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Mélodie du soir

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#prologue

Mélodie du soir

Écoute  ces faibles gémissements lorsque la nuit a fini d’étaler les nattes des  ténèbres…

Écoute cette voix lointaine qui chantonne ses maux lorsque la nuit ferme la parenthèse du jour.

Seule, isolée, peinée, chagrinée, elle chantait une mélodie qui faisait frissonner un malade.

Une mélodie qui réveillait l'empathie …

Une mélodie qui faisait roucouler, les pigeons

Une mélodie qui fit apparaître la lune dans sa  splendeur …

Une mélodie qui préfigurait un avenir tumultueux…

Une mélodie qui réveillait l'endormi

Une triste mélodie chantée par une belle voix

Écoute….

Cette mélopée !

Les pieds engourdis, le visage plein de larmes, le cœur en lambeaux, wourel  traînait les pieds, pour retrouver sa maman agonisante.

Elle pensait à ce qu'elle allait  dire à sa mère qui espérait tellement sortir du gouffre .Mais le destin semblait  ne pas vouloir que sa mère guérisse…

Elle, tout comme sa mère avait eu l'illusion qu'il les aiderait raison pour laquelle, Wourel l'avait appelé pour la première fois, il y a de cela un mois pour lui parler de la maladie de sa mère. Elle n'y croyait pas quand celui-ci lui demanda de venir avec sa mère à Dakar, capital du Sénégal...

Elles arrivèrent  un soir sur Dakar, fatiguées, affamées mais pleines d'espoir.

Gorel accueillit sa sœur et sa nièce dans l'une de ses maisons en construction qui se trouvait  à 20 minutes de chez lui ...

Aucune pièce n'avait de porte ni de fenêtres, tout était ouvert béat, une maison sans eau ni électricité...

Wourel s'étrangla lorsque son oncle lui affirma qu'elles allaient habiter dans cette maison en construction, en attendant qu'il leur trouve un appartement...

Elle lit dans le visage de sa mère, de la peine et de l'amertume.

Wourel pour donner du courage à sa mère sourit et remercia gracieusement son oncle …

Qui rapidement s'en alla en les laissant son adresse, car il, il était appelé par le  travail.

Assia regarda sa fille avec peine mais Wourel s'empressa de la serrer dans ses bras …

-Maman ne t'inquiètes pas, nous allons bientôt rentrer inchallah. Prions juste que tu te rétablisses rapidement…

-wouriyam, tu ne vois pas qu'il n'y a aucune sécurité ici, on peut nous tuer …

-S'il te plaît néné soit positive, attends, je vais aménager une chambre et tu verras .Viens couches toi ici dit-elle en étalant une natte dans la véranda…

Puis elle s'engagea à rassembler les pierres et la moitié des briques. Elle   Nivela le sol et finit par créer une plateforme conforme pour elles...

Elles n'avaient que leur deux petites nattes de prière, elle les étala côte à côte …, elle fit de l'un de ses pagnes un rideau pour la fenêtre et d'un drap pour la porte …

Elle récita les trois dernières sourates avant que sa mère ne vienne s'installer dans la chambre…

Et ce jour fut le début de leur calvaire. Wourel sentait le danger venir vers elles petit à petit.

Depuis ce jour elles n'avaient vu Gorel, il avait disparu, Wourel campagnarde, ne connaissant absolument rien de la ville, peinée à  retrouver la maison de son oncle…

Elle avait alors suggéré à sa mère qu'elles aillent à l'hôpital avec les maigres sommes qu'elles avaient en attendant de revoir son oncle …

Elle n'avait pu faire que quelques analyses et leur argent s'épuisa

Wourel se lança alors à la quête de son oncle une nouvelle fois.

Chaque jour elle sonnait chez lui mais ses sonneries restaient infructueuses...

Elle finissait toujours par s'en aller bredouille retrouver sa mère sur la natte se tordant de douleur.

Malgré tout elle ne perdait pas espoir car elle se disait que son oncle était parti peut-être en voyage

Mais aujourd'hui tout était clair, il ne voulait pas les aider. Elle a été humiliée dans la rue, devant les passants.

Elle pleurait des larmes de regrets, d'amertume, de malheur.

Elle regrettait d'avoir eu l'espoir qu'il allait les aider. Elle regrettait d'avoir cru à ses mensonges. Il les avait juste fait venir pour les humilier et voir sa mère périr.

S'il avait bien l'intention de les aider, il ne leur mettrait pas dans sa maison en construction. Alors que lui il vit dans la plus luxueuse villa de Dakar.

Elle ne comprenait pas ce qui se passait autour d'elle. Elle ne contrôlait plus rien même pas ses larmes et ce fusain de sentiments qui s'emparaient   de son cœur.

Elle releva le rideau de la chambre, sans porte ou sa mère était allongée gémissant de douleur. Son cœur se brisa en mille  morceaux encore une fois. Elle pleurait silencieuse pour ne pas que sa mère l’entende. Elle devait se battre pour elle ...

-Woury  tu l'as vu ? interrogea sa mère

-Maman, il n'est pas encore rentré de son voyage. Mentit-elle

Elle ne pouvait pas dire à sa mère l'humiliation qu'elle a reçu chez lui.

-Remettons nous à Allah, il est le meilleur sauveur.

Elle baissa le regard sur le corps de sa mère.

Lorsqu'elle vit ses pieds gonflés  prêts à éclater ses larmes jaillirent à nouveau …

Incapable de regarder sa mère souffrir, elle essuya ses larmes,

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#prologue Mélodie du soir Écoute ces faibles gémissements lorsque la nuit a fini d’étaler les nattes des ténèbres… Écoute cette voix lointaine qui chantonne ses maux lorsque la nuit ferme la parenthèse du jour. Seule, isolée, peinée, chagrinée, elle chantait une mélodie qui faisait frissonner un malade. Une mélodie qui réveillait l'empathie … Une mélodie qui faisait roucouler, les pigeons Une mélodie qui fit apparaître la lune dans sa splendeur … Une mélodie qui préfigurait un avenir tumultueux… Une mélodie qui réveillait l'endormi Une triste mélodie chantée par une belle voix Écoute…. Cette mélopée ! Les pieds engourdis, le visage plein de larmes, le cœur en lambeaux, wourel traînait les pieds, pour retrouver sa maman agonisante. Elle pensait à ce qu'elle allait dire à sa mère qui espérait tellement sortir du gouffre .Mais le destin semblait ne pas vouloir que sa mère guérisse… Elle, tout comme sa mère avait eu l'illusion qu'il les aiderait raison pour laquelle, Wourel l'avait appelé pour la première fois, il y a de cela un mois pour lui parler de la maladie de sa mère. Elle n'y croyait pas quand celui-ci lui demanda de venir avec sa mère à Dakar, capital du Sénégal... Elles arrivèrent un soir sur Dakar, fatiguées, affamées mais pleines d'espoir. Gorel accueillit sa sœur et sa nièce dans l'une de ses maisons en construction qui se trouvait à 20 minutes de chez lui ... Aucune pièce n'avait de porte ni de fenêtres, tout était ouvert béat, une maison sans eau ni électricité... Wourel s'étrangla lorsque son oncle lui affirma qu'elles allaient habiter dans cette maison en construction, en attendant qu'il leur trouve un appartement... Elle lit dans le visage de sa mère, de la peine et de l'amertume. Wourel pour donner du courage à sa mère sourit et remercia gracieusement son oncle … Qui rapidement s'en alla en les laissant son adresse, car il, il était appelé par le travail. Assia regarda sa fille avec peine mais Wourel s'empressa de la serrer dans ses bras … -Maman ne t'inquiètes pas, nous allons bientôt rentrer inchallah. Prions juste que tu te rétablisses rapidement… -wouriyam, tu ne vois pas qu'il n'y a aucune sécurité ici, on peut nous tuer … -S'il te plaît néné soit positive, attends, je vais aménager une chambre et tu verras .Viens couches toi ici dit-elle en étalant une natte dans la véranda… Puis elle s'engagea à rassembler les pierres et la moitié des briques. Elle Nivela le sol et finit par créer une plateforme conforme pour elles... Elles n'avaient que leur deux petites nattes de prière, elle les étala côte à côte …, elle fit de l'un de ses pagnes un rideau pour la fenêtre et d'un drap pour la porte … Elle récita les trois dernières sourates avant que sa mère ne vienne s'installer dans la chambre… Et ce jour fut le début de leur calvaire. Wourel sentait le danger venir vers elles petit à petit. Depuis ce jour elles n'avaient vu Gorel, il avait disparu, Wourel campagnarde, ne connaissant absolument rien de la ville, peinée à retrouver la maison de son oncle… Elle avait alors suggéré à sa mère qu'elles aillent à l'hôpital avec les maigres sommes qu'elles avaient en attendant de revoir son oncle … Elle n'avait pu faire que quelques analyses et leur argent s'épuisa Wourel se lança alors à la quête de son oncle une nouvelle fois. Chaque jour elle sonnait chez lui mais ses sonneries restaient infructueuses... Elle finissait toujours par s'en aller bredouille retrouver sa mère sur la natte se tordant de douleur. Malgré tout elle ne perdait pas espoir car elle se disait que son oncle était parti peut-être en voyage Mais aujourd'hui tout était clair, il ne voulait pas les aider. Elle a été humiliée dans la rue, devant les passants. Elle pleurait des larmes de regrets, d'amertume, de malheur. Elle regrettait d'avoir eu l'espoir qu'il allait les aider. Elle regrettait d'avoir cru à ses mensonges. Il les avait juste fait venir pour les humilier et voir sa mère périr. S'il avait bien l'intention de les aider, il ne leur mettrait pas dans sa maison en construction. Alors que lui il vit dans la plus luxueuse villa de Dakar. Elle ne comprenait pas ce qui se passait autour d'elle. Elle ne contrôlait plus rien même pas ses larmes et ce fusain de sentiments qui s'emparaient de son cœur. Elle releva le rideau de la chambre, sans porte ou sa mère était allongée gémissant de douleur. Son cœur se brisa en mille morceaux encore une fois. Elle pleurait silencieuse pour ne pas que sa mère l’entende. Elle devait se battre pour elle ... -Woury tu l'as vu ? interrogea sa mère -Maman, il n'est pas encore rentré de son voyage. Mentit-elle Elle ne pouvait pas dire à sa mère l'humiliation qu'elle a reçu chez lui. -Remettons nous à Allah, il est le meilleur sauveur. Elle baissa le regard sur le corps de sa mère. Lorsqu'elle vit ses pieds gonflés prêts à éclater ses larmes jaillirent à nouveau … Incapable de regarder sa mère souffrir, elle essuya ses larmes, sortit de la chambre pour réfléchir afin de trouver une solution … Quelques minutes après, elle revient auprès de sa mère. Elle lui donna les comprimés pour calmer sa douleur. -Maman tiens bon je te jure aujourd'hui je ne reviendrai pas sans de l'argent pour te sauver la vie. -Ma Fille, je compte sur toi. Mais ne fais pas quelque chose que tu vas regretter toute ta vie. Pour elle un regret ne serait plus grand que celui de laisser sa mère mourir alors qu'elle pouvait faire quelque chose. Elle se changea rapidement. Et sortit presque en courant. Wourel avait fait presque le tour du quartier, elle avait fait le ménage dans une maison, ainsi que la lessive. Ce qui lui rapportait un peu d'argent... Il faisait presque nuit quand elle termina le repassage des habits. Elle passa à la pharmacie acheter une partie de l’ordonnance, le reste de la monnaie elle s'en servi pour acheter de quoi manger. Malgré que la moitié de l’ordonnance ne fût pas encore acheté, elle avait espoir qu'elle y arrivera dans les prochains jours. Elle porta sa mère sur son dos pour l'emmener se soulager, ensuite elle l'aida à prier ... Elle lui fit manger et boire ses comprimés. Et enfin elle la coucha sur le vieux matelas. Il était 20h, les gémissements de sa mère se faisaient de plus en plus forts. Wourel était paniquée, elle ne savait plus quoi faire. Elle sortit encore en courant pour demander de l'aide chez son oncle ... Elle sonna cette fois ci c'était sa fille qui lui avait ouvert -Mais toi, on dirait que tu n'as pas de vergogne, pourquoi tu reviens encore et encore Wourel ... -Bassine, ma mère, elle est en train de mourir, je vous en supplie... Aidez-nous... Bassine claqua la porte. Les larmes venaient encore perlées les joues de wourel Cette fois ci, elle se promit de ne jamais revenir. ~~~ -Je vais mieux ma chérie. Calmes toi Dit sa mère Wourel ne pouvait même plus parler, elle hoquetait sans cesse. Elle se mit à masser les pieds de sa mère avec du beurre de karité. Cette dernière finit par s'endormir. Quant à elle, elle n'arrivait pas à trouver le sommeil. Elle ne pouvait plus compter combien de nuit blanche elle avait eu. Aujourd'hui, tous ses espoirs de ces derniers jours se sont écroulés. Elle pleurait amèrement, sans retenue. Songeant à toutes les choses qu'elle pouvait faire pour que sa mère puisse recouvrer la santé. Soudain Elle pensa à quelque chose. Mais était-ce une bonne idée ? -je vais le faire pour ma mère. Je ne regretterai jamais se disait-elle pour se convaincre. Elle retourna dans la chambre en amenant, la bouteille d'eau, et le pot de chambre près de sa mère. ********************************** Plus tard quand sa mère se fut endormie, elle détacha l'élastique qui retenait ses longs cheveux et les peignait soigneusement. Elle mit, le jupon qu'elle avait l'habitude de porter sous sa robe ainsi que son débardeur. Elle quitta la maison. Devant la porte, elle failli rebrousser chemin mais elle se reprit en pensant à sa maman. Elle arrêta un taxi, elle marchanda pendant longtemps car il ne lui restait pas beaucoup de monnaie. Elle finit par monter. Le Taxi s'arrêta devant un hôtel de la ville. Elle descendit le corps tremblant l'esprit en vogue. Malgré sa peur, elle était décidée. Elle resta debout sur la même place pendant longtemps avant qu'elle daigne faire un pas en avant puis elle se mit à regarder autour d'elle. Wourel aperçut une belle voiture se garait. Elle vit un homme descendre. Elle se dirigea vers lui. -Coucou dit-elle quand elle fut un peu proche de lui L'homme fit volteface .Il resta cinq bonne minutes sans voix à admirer cette beauté naturelle. Il n'en avait jamais connu, une fille sans maquillage qui brillait ainsi. Il fut envoûté par cette beauté. Il n'avait jamais autant regardé une fille ainsi mais aujourd'hui, c'était différent. Car cette fille même était différente. -Coucou, que puis-je faire pour vous. Elle resta silencieuse, elle ne savait pas quoi répondre. Elle se mit à jouer avec ses doigts. -waw timide en plus se dit-il dans sa tête. -Enfaite, monsieur.... Euh..... Je suis à la recherche..... *********************************** L'homme l'embrassait tendrement et passionnément. Elle ne savait pas comment s'y prendre, elle se laissait guider. Elle ne ressentait aucun plaisir, elle ne pensait qu’au mal être de sa mère. Lorsque l’homme voulut entrer en elle. Il se bloque.il refusa de croire à ce miracle, une prostituée vierge. Il a failli éclater de rire. Il força encore et encore mais elle était trop serrée... Il poussa brutalement, elle laissa échapper un cri de douleur .Ce qui confirma les doutes de l'homme ... Un tourbillon de pensée envahit son esprit. Il se retira et vit ses larmes qui coulaient abondamment Il se sentit faible et triste d'un coup sans savoir la raison lorsqu'il vit le drap taché de sang. Il se précipita à la prendre dans ses bras. Elle éclata en sanglots. Le chagrin refoulé depuis longtemps s'acharnait sur elle. Elle pleurait comme une petite fille… Il était impuissant devant les larmes de la jeune fille. Il ne savait non plus comment s’y prendre. -jeune fille, pourquoi ne pas m’avoir dit que tu étais vierge. Dit moi qui es-tu ? Elle se détacha de lui, essuya ses larmes avant de lui dire -Ce n'était pas important. Donnez-moi mon argent. Je dois y aller. Elle voulait se lever brusquement, mais la douleur entre ses jambes la fit vaciller .Il la capta de justesse. Il l'aida à rejoindre la salle de bain. Elle porta ses habilles qu'il lui avait passé par l'entrebâillement de la porte. Elle ressortit et le trouva adossé au mur, pensif. -Mon argent dit-elle -Avant je veux savoir qui tu es car tu mens quand tu dis que tu es une prostituée. -Ma vie ne te regarde nullement. Alors payes moi et dégages Dit-elle d'une voix qu'elle voulait amer. Il lui tendit l'enveloppe -tu peux compter, mais je voudrais bien que tu me donne ton numéro. -j'ai pas besoin de compter, pour mon numéro oublie. Elle s'en alla et le laisser très secoué... Malgré la douleur, wourel avait hâte de retrouver sa mère pour lui dire qu'elle allait pouvoir se soigner ... Elle n'imaginait pas ce qu'elle allait trouver dans cette chambre … Le corps sans vie de sa mère, Assia avait rendu l'âme quelques minutes avant son arrivée… La vie de wourel bascula depuis ce jour… *** Que s’est-il passé après la mort d’Assia ? Gorel et les autres frères d’Assia obligèrent Wourel à épouser un de ses cousins, un déficient mental et ivrogne. Elle retourna de ce fait au village et entama une nouvelle vie le cœur meurtri. Wourel était sans protection contre cet homme malade pourtant ils savaient la vérité et ils n'ignoraient non plus qu'elle était enceinte lorsqu'ils scellaient le mariage. Car après sa nuit à l'hôtel avec cet inconnu, Wourel était tombée enceinte … Chaque jour elle subissait, viol, violence physique et morale sans répit sans protection… Tous fermaient les yeux faisant comme si elle n’existait pas. Elle supportait car elle n'avait aucun refuge et même la somme exorbitante que cet homme lui avait offerte cette nuit avait été récupérée par son oncle …. Wourel accoucha une nuit d'une petite princesse dans sa chambre, ils n'avaient pas voulu l'amener à l'hôpital mais sa belle-mère avait appelé la vieille du village qui faisait accoucher les femmes… Entre douleur et chagrin l'enfant naquit... Elle fut baptisée Assia… Une semaine après son accouchement Assia décida de prendre sa vie et celle de sa fille en main. Elle attendit que son ivrogne de mari s’endorme elle lui prit l’argent qu’il cachait sous ses habits et s’enfui dans la nuit noire avec sa fille. Wourel atterrit de nouveau à Dakar mais cette fois avec une vision différente. Cette fois elle était décidée à être un fantôme pour sa famille. Le cœur noir de haine, et animée d'un désir de vengeance Wourel ne rêvait que de faire payer à sa famille tout le mal qu'elle avait subi ... Mais il lui fallait un plan invincible pour les détruire, et surtout protéger sa fille de ce mal prochain. Wourel prit une chambre dans une maison dont la propriétaire Fifi était d'une bonté extrême .Elle l'aida à trouver un travail comme femme de ménage afin de subvenir à ses besoins tout en lui surveillant sa fille … Chaque jour et chaque heure qui passait ne faisait qu'augmenter le désir de wourel de Détruire Gorel et sa famille ...ainsi donc Wourel s’était mise à épier son oncle et à mener des recherches sur lui quand le temps le lui permettait. Et Au printemps de ses recherches Wourel découvrit que son oncle était lié à une secte en plus d'être un dealer … -Oui je le savais je le savais … Ce répétait elle en serrant les dents Inconsciente du danger de se mêler des affaires d'une secte wourel fouillait et fouillait dans la vie de son oncle, jusqu’à ce qu'elle découvre que c'était lui-même qui avait sacrifié sa mère… Sa haine augmenta crescendo... Elle mijotait tout doucement ses plans qui mûrissaient mais le destin aussi avait coincé Gorel … Son sacrifice de l'année n'était encore pas fait, ayant sacrifié sa mère, son père et sa sœur. Cette fois la secte demandait sa fille … Il exécuta sa cadette de 12 ans, Dialika! La mort de la petite Dialika failli rendre folle sa femme et Gorel faisait comme si sa mort était naturelle mais Wourel savait tout … Wourel avait finalement tout pour foutre en l'air la vie de son oncle. Seulement Gorel était au courant que sa nièce se trouvait à Dakar et que celle-ci faisait des recherches sur lui. Il décida de la faire taire d'une manière la plus horrible… Sacrifié Bébé Assia Car il savait que cette fille était l'oxygène que Wourel respirait… Il en parla à la secte et décida d'amener la tête de la petite dans deux jours... Ils se retrouvèrent cette nuit dans le même hôpital, Assia gémissant dans les bras de sa mère et Gorel venu pour la tête de l'enfant … Une retrouvaille de choc qui bouleversa, des vies et un couple … Mélodie du soir… Vos avis

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