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Aduna : les péripéties de la vie

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Aduna est une histoire fictive basée au Sénégal. Elle relate l'histoire de 4 filles : Aïcha Diouf, Mame Binta Ndour, Léna Jeanne Gueye et Souadou Barry qui ont chacune leur propre combat.

Aïcha Diouf : troublée par la mort de ses parents, décide de se réfugier dans la d****e jusqu'à ce qu'un évènement traumatisant lui donne le courage de reprendre sa vie en main.

Mame Binta Ndour : après un évènement tragique qui va bouleverser le cours de sa vie, Mame Binta doit apprendre à reconstruire sa vie et tout recommencer à zéro.

Léna Jeanne Gueye doit combattre pour être avec son âme sœur sachant que le père de ce dernier refuse que leur union soit scellée. Elle doit aussi faire face au retour de ses parents qui l'ont « abandonné à un très jeunes âges »

Souadou Barry qui a longtemps eu des problèmes financiers s'est retrouvée dans une situation inconfortable avec un jeune qui est aujourd'hui de retour et cherche à se venger. Alors qu'elle pensait être au fond du gouffre une lueur d'espoir fait apparition : un cadeau empoisonné.

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Chapitre 00
Prologue Aïcha Diouf Je me rappelle encore, comme si c’était hier, le jour où je suis rentrée chez ma tante Khoudia, la sœur de ma mère pour y vivre définitivement. J’avais 10 ans quand ils sont morts, d’un accident de voiture. Tuer par une personne qui n’en a pas subis les conséquences. Conséquence que moi je subis, que je ressens tous les jours. Jours et nuit que j’ai passé à pleurer. Je maudis cette personne qui m’a volé l’amour d’une mère et la protection d’un père. Je maudis cette personne qui m’a rendu orpheline. Je maudis cette personne sans pouvoir mettre un visage sur elle. Alors pour oublier cette peine, pour oublier cette haine qui me hante : je bois, je me d****e pour oublier. Je me rappelle comme si c’était hier, les regards que les gens me lancer. Les « Ndeysanne que j’entendais ». Mais je rappel de toute cette douleur, mais je ne me rappelle même plus de leur visage. Aujourd’hui j’ai 24 ans étudiante en pharmacie. Je vis encore avec ma tante qui essaie depuis le premier jour de me rendre heureuse. De me faire oublier la peine de perdre ces parents. Qui a fait tout son possible pour que j’ai une enfance heureuse. C’est à la mort de mes parents que j’ai perdus ma conscience et j’ai pris ce style de vie. Aujourd’hui c’est à la mort de mon meilleur ami que j’ai décidé de reprendre ma vie en main. Mame Binta Ndour On a souvent peur, peur de mourir ou de vivre. Peu de faire blesser ou d’être blesser. Il y a temps de chose effrayante dans ce monde, qui nous freine, qui nous démotive. Moi j’ai peur, peur de perdre les entrés qui me sont chères, ma famille, mes amis, mon mari. J’ai peur de perdre cet homme que j’appelle l’amour de ma vie, peur de devoir rebâtir toute une vie. Tout recommencer à zéro. Il y a 3 ans de cela, je me suis marié à un homme : Birame un militaire. Je savais qu’en m’engageant dans cette relation, je risquais de perdre l’homme de ma vie, cette personne que j’aime plus que tout mon âme. Pourtant, il a su me convaincre autrement, il a su me montrer qu’il savait prendre soins de lui. Que je n’avais pas à avoir peur de le perdre. On avait ce petit rituel qu’on faisait avant son départ. Avant qu’il ne s’en aille, on a discuté de tout ce qu’on allait faire à son retour. Comme si on planifie notre vie en avance, comme pour savoir la certitude de son retour. Puis il me disait cette phrase « Je ne rentre peut-être pas tous les jours, mais je rentrerais toujours. J’étais si confiante en ces mots je ne pouvais pas m’imaginer qu’elle pourrait être fausse, que le destin pourrait en décider autrement. J’y croyais dur comme fer. Comme si c’était des paroles qu'Allah lui-même avait murmurées dans ses oreilles. Je m’appelle Mame Binta Ndour et comme tout être humain, j'ai peur, d’avoir mal, de perdre un être qui m’est cher, de devoir tout recommencer. Pourtant, je ne pensais pas qu’un jour, j'aurais à vivre ma plus grande peur…. Léna Jeanne Gueye On dit que l’amour peu tout surmonter, toute les obstacles, pardonner les erreurs et oublier les douleurs. Que si on aime on peut passer outre les défauts et les trahissions. Mais que faire si l’obstacle à l’amour c’est les parents ? Ces mêmes personnes qui nous ont donner la vie, qui ont pris soin de nous, qui nous protège. Que faire si l’obstacle à l’amour c’est ceux qui t’on donner la vie ? Comment se marié sans la bénédiction de nos parents ? Comment pourrais on avoir un mariage heureux sans leur accord ? Le mariage n’est -il pas supposé être un moment de joie qui réunit deux familles pour n’en faire qu’une ? Le mariage n’est -il pas l’union de deux personnes qui s’aime ? Alors pourquoi s’opposer à une si merveilleuse chose ? A vrai dire, je n’ai pas réponse à cette question. Comment sceller cette union que nos familles refusent d’accepter. A ce moment doit on se demander si l’amour en vaut la peine ? La famille n’est-elle pas plus importante ? Les liens du sang seront toujours plus fort peu importe la situation. Pourtant ce propre sang peut-être la source de tous nos malheurs. Notre propre sang peu nos abandonner, nous trahir, nous haïr et vouloir notre malheur. Mais dans ce cas là…qui choisir ? Mon nom est Léna Jeanne Gueye aujourd’hui je mené un combat entre amour et famille. Une guerre qui ne cesse me déchirer de plus en plus tous les jours. Souadou Barry On nait tous différents, avec des réalités différentes. Chaque jour que Dieu fait on fait des choix, que l’on peut regretter ou entièrement assumer. Des choix pour notre survie, des choix pour rendre les gens qu’on aime heureux, des choix pour rentre nos parents fiers. Au cours de ma vie j’ai souffert, j’ai eu des moments durs. La vie m’a mis des bâtons dans les roue. J’ai fait des choix, j’ai commis des erreurs. Souvent je me remonte le morale en disant que je n’avais pas le choix : mais on a tout le temps le choix. Mon nom est Souadou Barry, je vis maintenant depuis quelque année à Dakar avec ma sœur. Lorsque l’on est arrivé ici, on n’avait pas grande chose. Ma sœur était à l’université et moi à l’école. On louer une petite chambre à Grand Dakar ou on a vécu pendant presque 4 ans. J’ai eu à faire des choix dont je ne suis pas fier pour aider ma sœur, comme moi, elle étudier et n’avais pas le temps de trouver un emploi pour satisfaire nos besoins. De mon côté je chercher aussi un boulot mais rien : jusqu’à ce que je rencontre un jeune homme qui a su m’aider à gagner de l’argent. De l’argent sale mais quand même de l’argent. Pendant deux ans j’ai travaillé pour lui, j’ai faite des choses dont je ne suis pas fier. Lorsque ma sœur a fini ces études et que l’on avait une situation stable j’ai voulu arrêter ce travail mais lui n’était pas du même avis : alors je l’ai trahi. Aujourd’hui les erreurs et action que j’ai eu à commettre me revienne en pleine face. Cette homme que j’ai balancer sans scrupule pour me sortir de ces griffes est revenu dans ma vie dans le seul but de me faire souffrir. Lorsque j’étais plus bas que terre, j’ai cru voir la lumière au fond du tunnel. Je pensais que mes souffrances étaient terminées, un cadeau du ciel : mais il s’agissait d’un cadeau empoisonner.

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