Chapitre 10

1915 Words
Point de vue de Khadeeja Après que le repas finisse, les détenues se rendent dans leur différentes cellules. — Les filles je crois que nous devons prier. Nous dit Djamila — Tu as raison. Je lui répond — Mais nous ne sommes pas de la meme religion et moi je ne suis pas pratiquante et maintenant je crois plus en Dieu après ce qui vient de nous arriver. Répond Géorgia — Non Georgi les choses ne se passe pas ainsi, je sais que c'est dure mais notre Dieu veut juste nous éprouver rien de méchant. Tu dois garder la foi et reprendre la prière. Lui dit — Elle a parfaitement raison Georgi, tu ne dois pas délaisser ta religion juste pour ça ! Affirme Djamila. — Bon les filles venez nous allons prier. Dit Djamila — Mais comment? Je suis comme Géorgie je ne suis pas pratiquante. Déclara Betty — Ne t'inquiète pas tu vas apprendre. Lui répond Djami Quelle idée brillante !! Nous passons par une dure éprouve, et nous nous devons de nous retourner vers notre créateur car il est le seul à pouvoir nous aider dans une situation pareille. Je ne peux pas juger les filles sur leur croyances religieuses, Géorgia n'a jamais cru en l'existence de Dieu, et Betty non plus, pourtant elle est née et grandi dans une famille chrétienne et c'est pourquoi son père lui a mit à la porte. Cependant, aucunes d'entre nous n'était croyante, on vivait le jour du jour jusqu'au moment où nous nous sommes mariés et que nous avons prit connaissance. De plus les filles n'ont pas eu une merveilleuse enfance avec leur parents, tous violents et égoïstes. Personne n'était présent pour les guider et leur faire comprendre les réalités de la vie. C'est pour quoi elles ont cette mentalité, elles ont grandis avec cette optique « si Dieu ne nous aide pas dans nos épreuves c'est qu'il n'existe pas ». — Écoutez, voilà Khadeeja et moi nous allons prier ensemble et vous allez faire de même. Je suis consciente que vous ne connaissez rien de la religion mais Maddy peut bien vous guider non? — Oui bien évidement. Lui Répond Maddy — Mais oui c'est ça, elle veut se la jouer la sœur religieuse alors que le dimanche au lieu d'aller à l'église madame s'en va a son institut de beauté parce que l'argent c'est plus important pour elle. Arrêtez un peu de nous bernés s'il vous plaît! S'écria Géorgia — Georgia !! — Non Djami ne t'inquiète pas, oui tu as raison, c'est que le dimanche quand j'ai beaucoup de marier je ne peux pas mais sur je me dois d'y aller. Mais rassure toi, car le soir je vais à la messe. Néanmoins moi je crois en Dieu Géorgia! Moi je ne lui tourne pas dos pour une simple éprouve ! — Calmez-vous s'il vous plaît les filles, ça ne sert à rien tout ça. Dis-je en essayant de calmer un peu les choses. — Géorgia excuse-toi s'il te plaît. Lui demande Djamila — Pardon? Et pourquoi? J'ai juste dit la vérité hein. — Honnêtement Géorgia tu devrais te taire. Lui dit Nikita — Laissez tomber les filles, on est toujours critiquer par pire que soi. Répliqua Géorgia Un silence règne, c'est vraiment désagréable le comportement de Géorgia. Elle a cette attitude de rabaisser les autres et c'est son pire défaut. Maddy est une personne géniale et sa religion lui porte à cœur. — Bon voilà je comprend que nous sommes dans une situation très difficile et que cela jouer énormément sur chacune d'entre nous mais vous ne devez pas oublier que nous devons nous soutenir quoi qu'il en soit. Nous devons rester unie les filles! — Khadeeja a raison, évitons de nous prendre la tête pour des futilités. On va faire comme tu l'as dit Djamila, Maddy nous te suivons. Ainsi elles se sont isolés toutes les trois sauf Géorgia, elle est rester sur son lit. Elle est déterminée, elle ne veut se joindre aux autres. [...] Le lendemain Point de vue de Géorgia. Je me réveille avec une grande douleur, les matelas sont usés, je n'y suis vraiment pas habitué. Les filles étaient toutes déjà réveillées, aucune d'entre nous n'avait vraiment dormi. — Bonjour les filles, quelle horrible nuit. Déclare Georgia — Jusqu'à quand allons-nous rester enfermée ici? Demande Nikita les yeux remplis de larmes. — Restons positives, tout chose une fin, allez c'est l'heure pour la douche. Dit Maddy avant de se lever du lit Comme toutes les détenues nous dirigeons vers la salle de bain suivies par des gardiennes Poupette et Cecilia. Après le bain, les détenues prennent part des activités et discutent dans la cour comme d'habitude comme d'habitude. Aucune d'entre nous n'avait vraiment envie d'en faire parti. — Regardez il y'a Zoudiba qui arrive. Dit Betty — J'espère que ce n'est pas pour nous prendre la tête encore une fois. Je lui répond Elle arrive: — Coucou les stars. Dit-elle en souriant Elle s'est prit une habitude de se moquer de nous, elle est sans état d'âme. — Djamila, Khadeeja et Géorgia, vous avez de la visite. J'étais si heureuse d'entendre cela, Benjamin vient me voir cela me fait oublier tous mes soucis. Nous sommes conduit par Zoubida dans la salle de visite. Je me jette littéralement sur Benjamin. Point de vue de Khadeeja J'ai été surprise quand j'ai appris que j'ai de la vissée, cela fait un bon moment que je n'attendait que ça. Arrivée dans la salle de visite, je vois Mansour assis, quand il me voit il se lève et s'avance vers moi avant de me serrer contre lui. Nos yeux ses sont remplis de larmes. — Comment tu vas mon amour. Me demande Mansour les yeux rouges — Mal, rien ne va je veux partir d'ici. Tu me manque beaucoup ma mère aussi et Mayra. — Ne t'inquiète pas j'ai déjà contacter un avocat il s'occupe de tout maintenant. Essaye de tenir juste un peu. — J'ignore de quoi ils nous accusent Mansour. — Moi aussi mon coeur, ils refusent de me le dire mais crois-moi l'avocat finira bien par le savoir. Il me tient la main et fais des baisers dessus. — Comment ça se passe à la maison? — Tout va bien ne t'inquiète pas, Oumyma est très triste mais ça va. Bientôt vous allez vous voir. Je ne peux même pas imaginer la douleur de ma mère en ce moment. Elle me manque énormément. Point de vue de Djamila Cela fait une éternité que j'attende la visite de Hazim et apprendre que vous allions enfin une voir est la plus bonne nouvelle que je puisse recevoir à ce jour. Quand je l'ai vue en rentrant dans la salle je n'ai pas pu m'empêcher de verser quelques larmes. Nous sommes ainsi pendant de longues secondes. « Vous n'avez que dix minutes! » déclare Zoubida Hazim et moi nous nous installons sur les chaises tout en serrant la main. Il avait la tête baissée. — Tu m'as manqué. Dis-je difficilement — Tu nous manque à tous, les enfants ils te réclament. J'ai fondu en larmes, mes enfants sont ma vie, je les aime plus que tout au monde. Hazim se lève et me réconforte. — Soit forte mon cœur. — Qu'allons nous faire? Je suis désespérée. — J'ai contacté un avocat s'il te plaît garde la force pour nous. Hazim est conscient que je suis très fragile et que je déprime facilement. — D'accord mais dis-moi Niakha elle va bien? Vous lui préparez ses biberons comme il le faut? Boushra je lui ait déjà tout a apprit. — Calme toi tout va bien ne t'inquiète, Boushra gère toute seule. « 3 minutes !!» s'écria Zoubida — D'accord tu me rassures. « Terminer !! » — « Quoi? Mais tu viens de dire qu'il restait 3m une il y'a une seconde! » déclare Georgia Zoubida avance violemment vers elle. « Lève toi tout de suit! » — Calmez-vous s'il vous plaît ! Dit Alexandre Zoubida fais sortir Georgia de force dans la salle de visite. Ensuite Cecilia nous a conduit Khadeeja et moi dans la cour. — Alors comment ça s'est passé? Et Georgia ? Demande Maddy Khadeeja leur a raconté: — J'espère qu'elles ne vont rien lui faire. Répliqua Khadeeja Au même moment Georgia arrive — Alors qu'est-ce qui s'est passé? Lui demande Nikita — Rien, elle voulait me faire la peau mais heureusement qui jeune gardien était là. — Tu devrais beaucoup faire attention Georgia! Ces gens sont prête à tout pour nous détruire. Déclare Khadeeja — Elles ne peuvent rien, moi je suis Georgia ! Elle ne comprend que nous sommes dans une prison et que son titre de femme riche n'en vaut pas la peine. ________________________ •|•| Un mois plus tard Point de vue de Khadeeja Un mois maintenant que nous sommes enfermés injustement. Nous étions dans toutes ensemble, on repensait à nos vies, nos familles. Cette vie est tellement dure et injustice, des innocents se trouvent prit aux pièges tandis que les vrais criminels sont libres dans la nature. — Niakha a neuf mois et demi maintenant. Déclare Djamila les larmes aux yeux. — C'est l'anniversaire de Kaylan, je veux mourir! — Calme-toi s'il te Georgia, c'est mauvais de dire une chose pareille surtout quand tu es mère. Lui répond Djamila — Je n'aurai pas due rater son cinquième anniversaire ! Djamila lui prend dans ses bras. — Je comprend ta douleur, soit forte. N'oublie pas que j'ai été arrêter le Joye de l'anniversaire de ma fille. — Zoubida arrive. Zoubida est l'une des méchantes gardiennes de cette prison, sa collègue Cécilia à avouer qu'elle aurait été payer pour nous pourrir la vie. Je comprends qu'il y'a des gens qui sont prêtes à nous faire vivre l'enfer dans cette prison. — Pourquoi vous êtes assises tranquillement, vous vous êtes cru chez vous? Dit-elle avec des yeux pleins de rage. Elle ressent une grande haine en notre égard, nous déteste d'une manière inimaginable. — Nous avons finis nos travaux pénitentiaires Zoubi. Lui répond Nikita, elle vient violemment vers elle et lui donne des coups au ventre. Nikita tombe sur le sol par la douleur. — Zoubida qu'est-ce que tu fais? Lâche les un peu. Déclara Poupette. — Ta gueule la grosse, je t'ai toujours dit de ne pas te mêler de mes histoires. Et toi Nikita répète encore ce nom et je te promets que tu ne recevras plus jamais la lumière du soleil, chienne je ne suis pas ton pote. Elle dit avant de cracher sur Nikita, j'ai tellement de peine pour elle. Nous avons toutes essayer de l'aider se relever mais Zoubida nous a menacer. — J'espère que c'est claire pour vous toutes, la prochaine qui se permette de jouer la maline avec moi je n'hésiterais pas à lui arracher les cheveux une par une. Zoubida contrôle toute la prison, c'est l'une des anciennes et la plus méchante. Elle a le pouvoir, elle ne se gênerait pas de nous faire la peau. Nous sommes obligé de lui obéir si nous voulons sortir saine et sauve. — Je suis venue pour informer que vous aurez désormais accès au parloir conjugal. A votre place je refuserais, faire l'amour en prison n'est une bonne idée surtout que vous n'aurez que dix minutes. Dit-elle en ricanant, elle se moquait de nous comme si nous étions des animaux. Cette femme est purement cruelle, une sans cœur. A suivre...
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