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POSSESSIONEM SUAM

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Satis pensait que tout aurait finit par changer un jour. Tout. Cependant, elle se rendait compte que l'avenir n'était pas du même avis. N'ayant jamais connu son père, elle vit avec sa génitrice, Visencha, une femme qui lui en fait voir de toutes les couleurs. Elle lui fait sans cesse remarquer sa maudite différence. Ses yeux verts. Cela aurait été plus facile si elle n'était pas noire de peau. Depuis sa naissance, elle maudit sa différence. Malheureuse Satis.

Puis, il fallut qu'un jour, Evann Dark, chef de la mafia latine la remarque. Elle était maigre, silencieuse, calme, mais il la trouvait tellement belle. Il sentait à des kilomètres qu'elle devait subir toutes sortes de maltraitances. Alors il l'a prise.

Elle se sentait alors de son côté comme un vulgaire objet. Elle se sentait chosifiée.

Elle pensait qu'elle n'avait pas besoin d'être enfermée. Elle pensait qu'elle avait juste besoin de liberté, de solitude. Elle ne se doutait en aucun cas devenir la possession d'Evann Dark. Oui. Elle est devenue « possessionem suam », « sa possession ».

Elle va ainsi apprendre la vérité sur sa vie, sur son père supposé mort, et sur ses présumés frères. Elle va notamment rencontrer les fameux Dark. Famille qui fait trembler plus d'une personne et découvrir le caractère possessif des hommes de cette famille. Peut être que ce n'est pas la liberté qui est le souverain bien comme elle pense, peut être qu'elle recherche finalement de l'amour. Peut-être qu'elle sera heureuse un jour.

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Partie 1
«Toi, tu es quelque chose de terriblement vrai, dans un monde terriblement faux. C'est pour ça que je pense que tu souffres vraiment. » Satis Je marche tête baissée dans la grande ruelle glauque qui s'étend à perte de vue. Je pleure toutes les larmes de mon cœur. Je pleure toutes les larmes de ma vie. J'ai tellement mal que je sens mes entrailles se déchirer et s'humidifier, comme pour me faciliter le fait de les vomir avec dégoût. Elles font malheureusement partie de moi. De mon être que je déteste. De ma vie que je réfute .. Je ne suis que l'ombre de l'invisible. Je n'existe pas. Je ne sers à rien. Je ne suis rien. J'ai essayé d'être à la découverte du monde, mais il n'a pas voulu de moi. J'ai voulu faire partie de ce monde qui me refoulait en essayant d'être comme les autres, de peur d'être moi-même. Je pensais que j'avais raison. Mais comme d'habitude, je ne l'avais pas. Est-ce que je me souviens de qui j'étais avant que le monde ne me dise qui je dois être? Oui. Je suis cet être minable qui n'a pas de raison d'être, parce que, être pour moi c'est juste paraître. La pluie mouille tous mes membres qui sont de plus en plus douloureux. Mes pieds saignent sur les dures pierres qui recouvrent la Terre. Linda m'a volé mes chaussures. Bon, d'après elle, elle m'a libéré d'un poids, parce que j'avais des chaussures immondes .. Seulement, le truc c'était que, c'était ma seule paire. De vieilles paires de basket usées par le temps, que j'ai vu brûler cet après-midi. Elle m'a ensuite humiliée publiquement et m'a balancé des paroles que je n'oublierai sans doute jamais. « Tes pieds sont tellement squelettiques qu'on ne les remarque même pas de toute façon. » Pour vous ce n'est peut-être rien, mais pour moi c'est beaucoup. Je viens d'arriver juste devant la porte de ma maison. Enfin, du lieu dans lequel je réside, vu qu'on m'a toujours fait comprendre que ce n'est pas chez moi. Je sonne à la porte, et avec toute la lenteur possible, mon «grand frère» Steven ouvre la porte. Il me regarde de la tête aux pieds et a un sourire satisfait. Steven: Alors, tu t'es encore laissée marcher sur les pieds, poussière? Pourquoi «Poussière»? Parce que c'est mon surnom. En fait, c'est toute identité monde. Je ne suis rien que poussière, et je retournerai poussière. Steven: Tu es toute trempée en plus. Je suppose que tu es de mauvaise humeur et c'est pour ça que tu ne me réponds pas. —Non, pas du tout grand frère, au fait- Steven: Pour la peine, tu vas escalader le mur à mains nues pour avoir accès à la maison. Il ne me laisse pas finir et ferme la porte avant de la réouvrir. Steven: Ah oui, inutile de te dire pieds nus, vu que c'est déjà fait. Il s'en va et verrouille la porte. Les larmes s'éparpillent sur mon visage et se jettent au sol comme le fleuve se jette dans la mer au niveau d'une embouchure. Il y a une ouverture, là, dans mon cœur, au fond de moi. Je garde mon sac, qui est très lourd, vu que le mur est très haut. La seule partie basse est recouverte en hauteur de débris de verre pouvant causer des dégâts inimaginables aux sombres curieux. De mes mains sanglantes j'escalade le mur avec difficulté. La faim me tiraille de partout, et mon corps est engloutis par des spasmes. J'escalade, encore et encore. Dans un mouvement brusque, lorsque j'escalade le mur en pierre, je me cogne la tête. Il faut avouer que ça fait très mal. A l'aide d'une force inimaginable, voire même surnaturelle, j'arrive à destination. Je mets mon pieds de l'autre côté du mur. Je me rends compte que ça va être difficile de redescendre. Je pleure, parce que c'est la seule choise que je sais faire. ??? : OH MAIS QUELLE IDIOTE! Je reconnais immédiatement la voix de Visencha, ma génitrice. Elle dit qu'elle n'est pas ma mère, et cette pensée m'attriste. Elle dit que je ne mérite pas mon prénom. Elle dit que je suis une souillonne. Elle a dit aussi que je suis une goutte d'eau inutile, qui va se faire brûler par le soleil trop grand pour moi. Je l'appelle «madame», parce qu'elle m'a demandé. Je lui obéit au doigt et à l'œil. J'ai acquis auprès de connaître la signification de mon prénom sans jamais réussir. Ils m'ont tellement menacée que je n'ai pas eu le courage de le demander, même dehors. Madame Visencha, comme-ci je n'avais pas assez froid et que je n'étais pas assez mouillée, me balance un sceau d'eau à la figure. Je hurle de stupeur, et, avec maladresse, mon postérieur glisse. Je suis dans le vide. C'était quelques secondes, mais ça m'a paru une éternité. J'offre ma jambe au sol, de peur de donner ma tête. J'entends un crac, qui m'arrache un cris. Ma cheville a pris le coup de grâce. Steven: Relève-toi, poussière. Je ne réponds pas, et me relève. Je peine malheureusement à marcher. Ils me regardent avec satisfaction. Je baisse les yeux. Ils m'ont plusieurs fois interdit de les regarder, parce que je suis un monstre. Je suis noire, et malheureuse que je suis, triste Satis, malchanceuse, j'ai les yeux d'un vert foncé. Je les maudis. Je maudis ma vie. Je maudis mes yeux. Je maudis ma différence. Je maudis ma laideur. Je suis un être vraiment immonde. Contrairement aux filles de mon entourage, je n'ai ni la capacité, ni le pouvoir de me venter de mes attributs physiques. Que dire de plus? Mes cheveux sont coupés à ras et témoignent d'une magnifique laideur. Il y a de cela deux jours que je n'ai pas mangé. Venez demander à la peau sur mes os, elle vous le confirmera. Mon frère me regarde avec dégoût et me crache aux pieds. Ma génitrice me montre la bassine qui est au fond du jardin. Je comprends et je me dirige vers celle-ci. Je dois prendre ma douche dans le jardin. Je n'ai pas accès à la douche, et je me lave avec l'eau froide. Je dépose mon sac dans l'immense salon et me dirige vers le bassin. J'enlève mon haut déchiré et tout mouillé, bien trop gros pour moi. J'enlève mon collant, tout aussi déchiré. Je me retire mon caleçon. Je me lave avec mes propres vêtements au fait. Je n'ai pas d'éponge. J'ai deux hauts en tout, et l'autre haut est à sécher. Je nettoie mes blessures, rapidement. Je n'ai que 10 minutes pour prendre ma douche. J'attends de sécher dans un coin du jardin, et je vais faire à manger pour eux alors que mon estomac gargouille. Vivre dans une grande maison inachevée n'était pas très facile.

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