que vous ayez une bonne relation.
Djalika :c'est le comble papa, tu veux que je sois l'amie d'une femme qui a brisé ma famille et a causé la mort de ma mère ?
Moussa :cette histoire c'est du passé essaye de tourner la page et d’aller de l'avant ça fait maintenant 5 ans que ta mère n'est plus de ce monde, tu dois t'y faire ma fille.
Djalika : jamais je ne pardonnerai Mala pour cette trahison et toi aussi papa.
Djalika se leva avec tristesse et des larmes qui inondaient son visage du fait de voir comment son père a oublié sa mère aussi vite qu’elle ne le pensait.
À chaque fois qu'elle pensait à sa mère ,elle pleurait parce qu'elle était une femme gentille et soumise elle a fait confiance aux mauvaises personnes. Malgré les trahisons de ses proches elle a toujours voulu reconquérir son mari, elle a tout fait pour lui juste parce qu'elle n’aimait pas le divorce et voulait que sa petite fille vive dans une famille unie et elle a tout donné et n'a jamais rien reçu en retour.
Moussa :je te parle Djalika !
Elle avait la tête ailleurs car ça lui avait brisé complètement le cœur….
Djalika :cette discussion est terminée, et ne t’inquiète pas bientôt je quitterai cette maison.
Moussa se leva tout énervé et lui pointa du doigt puis dit d'un ton menaçant…
Moussa :oh non tu quitteras cette maison que quand je vais te marier.
Djalika :et si je n'aime pas l'homme que tu me proposes ?
Moussa :tu vas devoir te force à l’aimer car l'amour est une plante qui chaque jour s'arrose et ainsi elle grandira.
Djalika :et toi tu parles de l’amour mon œil !
Moussa (en hurlant) :un peu de respect jeune fille !
Djalika : pourquoi tu ne me laisses pas choisir mon mari ? pour une fois dans ta vie laisse-moi faire mon