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WORRIOR (GUERRIÈRE)

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Esther est née dans une famille qui chauffe dans l'altercation ; après qu'elle est grandie, au lieu que la guerre s'épuise dans la génération parentale, elle doit faire face à celle-ci, et continuer le combat qu'avait laissé ses parents.

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PROLOGUE : L'APHASIE
«Si ce que tu as dit n'est pas plus beau que le silence, alors tais-toi» Tout a commencé bien avant sa naissance. Un jour, sa Tante Vodounmê ( Fon-gbe : dans le dieu ) a fait un saut dans sa maison maternelle pour aller voir son amant Daho ( Fon-gbe : le grand ) qui sera son grand père plus tard . Vous êtes étonnés ? Vous avez raison, je l'ai été aussi quand j'ai su l'histoire : Daho : Bonne arrivée ma chérie, comment a été la route ? Vodounmê : Pas facile, je te jure, surtout à partir du carrefour de Obanigbe où je dois marcher jusqu'ici, il faut surement que le gouvernement pense à nos voies, sinon, ce n'est pas la joie Daho : "Adejoke ! Adjoke ! Où est cette fille même" s'écrie-t-elle pour appeler sa jeune fille Adejoke : "Oh! Mon père, me voici" exclame-t-elle Daho : Tu es où depuis ? Tu n'as pas entendu que je t'appelle ? Adejoke : J'aidais la seconde maman à fait les boules d'Akassa qu'elle ira vendre au petit marché du soir; mais père je me suis levé au fur et à mesure que tu m'as appelé, toutes mes excuses si j'ai tardé Daho : Ok, il n'y a pas de soucis, va apporter de l'eau à ta tante Adejoke ( Yorouba : prenons soin de la couronne ) : "Bonjour et bonne arrivée Tant" en s'agenouillant devant sa tante après avoir remarqué sa présence Vodounmê : Merci bien ma petite princesse ; comment tu vas ? Adejoke : "Je vais très bien Tante" riposte-t-elle en étant toujours sur ses genoux Vodounmê : Ok, C'est bon ! Lève toi et va faire ce que ton père t'a demandé Adejoke : Ok Tante, tout de suite Daho : Bon ! Vodounmê, tu pars aujourd'hui ou bien tu vas jusqu'à demain ? Vodounmê : Toi même, tu sais que ça fait très longtemps que mon minou n'a plus eu la chance de manger ta banane, donc je suis là jusqu'au demain soir pour que tu me le manges très bien Daho : Ne t'inquiète pas, c'est aujourd'hui tu connaîtras ma force de frappe, je t'envoyerai saluer les dieux aux ciels Vodounmê : Ouah ! Ne panique surtout pas ! Je me suis complètement préparée pour toi aussi, je me suis payé une nouvelle perle jênana hier, parce-que je sais que tu adores ça Daho : C'est pourquoi je n'arrive pas à me détacher de toi, tu me sers de nouvelles sauces à chaque rencontre Adejoke : "Voici l'eau Tante" remet-elle la bolle contenant l'eau en faisant génuflexion Vodounmê : Merci ma fille Daho : Adjoke (l'abréviation de Adejoke, qui veut dire "prenons soin") Adejoke : Oui père Daho : "Va chez la vendeuse de nourriture du coin et paie, quatre amala, tu achètes deux gros poisson, deux ogoufé (le nom donné à la viande de mouton par les Yoroubas), et quatres kponmon (la peau de la vache), tu prends la sauce et puis tu les dis d'ajouter ogbono ( lire : orgbonnon ) Adejoke : Entendu père Vodounmê : Daho, j'aime beaucoup ta fille ci, je veux que tu le donnes en mariage à mon neveux, c'est un garçon très respectueux, brave et un vrai débrouillard Daho : "Tu ne peux demander quelque chose et ça sera en vain, fais ce que tu veux tu as mon ordre" dit-il souriant Vodounmê : Merci beaucoup Daho Daho ( sourire ) : Attends Vodounmê ! Tu es sérieux ? Je l'ai de jouer les comédiennes ? Daho : Ok, il n'y a pas de soucis, je vous attendrai pour les choses nécessaires. Entre temps, Adejoke avait ramené la nourriture que lui avait commandé son père ; après avoir bien mangé par la haut et rempli leur vendre; ils ont fini dans le lit pour manger aussi par le bas. QUELQUES MOIS PLUS TARD : Son père étant maître de chœur d'un groupe d'hommes qui jouait sur les lieux de célébrations, accompagné de sa Tante Vodounmê, il reste devant ses camarades pour venir dans sa future belle famille en chantant , en dansant puis en faisant des différentes types de parts de danses : Une des femmes de la maison est venu verser de l'eau sur la voie qu'ils passeront pour rentrer en criant : "mi ma wolẹ looo!" ( Fon-gbe : Bonne arrivée), cela est une tradition africaine qui va avec le dicton populaire africain qui dit "celui qui versera de l'eau par terre, passera sur un chemin frais. Ils ont continué les chants, les danses jusqu'au millieu de la maison où a été déjà dressé des chaises et tabourets pour les accueillir. Daho : Bonne arrivée mes gentes; votre maison est-il en paix ? Vodounmê : Nous rendons tous grâce aux dieux pour avoir vu aujourd'hui le soleil Daho : Je ne peux dire que je ne sais rien de votre présence, mais comme on dit chez nous "vinon noumẹ wẹ vi Non yon gbe de" ( Fon-gbe : c'est dans la bouche du concerné est doux ses paroles ), j'aimerais que vous dîtes à tout le monde vous mêmes le but de votre présence Vodounmê : Je salue toute l'ensemblée ! L'ensemblée : Oooooh ! Nous te saluons aussi Vodounmê : Si nous sommes ici aujourd'hui, c'est à cause de moi, et surtout de Adejoke la fille de Daho, j'ai vu cette fille née, et grandi sous mes yeux ; et à chaque fois je suis toujours tombé sur son charme et son style, j'ai donc dit à Daho que je veux que sa fille se marie avec mon neveu Ahouanjinou ( né dans la guerre ) que voici En attendant son nom, Ahouanjinou s'est levé et à entonner une chanson pour glorifier et magnifier Adejoke. Daho et d'autres personnes se sont levés et apprécié Ahouanjinou avec des billets de banque. Daho : Où est Adejoke ? Adejoke : "Me voici père" dit-elle en se présentant Daho : Ma fille, je t'avais déjà parlé de ses genres, ces sont les familles de ma mère, et ils sont pour toi; qu'en penses-tu ? Adejoke : "Père, je suis ta fille, et je sais que tu m'aimes bien, tu ne verras jamais le mal et me demander de m'y introduire, je me plierai à ta décision et ton choix" dit-elle avec génuflexion Vodounmê : Des ovations pour ma princesse s'il vous plaît Toute l'ensemblée s'exécute gaiement, puis Daho continue : Daho : "Merci beaucoup ma fille pour ton joli discours ; Iya adejoke ( la mère De Adejoke ) Et toi que penses-tu ? Dis aussi quelque chose, c'est ta fille aussi, je ne l'ai pas mis au monde tout seul Iya Adejoke : Mon mari Daho, j'accepte moi aussi ta décision là où va ma fille n'est plus étrange pour moi, je sais qu'elle sera bien entretenue une fois là-bas, donc si vous voulez aussi accord vous l'avez cent pour cent ( 100% ) Daho : Vodounmê, tu as déjà écouté ma fille puis sa mère, et tu connais toi même ma décision déjà , donc, c'est à vous de décider quand vous viendrez chercher normalement votre femme avec la dote bien sûre" dit-il souriant Le jour là, ça a été un jour de célébration dans toute la conception, les genres ont mangé et boire, on dirait c'est la doté même ils étaient venus faire. En outre, deux semaines, plus tard la famille de son père est revenue avec la dote et sont partis avec Adejoke. Celon leur tradition, la nuit de noce se passe dans une chambre où il y aura les tantes du mari et les femmes qui vivaient dans la maison du mari; le mari devrait avoir un tissu blanc sur lui pour essuyer le sang qui coulera si la femme est vierge dan le cas contraire, ça serait une honte pour la marié ; sa mère quant à elle à affranchir cette épreuve avec succès parce qu'elle ne connaissait encore aucun autre homme avant de devenir la femme de Ahouanjinou. Cela a obligé la famille du Ahouanjinou de retour dans de Adejoke pour aller payer l'argent de sa virginité; c'est quelque chose qui a été déjà notifié dans la prescription de la dote. Chez les Adjokes, ce sont les femmes de la maison du mari qui apporteront le tissu taché de sang jusque dans la famille de la mariée; celui-ci doit être accompagné de deux canards, deux poules un mouton , et une somme de cinquante mille naira. Les femmes qui y iront s'aligneront en dansantpour rentrer dans la maison de la mariée, même une fois dans la maison, elles continueront la danse, elle feront ainsi en faisant le tour de toute la conception familiale avec le tissu blanc en leur possession, leur dernier lieu sera devant la case de la mère de la mariée, elles étonneront ensuite la panégyrique de la mariée en se baissant devant sa main, c'est elle qui prendra ensuite tout ce qu'ils ont amené inclu le tissu blanc, elle le gardera cacher; parce que c'est la mère qui a éduqué la fille. Après que toutes ces rituels ont abouti, sa mère est devenue légalement marier. QUELQUES MOIS PLUS TARD : Ahouanjinou : Tu peux lever tes pieds ou bien de te porter ? Adejoke : "Je vais de marcher, ne t'inquiète pas" dit-elle avec force Ahouanjinou : "Sêgbegon!" s'écrie-t-il pour appeler son petit frère Sêgbegnon ( le dimanche est bon ) : "Oui, grand frère !" répondit-il en sortant de sa case Ahouanjinou : Apporte ton vélo; je pense que ma femme est à terme, je dois l'amener à l'hôpital Sêgbegnon : Tout de suite grand frère Sêgbegon apporte son vélo, il met Adejoke la dessus puis Ahouanjinou reste derrière eux pour les pousser et veiller à ce que sa femme ne tombe pas. Il a couru derrière eux sur une distance de plus de vingt-cinq kilomètres avant d'arriver à l'hôpital central du village d'alors, la seule et unique pour toute la communauté d'ailleurs. Arrivée dans l'hôpital, Adejoke a été prise en charge sur place; Sêgbegnon s'est retourné à la maison pour aller s'occuper de ses affaires parce qu'il un ticketier public dans le temps, donc il ne pourrait pas marquer d'absence sur le lieux de son travail. Cependant, de ça, de là, quelques minutes plus tard, sans aucune complication, Adejoke a donné naissance à une jolie fille grâce à la diligence et le professionnalisme de la seule Sage-femme du village du temps que les habitants du village appelait : Sê vê ( ce qui signifie femme aux teints claires en Fon-gbe ). Sê vê : Mr. Ahouanjinou, félicitations, votre femme vient de donner naissance à une jolie petite ange Ahouanjinou : Vous voulez dire une fille ? Sê vê : Oui Ahouanjinou : "Puis-je aller les voir ?" dit-il souriant Sê vê : Oui, si vous le voulez Ahouanjinou a entonné une chanson qu'il chante jusqu'à rentrer dans la salle d'accouchement où se repose Adejoke; en voyant son mari chantant et dansant avec tout son état de gaieté, elle commence par sourire, Ahouanjinou s'approche d'elle et la donne un bisous sur la joue Ahouanjinou : Merci beaucoup mon miel, ma reine, tu as fait de moi l'homme le plus heureux sur terre, que ferais-je pour te récompenser ? Adejoke : Tu es mon mari, et cette fille est notre fruit à nous deux, notre joie à nous deux, je ne te demande rien en retour, ta présence me suffit amplement Ahouanjinou : Quel nom penses tu la donner ? Adejoke : J'aurai aimé l'appeler Esther Ahouanjinou : Ouah ! La reine Esther de la Bible, j'ai bien aimé le nom là Adejoke : Et toi, tu n'avais aucun nom pour ton enfant ? Ahouanjinou : "Si" dit-il souriant Adejoke : "Bon sang, dis le !" dit-elle souriante aussi Ahouanjinou : Mojisola ( je me suis réveillée (née) dans la richesse ) Adejoke : Houn ! C'est très doux à entendre ! Ça sonne bien dans l'oreille. Bref, c'est ainsi qu'est née Esther Mojisola. MAIS, UN APRÈS-MIDI QUELQUE CHOSE S'EST PASSÉE : Ahouanjinou : "Qui cet imbécile qui coupe les branches de la cacaoyer" s'écrie-t-il depuis sa chambre Tante Vodounmê : C'est moi Ahouanjinou ! Ne pourrais tu pas sortir regarder la personne avant de commencer par bombarder les insultes ? Ahouanjinou : Je savais très bien que c'était toi puisque je t'avais déjà vu là une fois et je t'ai dit de ne plus jamais toucher cette cacaoyer là encore; ou bien l'ai-je pas fait ! Mais étant trop têtue, tu ne fais qu'à tête ! Tante Vodounmê : Ahouanjinou, c'est à moi tu parles comme ça ? Moi Vodounmê ? Ahouanjinou : Et si c'est toi Vodounmê ? De n'a qu'à me pendre ? Tant Vodounmê : Hein! Ahouanjinou ? Talo g*n iyọn fun ẹ, ti oni t'ọbẹ ṣòro ? ( Adage pour signifier : Qu'est-ce qui te donne autant de courage ) Ahouanjinou : "Je ne te demande pas discours ! Tout ce que je dis est que je veux plus encore jamais te voir ici toucher à ce cacaoyer !" dit-il tel un ordre Tante Vodounmê : "Ahouanjinou ? Ces propos venant de toi à moi ?" dit-elle en ricanant Ahouanjinou : Vodounmê ! Tu ne peux rien faire ! Cet arbre n'est pas l'héritage de ton père mais plutôt celui laisser par mon père, tu n'as donc aucun droit la dessus ! Tante Vodounmê ( souriante ) : Tu es sûre que si je charge un fusil, tu peux tirer ça ? Ahouanjinou : Je vais tirer et encore recharger puis retirer Tante Vodounmê ( toujours souriante ) : Tu es devenu complètement garçon hein; éhé ! Je vois tu es brave maintenant ? Ahouanjinou : Vodounmê, moi j'ai fini de dire pour moi; je ne veux juste plus jamais te voir ici Tante Vodounmê : "Adejoke ! Adejoke ! Adejoke !" s'écrie-t-elle trois fois de suite pour appeler la femme de Ahouanjinou, la mère de Esther Mojisola Adejoke : Oui tante ! Me voici ! Je vous demande pardon calmez vous et régler ça entre ! Vous êtes comment mère et enfant Tante Vodounmê : J'espère que tu as bien entendu toutes les racontas de ton mari ? Il a dit qu'est-ce que j'ai et que je ne peux rien lui faire ! Adejoke : Tante, calmez vous ! Tante Vodounmê : Adejoke ! Adejoke ! Adejoke ! Adejoke : Oui Tante ! Tante Vodounmê : Combien de foi je t'ai appelé Adejoke : C'est très fois Tante Ahouanjinou : Vodounmê, cesse de crier le nom de ma femme Tante Vodounmê : Sinon quoi ? Ahouanjinou : Je vais te montrer de quel bois je me chauffe Tante Vodounmê : Adejoke, grâce à qui tu es ici ? Adejoke : Tante, si un roi se rappelle des anciennes choses beaucoup de choses se détruiront, oublié le passé et continuons d'avancer, quand les êtres humains sont ensembles, il en aura toujours palabre. Et ce n'est pas avec un objet trachant nous allons couper ( régler ) ça mais plutôt avec la bouche ! Tante Vodounmê : Adejoke ! Ramasse tes affaires et quitte ici tout de suite Ahouanjinou : Tu te trompes madame, elle n'ira nul part, c'est plutôt toi qui videra les lieux, et non elle Tante Vodounmê : Adejoke, je t'ordonne tout de suite d'aller ramasser tes effets, ceux qui sont gros dedans et ceux petits, et quittes le toit de Ahouanjinou tout de suite Adejoke : Mais, Tante, je viens à peine d'enfanter, je ne peux quitter ! Vous voulez que je me débrouille comment avec un bébé d'à peine un mois et demi ? Tante Vodounmê : Adejoke ? Tu t'aimes ? Adejoke : Oui Tante Vodounmê : Et tu aimes aussi ton enfant ? Adejoke : Oui Tante Vodounmê : Écoute ce que je suis entrain de te dire, ramasse tes affaires et vide les lieux, c'est moi qui t'ai amené ici, si jamais quelque chose t'arrive, c'est à moi ton père va demander des comptes Ahouanjinou : Je t'avais déjà dit que tu te trompes de cible ; ma femme n'ira nul part, si toi tu as une hardiesse tellement excessive, rentre et fais sortir ses affaires Au lieu que l'altercation se diminue de densité, ça augmente, jusqu'à ce que Sêgbegnon revient du boulot Sêgbegnon : Grand frère, il y a quoi encore ? C'est depuis à mon poste là-bas que les gens m'informent que ma tante et mon grand frère se dispute ; c'est toujours à cause de cet arbre de cacao ? Ahouanjinou : Toi, tu ne sais rien; c'est comme ça tu seras entrain de faire jusqu'à ce que les gens de cette maison nous attacherons tous les biens de notre père; bête que tu sois ! Réveille toi ! Adejoke : Mon roi ! Ma couronne ! Mon dirigeant ! S'il te plaît calme-toi ! C'est ta mère ! Elle peut toucher à quelque qui t'appartient oui ! Ahouanjinou : Toi, laisse moi et mets toi de côté Tante Vodounmê ( souriante ) : Adejoke ? Tu ne veux pas écouter ce que je te dis ou bien ? Je ne peux pas te donner d'ordre ? Je ne peux pas te demander quelque chose et tu vas me l'accorder ? Adejoke : Tante, je ne peux pas aller contre votre décision; vous savez très bien que toute décision prise dans la colère n'a jamais été bonne ; calmez vous et on va régler tout dans l'amiable. C'est ainsi que l'après midi lâ a été le debut d'une guerre entre Ahouanjinou et sa tante Vodounmê. À suivre... Lisez et laissez s'il vous plaît votre opinion... Clarification ( PS ) : L’ogbono, du mot igbo pour désigner les fruits du genre Irvingia, est une soupe de la cuisine nigériane, issue de la cuisine traditionnelle des groupes igbo, dans le Sud-Est du pays. Les graines pilées des fruits sont utilisées comme épaississant et donnent à la soupe une couleur noire. La soupe contient également (outre de l'eau et de l'huile de palme) de la viande (bœuf, chèvre, poulet, viande de brousse), des crevettes ou écrevisses séchées et pilées, différents légumes-feuilles (bitterleaf, Celosia) et autres légumes (tomate, gombo), du piment, de l'oignon et de l’iru (néré fermenté). La soupe est généralement consommée avec du foufou de manioc ou d'igname (ou un mélange des deux), ou avec du riz. Des préparations pour ogbono sont disponibles dans de nombreux pays d'Afrique de l'Ouest et de la diaspora. La soupe à une texture mucilagineuse proche de celle de la soupe de gombo....

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