Épisode 1

3198 Words
#la_femme_du_bar_et_le_sorcier  Partie 1 Oumy  Un peu plus tard dans la journée, il semblait déjà être 17h, je venais de finir mon service  c’était donc mon temps libre, un moment idéal pour me rendre chez Ramatoulaye.  Je n’avais pas pris la peine de l’avertir de ma visite, car elle-même m’avait donné le double de clés de son appartement et m’invitait souvent à m’y rendre quand j’avais besoin de changer de la routine du quotidien, le boulot, la famille, tout semblait être là pour nous faire perdre la tête. Et j’y trouvais donc par la des raisons de m’y rendre car il faut le dire c’était un super appartement en plein centre-ville, de son balcon on pouvait apercevoir la porte et donc de merveilleuses couches de soleil.  Arrive au vingt-septième étage, je me dirigeai vers l’appartement, il n’était pas difficile à reconnaitre car sur la porte il y était marque A0721, curieusement l’appartement portait les chiffres de la date d’anniversaire de ma copine. Et sans sonner j’introduisis la clé puis en un tour de clé la porte s’ouvrit. La porte avait juste le temps de se refermer derrière moi que je remarquai qu’il y avait un calme pesant, car il était commun de trouver la télé allume la musique à fond, surtout sur les titres de Youssou Nour. Ramatoulaye en était une très grande admiratrice. Elle avait assisté à de nombreux de ces concerts et je l’avais accompagné a presque la  moitié.  J’inspectai le salon mais tout était à sa place. Aucun signe qui pouvait faire remarquer ou indiquer la présence de la propriétaire des lieux ou d’une autre personne. Et malgré cela je ne pouvais qu’être surprise par cet appartement, à chaque fois c’était comme si je le visitais pour la premières fois, sublime, il était à l’image de ma très chère amie.  Il faut savoir que  Ramatoulaye avait un gout remarqué pour les bonnes choses, le sol était recouvert d’un magnifique tapis marocain aux motifs jaune moutarde et d’un gris argente de très jolis dessins du style oriental. Ce tapis avait la particularité de marquer les visiteurs car on y prenait un réel plaisir à marcher les pieds nus déçu tellement c’était doux. C’était souvent aussi notre site de danse on s’y défoulait souvent toutes les deux sur des musiques très variées. Mais ce qui était encore plus accrocheur était les fauteuils du salon. je l'ai trouvé sur le tapis de prière les mains tendues vers le ciel, elle hoquetait. Elle demandait sûrement à Allah de lui venir en aide. En la soulageant d’un mal qu’elle seule pouvait peser le poids. Et il nous arriver souvent de retrouver la solution que dans le Divin, car l’homme n’a pas toujours le remède à tous les maux qui nous ronge. Surtout quand se mal nous étouffe de l’intérieur.  Prise d’un gros sentiment de compassion, je posai mon sac sur la table du chevet du lit avant de me rapprocher pour l'enlacer, la serrer très fort dans mes bras, si fort que l’on pouvait tous les deux sentir nos cœurs battre.   Elle se laissa faire, se sentant en sécurité. Il était plus facile pour elle de pleure et sans surprises elle finit par éclater en sanglots puis juste après elle me confia ces mots :  -Oumy ! Je suis à bout, épuisée physiquement et mentalement je t'en prie aides moi. Aujourd’hui encore Je n’ai pas pu voir maman. Elle me manque énormément. Oumy tu sais autant que moi que maman n'a pas sa place dans cette asile. Si seulement j'étais un peu plus présente pour elle, jamais elle ne se serait fait internée dans cette maison pour fous ... Non, maman n’est pas folle, elle ne peut pas avoir perdu la raison, Non ! -Calme toi ma chérie. Je sais que c'est une  terrible épreuve que tu traverses, mais sache que tu n’es pas seule et tu dois etre forte pour pouvoir continuer à lutter, et j'en suis certaine que tu y arriveras tout vas s'arranger. Tu as le corps chaud, tu dois manger, boire et prendre des médicaments pour baisser ta fièvre.  -Dans mon état, je n’ai envie de rien et je ne pourrais rien avaler... Dans un geste fluide je posai avec douceur mon index sur ses lèvres. -Laisses moi juste le temps de prendre une robe de  rechange dans ton armoire après je vais te concocter quelques choses à manger, tu m’en diras des nouvelles. Et pas de réplique. C’est non négociable ma grande. Prépare-toi a gouter à un plat digne d’un cordon Blue. Une fois changée, j’ai attaqué la cuisine. En un temps record et avec un véritable plaisir d’offrir un peu de joie, de gourmandise à mon amie, je terminai enfin la cuisine. Je retrouvai Rama toujours sur son tapis, elle n’avait pas bougé d’un pouce. Toujours statufié sur la même position. Je me mis un instant à la regarder sans rien dire, et dans une perte de patience je l’obligeai à se relever pour marcher vers salon et ainsi donc lui permettre de manger un peu. Elle avalait difficilement, les bouchés les uns après les autres. Je la regardais silencieuse. Son manque d’appétit était assez normal, car personne ne pourrait prendre plaisir à manger dans son état. Car manger c’est avant tout se faire plaisir et là son cœur était vide nageant dans le désespoir ses pensées étaient trop loin pour pourvoir savourer ce plat. Il lui fallait juste remplir se vendre vide. Et seule sa mère pouvait remplir le vide de son cœur. J'avais vraiment pitié d'elle. Elle était belle fraîche, et souriante mais sous les coups du Destin, elle était devenue terne, triste et pâle.  Elle luttait perpétuellement, je le savais car elle ne se laissait jamais faire, elle portait une mentalité de lionne, je lui portai même une admiration pour son côté de battante. Mais la vie n’était pas du tout tendre avec elle. Au début elle tenait le coup, lorsque son frère se retrouva du jour au lendemain sur un fauteuil roulant. Elle pleurait certes mais rien n'est comparable à la douleur qu'elle a ressentie quand, elle rentra du Maroc et retrouva sa mère pensionnaire du centre psychiatrique.  Ce jour, elle a failli commettre l'irréparable.  Elle était méconnaissable.  Elle s'était abandonnée comme une masse sur la terre. Elle roulait par terre et criait et exprimait sa douleur sans retenue.  Je n’ai pas pu me retenir de voir mon amie dans un tel état. Et même sa belle-mère pris d’empathie, avait tenté de lui faire entendre raison mais Rama ne voulait absolument rien entendre.  Son monde venait de s'écrouler.  Ses cris de désespoir l'avaient causé des maux de ventre atroces.  Elle se retrouva à l'hôpital. Hospitalisée pendant une semaine suite de son état de crise mais en bonne amie j’étais à son chevet. Peu à peu, elle sortait de son état de crise, et elle abandonnait son sommeil mais elle était vraiment trop silencieuse. Rama et sa mère étaient proche . Trop proche à mon goût. Tante Penda l'avait responsabilisé depuis sa toute petite enfance. Et elles faisaient absolument tous ensemble. Cette complicité s’affirmait même dans les choix des deux il arrivait que  la fille n'aimait pas une chose, et pour les même raisons la mère aussi disait non. Et lorsque la mère se blessais sans discuter la fille se mettait juste à pleurer. Elles étaient très unies dans une  relation fusionnelle, complice. Une relation très encrait dans le partage et la confiance qu’elle pouvait étonner le sens commun en paraissant surréaliste.  Et aujourd'hui le cœur meurtri sous le poids de cette séparation, j’ose imaginer la profonde triste que toutes les deux doivent ressentir. Même si tante Penda était instable Mentalement. Rama ne pouvait pas se faire à cette idée. Qui pourrait accepter de perdre un être si porche, la savoir physiquement vivante mais mentalement morte.  -Tu sais Ramatoulaye Malade, tes larmes ne résoudrons jamais tes problèmes. Il te faut du courage et de l'abnégation, tu dois te battre pour toi pour ta mère et pour ton frère. Pleurer ou se morfondre ne sert absolument qu'à te faire perdre du temps alors relèves toi et bats-toi pour l'amour du ciel. Tu as toujours été forte... -Non Oumy j'ai toujours été faible, c’est maman qui me donnait la force de survivre. Elle était mon pilier, celle que j'aime le plus au monde. Oumy, tu ne peux pas imaginer combien je me sens vide, je meurs à petit feu. Maman est toute ma vie. Sans elle je ne pourrais jamais tenir, jamais .... Elle éclata en sanglots... Ah ma pauvre !!! Modibo  Ma sœur était partie rejoindre mon père au village pour la cérémonie initiatique. C’est bien après être arrivée dans ce charmant petit village Dionbel  que Salimata  me fit part de l’état de colère de mon père, du fait de mon absence et cela malgré sa volonté, son instance de me voir présent. DIOBEL était une terre que j’affectionnai beaucoup durant les vacances de ma petite enfance. Un village accès ordinaire dans le sens ou ça reste un village mais il était aussi particuliér dans la manière de vivre de ses habitants.  Salimata  etait partie toute seule et c'était la première fois qu'elle partait au  village.  A présent, tout le monde me voyait  comme le fils rebelle, un fils qui a trahi la tradition et rejeté les coutumes de ses ancêtres.  J'étais triste mais quand même ferme sur ma décision. Au fond c’était ma Vie et moi seule avait le droit de décider. Bien que mon père fût la source de ma venue au monde , je reste maitre de ma Vie. Et la nature a fait le plus grand du travail, il n’a simplement fait que son devoir de père. Mais là il s’agit de mon avenir et mon devenir. Et mes choix sont toutes ces petites pierres qui feront l’édifice de ma Vie. Il faisait nuit et je m'apprêtais à sortir quand j'entendis des voix dans ma chambre. Plus je m'approchais plus je distinguais la voix de ma tante, la petite sœur à mon père et celle de mon défunt grand-père.  Mais mon Dieu comment ils ont atterri ici. Je perdais complètement mes moyens. J’avais peur.  Au pas de la porte une dispute houleuse éclata entre eux . J’ai rapidement allumé la lumière de la chambre mais il n'y avait personne mais les voix continuaient à raisonner. Je croyais que je perdais la tête.  J'étais pris d’un gros coup de panique, un instant de silence suivi cette hallucination auditif. Mais juste après les voix repris et cette fois ci les voix venaient depuis le petit salon. Cherchant une explication et très bouleverser je me précipitai vers le lieu encore la même chose des voix mais personne derrière, même pas une ombre ... Fixe dans le petit salon, une pense me traversa l’esprit et je me suis mis à parler à ma propre personne : Ils veulent me faire céder mais hors de question.  Troubler et secouer, il me fallait changer d’air. Essayer d’oublier cette situation curieuse, car peut-être bien que je commence à perdre la tête. C’est ainsi que je sortis de chez moi, il était déjà 21h, je n’avais qu’une seule envie, celle de sortir et pourquoi ne pas profiter d’aller à la rencontre de cette curieuse femme, celle de cette fameuse nuit au bar. En y pensant je la revoyais, un verre en mains,  se déhanchant sur la piste de danse, toute seule. plongé dans mes souvenirs je ne revois plus qu’elle. La revoir dans ma tête nourrissait en moi une flamme pour la faire face et je me répétais dans la tête qu’aujourd'hui je ne fuirai pas, je resterai auprès d'elle.  Après avoir fait le trajet, la joie au cœur dans un sentiment d’évasion je réalisai malheureusement que cette femme de nuit, n'était pas venue ce soir-là, je ne l’avais retrouvé ni dans le bar ni dans la rue. C’est le cœur triste et la morale dans les talons que je suis rentré chez moi.  J’avais une occasion de m’évader mais elle n’y était pas. Le regard vide et l’esprit ailleurs je refis la route inverse.   Et ses voix qui m'empêchaient de dormir.  Je sais qu'ils sont là pour me faire peur. J’ai failli être combattu par la peur mais ils oublient que je fais partie de leur famille. Le lendemain, le soleil avait à peine pénètré ma chambre par l’immense fenêtre qui comme chaque matin caressait mes joues d’un doux sentiment de chaleur. Elle donnait sur la ruelle principale de mon quartier, et je m’y arrêtai souvent pour voir un spectacle matinal, des enfants allaient  a l’écoles, des hommes et femmes prêts pour le boulots certains au volant de leur véhicules, d’autre plantaient a attendre le bus ou un taxi, des commerçants qui relançaient leur boutique etc… Une véritable symphonie humaine et c’était à cela que se rythmait le quotidien des habitants de la grande ville.   Mais ce jour-là c’était diffèrent, car déjà réveillé j’avais du mal à quitter mon lit et c’est une bonne poignée de minutes après que mon téléphone sonna, je me redressa et répondis c’était la secretaire de la direction des ressources humain, elle me m’annonça que j’avais décrocher le poste pour lequel j’avais passé l’entretient   et donc que je pourrai débuter dès le Lundi matin.  Alhamdoulilah ! Enfin une bonne nouvelle pour moi. Ces rayons de soleil avaient donc pénétraient ma chambre mais aussi ma vie. Et il cette nouvelle avait chassé toute l’obscurité qui s’était installée la veille.  Ramatoulaye Malado  Posée seule ma pense volatile et  je me disais si : Il peut arriver à l’homme de ressentir une sensation assez bizarre, une impression d’avoir un voile sombre fait de mystère enveloppait  son cœur. Et ne plus avoir de force même pour ne se  reste qu'à prononcer un mot. De ne plus ressentir aucun goût pour la vie. Voilà mot pour mot l’état dans le quel je me retrouvai. Je ne savais  plus par quel pied danser. Car j'étais  loin de ceux que j’aimais vraiment, ma mère me  manquait, mon frère me manquait, un gros vide s’était créé en moi car je me sentais seule au monde. J'etais une épave humaine, et il n’y avait plus l’ombre d’un sens humain en moi. Subitement une volonté surgit en moi :  -Je dois aller voir ma belle-mère, cette femme qui a partagé le foyer avec ma mère, la coépouse de ma mère, même si papa ne veut plus me voir. J’ai besoin d'elle.  Je me chaussais rapidement et me remis à chercher mes clés que je retrouvais dans mon armoire.  Sur le trajet, Ngoné m'appela , elle avait l’air paniquée, mon frère était trop malade.  J'ai pris le chemin menant vers son appartement.  Je l'avais trouvé mal au point de ne plus dire un mot. Je le pris dans mes bras. Son corps dévoré par une fièvre brûlait le mien. Il me sourit faiblement. Et ramenant ses doigts sur mes joux.  -Merci d'être venu ma sœur. Merci pour tout ce que tu as fait pour moi... -Aliou ne dit plus un mot, tu es fatigué parler ne ferait qu'augmenter ton mal. Ngoné s’il te plaît vient m'aider pour que je puisse le mettre dans la voiture et l'amener à l’hôpital. -Non ma chérie, ce n'est pas la peine, je voulais seulement que tu sois près de moi pour que je puisse m'en allais en paix.  sache que chaque âme ne vit que pour un délai qu'Allah lui a attribué. Lors laisses moi m'en aller en paix. -NON ALIOU JE NE PEUX PAS TE LAISSER PARTIR POUR NE JAMAIS REVENIR. ON S'ÉTAIT PROMIS DE FAIRE SORTIR MAMAN ET DE NOUS RETROUVER EN FAMILLE, DE JOUER EN CACHE-CACHE. TU NE PEUX PAS T'EN ALLER COMME CA  -arrêtes de crier chère sœur ne m'épuise pas d'avantage tu oublies que ni toi ni moi n'est le maître du destin .je t'en supplie accepte ce fait et cela sera beaucoup plus facile pour toi et moi je partirai en paix. Dis à maman que je l'aime énormément, à toi …ah  Il soupira de douleur  -Tu es une sœur exceptionnelle. Je veux que tu te battes pour faire sortir maman et prendre soin d'elle.  -s’il te plaît Aliou arrêtes de parler ainsi. -Malado la mort si fatale soit elle, doit nous ouvrir les yeux sur la réalité de la vie. Elle est ce voisin que l’on n’invite jamais chez nous pourtant elle vient nous rendre visite à une heure qui l'enchante puis elle s’en va en emportant avec elle une partie de nous. Mais pourtant on s'y fait, et le temps vient panser ce vide et ses blessures du cœur.  -Tu sais quoi Aliou, je veux que tu te taises et qu'on n'y va à l'hôpital.  -je veux mourir dans mon lit pas dehors. Incapable de dire un mot, je me suis couchée auprès de lui, on s’enlaçait avant de nous endormir.  Mais je n'aurais jamais su que mon frère ne se réveillera de ce sommeil.  Tirée, du sommeil à moitié, car mon corps était toujours engourdi.  Mon frère couché tout près de moi avait   le visage beau est lumineux. Il dégageait une lumière étincelante. J'approchais ma main tremblante. Mais son corps était glacial et je sentis le mien se refroidir.  Je savais ce que cela veut dire mais mon cerveau refusait d'assimiler cette information.  Ses jambes qui n'arrivaient pas à se déplier depuis plus de 4 mois étaient tendus à leur longueur.  J'essayais de le réveiller en vain. Mes larmes s'égrenaient sur mes joux. J'émettais un cri de douleur qui fût accourir Ngoné.  Et je ne pouvais plus m' arrêter de crier. Ngoné me prit dans ses bras pour me calmer  -sois forte Malado... -Non Ngoné il faut que tu me rendes mon frère c'est tout ce que je veux  PV de l'auteur  -Rendez-moi mon frère, vous êtes des assassins. Pourquoi avoir enterrer mon frère. Il est vivant il ne peut pas mourir comme ça. Mon oncle je t'en supplie dis-moi ou as-tu laissé Aliou. Tout le monde essayer de la calmer mais rien. Ngoné et son oncle avait profiter de son sommeil brusque pour la ramener à la maison familiale.  Son père malgré tous ses années de discorde s’approcha de sa fille pour tenter de soulager sa peine. Sans grand effort elle se laissa tomber  dans les bras de son père en pleurant.  Elle n'arrêtait pas pour autant de pleurer. Sa belle-mère venait  prendre la relève mais toujours rien puis ce fût Oumy qui entra en trombe dans la chambre. Elle se jeta dans les bras de son amie. Ensemble elles pleuraient la douleur de la perte. Ensemble leurs larmes les aveuglaient. Une entreprise atmosphérique était morose. Moussa était si touché mais ne pouvait rien laisser pour aller rejoindre sa meilleure amie. Il avait ressenti comme tous les autre fois qu'un danger les guetter. Combien de fois il avait essayé d'expliquer à Rama tout. Mais elle est si pure et innocente qu'elle ne doutait rien. La nouvelle a été annoncée par Oumy qui tout de suite hurlait de désespoir vite plus vite tout le personnel de l'entreprise accueillit la nouvelle. Chaque se précipitait pour aller à la maison éplorée. Mais Moussa conscient du travail qui les attendait. Convoqua une réunion en urgence.  -Bonjour suite à cette épreuve qui vient de s'abattre à Notre PDG, elle a besoin d'un soutien venant de nous tous. Pour cela je trouve nécessaire que chaque de nous se donne à fond et donne encore beaucoup plus à son travail pour que l'entreprise ne souffre pas de son absence. En groupe nous iront présenter nos condoléances. Pour enfin revenir et travailler jusqu'à son retour inchallah  Tout le monde trouva cette décision trop sage. Ils regagnaient leur poste, avec tristesse mais ils firent leur travail avec abnégation. Sauf Oumy qui ne pouvait pas rester encore une minute de plus loin de son amie. Perle rare NMFT
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