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Ma vie malgré moi

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Sara est une femme qui vit les réalités de la société camerounaise. Issue d’une relation extramarital elle connaît très tôt les aléas d’une vie sans confort. Sara vit dans une banlieue à douala capitale économique du Cameroun elle vient d’avoir 19 ans et elle vie déjà une réalité qui laisse à désirer.

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Chapitre 1
Je me suis réveillée ce matin comme tout les autres et je connaissais déjà quoi faire et surtout comment. Ma mère faisait des grillades pour nous aider survivre alors nous aidions du peu que nous pouvions. Je ne sais pas pourquoi j’avais toujours les plus horrible corvée. Il me faillait nettoyer le restaurant, vider les poubelles, et faire la vaisselle. C’était parfois énervant mais la vie n’était pas si mauvaise. Je me souviens que la plus part du temps on était heureux car ma mère trouvait toujours un moyen de nous égayer et malgré notre situation nous étions mieux que certain jeune de notre quartier. Comme tous les lundis je m’apprêtais pour aller à l’école j’étais en terminale. Je finis de faire mes taches quotidienne je prends l’argent chez ma mère et je me dirige au lycée. J’avais deux amies j’étais pas sociable mais j’étais studieuse. Lorsque que tu viens au monde avec plusieurs déficits tu dois combler avec des acquis. Je me suis jamais senti inférieur mais la vérité était là j’étais pas très belle et pour tout arranger j’étais grasse. Avec le temps j’ai appris à m’accepter mais les camarades du lycée ne me facilitaient pas la tâche. Je me rappelle un mardi nous faisions éducation physique et ma tenue c’est déchiré. Tout le monde s’est moqué de moi au point où je fuis ce cours pendant deux mois. La vie avait c’est haut et ses bas on faisait avec sans vraiment se plaindre mais comme tout chose à une fin un malheur est venu tout chambouler. Je me souviens encore de l’odeur de l’eau, parfois je me dis que je n’aurais jamais connu tellement de personnes mauvaise si j’avais grandi avec un père, peut-être si n’avais pas vécu ce malheur je serai jamais allée aussi loin au point de me perdre. Tout ce cauchemar a commencé en mars, les autorités nous ont adressé une lettre de déguerpissement nous avons eu recours à la justice pour défendre notre cause malgré le faite qu’il était clair que tout était en notre défaveur. Ma mère après des années à épargner à finalement réussi à construire notre maison et à peine avions nous aménagés on nous demandait de partir nous avons d’abord cru à une blague et ensuite nous nous sommes rendu compte de l’ampleur du problème. Vue que plusieurs maisons étaient ciblées nous avons économisé pour nous offrir les services d’un avocat. Les choses ont commencé à pencher en notre faveur le tribunal a décidé d’envoyer un huissier de justice pour évaluer la situation et un géomètre pour estimer les parcelles touchées. Nous avions foi en un possible gain de cause jusqu’à ce que le huit mars deux mille vingt pendant que nous étions endormi au environ de trois heures des gendarmes, des hommes armés et quatre bulldozers entre dans le quartier pour tout détruire. Je me souviens des cries de ma mère et de ma petite sœur qui imploraient pour qu’ils nous laissent ramasser au moins nos choses ( actes de naissance,diplôme,vêtements etc) j’ai pleuré pendant deux jours on n’avions nulle part où aller nous avions tout perdu. Pendant deux jours nous dormions au sol avec comme seul protection une veille bâche et un grand feu pour nous réchauffer . Nous n’avions rien à manger et nos vêtements étaient ensevelis sous les décombres. Ma mère était abattue j’ai vue ma mère inquiète comme jamais. Je priais pour que se soit qu’un rêve une mauvaise expérience. Plus les jours passèrent moins j’avais espoir en un miracle. Au bout du septième jour nous avons quitté les décombres pour nous installer chez un oncle. Arrivée chez mon oncle nous ( moi) particulièrement étais dépaysé j’avais l’impression que cet endroit ne me réservait rien de bon. J’ai tout d’abord commencé par trouver une distraction je courais très tôt et très tard pour me changer les idées. Mais l’atmosphère était toujours aussi pesant les problèmes s’accumulaient, les querelles et même de l’animosité entre nous. J’ai supporté pendant un mois et demi avant de trouver comme une bouée de sauvetage. J’étais allongée sur le lit les yeux rivés vers le plafond lorsque j’entendis mon téléphone sonner. - inconnu : allô oui c’est rose j’ai vue sur tes statut que tu cherche un emploi le snack où je travaille cherche actuellement des serveuses. - okay mais c’est où? Rose était une connaissance du quartier mais nous n’avions presque pas d’affinités et je craignais de me retrouver dans un milieu comme le snack pour travailler . Je suis resté silencieuse à réfléchir pendant un moment avant de me décider à accepter c’était ça où rester dans cet axiles et je n’en pouvais. Sans réellement dire à qui que ce soit je suis quitté de la maison je me suis rendu au snack pour parler avec les directeur il y’a n’avait deux. Tout c’est bien déroulé dans l’ensemble j’ai trouvé un endroit où squatter pour un moment. Les premièrs temps rien n’allait je n’arrivais pas à tenir le rythme de travail entre le sommeil les clients et les bagarres j’avais l’impression de m’être jeté dans l’enfer. Au bout d’un certain temps j’ai commencé à ma

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