Jacques me soutient en enserrant ma taille. Il arrêta le b****r quelques secondes, le temps de m'ordonner d'ouvrir la bouche, ce que je fis comme un pantin bien obéissant. Cette fois-ci, nos dents s'entrechoquent et je l'entends grogner de contentement lorsque je m'agrippe au col de sa chemise. Je serre fortement le tissu entre mes mains, je le froisse. Ma langue accueille timidement la sienne et il voit ça commence un accord de ma part. Jacques en profite pour approfondir le b****r qu'il guide et domine. Je ferme les yeux et me laisse faire. Il a un goût mentholé mêlé à celui du vin qui me donne un délicieux vertige. Sans que je ne sache comment, je suis soudainement portée. Mes jambes enserre instinctivement sa taille et sa langue étouffe mon petit cri d'étonnement. Je le sens faire quelque pas sur le côté puis mon dos heurte le mur le plus proche. Pourquoi est-ce si bon de se laisser aller dans ses bras ? Quelques secondes plus tard, je ne tarde pas à sentir son érection pile contre mon entrejambe. Ses mains vont et viennent sur la peau nue de mes cuisses dénudées par la remontée de ma jupe. Il mime un mouvement d'acte sexuel qui m'envoie des décharges. Instantanément, mon intimité qui commençait à ruisseler se contracte délicieusement.
— Monsieur, l'imploré-je en réussissant à m'arracher à ses lèvres par je ne sais quel miracle.
Il n'a pas le droit de me faire ça.
Plus fougueux que jamais, il se met à étendre ses baisers dans mon cou, me laissant des marques rouges et violacées. Ma peau aussi blanc que de la craie marque vite et ces suçons ne partiront pas de si tôt. Il remonte le visage vers moi puis me relâche d'une main. Mes pieds retouchent le sol mais je ne suis pas au bout de mes peines comme je le pensais. En effet, je croyais qu'il allait me laisser tranquille mais il ne m'avait lâchée que pour mieux faire ce qu'il avait en tête. Une de ses mains me maintient solidement en place en enserrant ma taille. L'autre se glisse habilement sous ma jupe et frôle mon entrejambe protégé par une culotte. Sa paume se mettent à frotter mon sexe entier avec une paresse calculée. Avec son pouce, il appuie sur mon bouton de chair devenu hypersensible. Mes lèvres se mettent à trembler et je manque de m'écrouler sous l'intensité du plaisir. Ça faisait si longtemps qu'on ne m'avait pas caressée de la sorte et il a fallu que ce soit mon patron qui me fasse redécouvrir ces sensations. Sans crier gare, il écarte la culotte et plonge deux doigts dans mon intimité ruisselant. Je lâche un halètement sonore et m'accroche à ses épaules solides. Ils étaient si longs et gros que j'avais l'impression d'avoir un sexe en moi. Jacques les fait aller et venir très lentement tout en me jaugeant du regard. Il a l'air fier de me voir si pantelante et offerte. Mes gémissements désordonnés nourrissent son désir de me posséder bestialement.
– Touche-moi Margaux, grogna-t-il avant de mordre ma lèvre inférieure.
Je comprends ce qu'il veut et timidement ma main se pose sur son sexe gonflé et énorme malgré la barrière du tissu. Sa respiration devient sifflante alors que je lui donne du plaisir. Je n'ai jamais vu ses yeux de nature si clair et envoûtant prendre cette teinte de saphir.
De sa main libre, il fait sauter les boutons de me chemisier blanc. Ma poitrine généreuse et soutenue par un soutien-gorge noir lui est alors révélée. Ce qu'il voit semble lui plaire car il me dit :
– Ça fait une éternité que je fantasme sur tes seins.
– Qu-quoi ?!
Aussitôt il dégage mes deux seins opulents en les faisant sortir de leur prison. Mes tétons roses pointent comme jamais. Je n'ai pas le temps d'avoir honte d'être ainsi dévêtue devant lui qu'il se met à lécher une pointe dressée. Il mord et s**e mes mamelons à tour de rôle tout en activant ses doigts en moi. Je sers les cuisses contre ses doigts mais ça ne le freine pas. La jouissance me fauche sans que je ne la vois venir. Il me laisse venir sans pour autant arrêter de me m*******r. Si pouce titillant mon c******s rend l'o*****e divinement interminable. Je n'ai jamais joui avec tant de puissance, mes jambes ne me portent presque plus, ma vue de trouble, mes tempes bourdonnent et mon front est en sueur. Il retire finalement ses doigts et je me sens aussitôt cruellement vide. Mes yeux s'écarquillent en le voyant porter ses doigts recouverte de mon suc à sa bouche. Il les s**e avec une lueur perverse au fond des prunelles. Mon goût lui plaît.
— J'ai envie de toi, avoua-t-il en retirant l'élastique qui maintenait mes cheveux roux en place.
Mes mèches tombent en cascade sur mes épaules et je frissonne en les sentant frôler ma peau.
— Tu vas me laisser te faire du bien n'est-ce-pas ? poursuivit-il avec une tendresse teintée de luxure.
J'essaie de protester faiblement mais suis loin d'être convaincante. Il n'en tient pas compte et m'allonge à même le sol. Instinctivement j'écarte les jambes pour l'accueillir. D'un geste brusque, il déchire ma fine culotte puis balance le lambeau au loin. Il s'allonge sur moi et se met à défaire sa ceinture. Son désir est palpable et écrasant. Il extirpe son membre épais de sa prison et la présente à l'entrée de ma fleur. Impatient, il pousse lentement son g***d dans mon fourreau resserré par plusieurs mois d'abstinence. En plus de mon étroitesse qui l'empêche d'évoluer rapidement je suis crispée et il le remarque.
— Ne sois pas crispée, laisse-moi te faire l'amour.
— Je-
Il me coupa par un b****r sensuel. Sa paume enveloppa un sein frémissant.
— Jacques ! couiné-je en le sentant titiller mon c******s.
— C'est ça ma belle, ouvre-toi pour moi.
Ses mots ont l'effet escompté. Mon intimité laisse peu à peu passer sa virilité imposante. Je grimace de douleur n'étant pas habituée à de telles dimensions. Pour forcer le passage et atteindre son but plus rapidement, il poussa subitement, me déchirant presque. Je me mord fortement la langue pour m'empêcher de crier. Malgré la douleur, je ne peux m'empêcher d'éprouver du plaisir d'être remplie.
— Bordel, tu es si serrée qu'on te croirait pucelle.
— Je te rassure, tu n'es pas le premier.
— Ça ne me pas dérangé que ce soit le cas. Mais ne t'inquiètes pas, je compte bien effacer les traces laissées par tes précédents amants. Je vais te montrer ce qu'est une vraie étreinte.
Sans préambule, il se met à me donner de puissants coups de reins. Ses yeux se posent sur mes gros seins bougeant au gré de nos mouvements. Il grogne de contentement et penche la tête pour happer un mamelon. Ma tête de reverse en arrière alors que je bouge le lascivement le bassin pour aller à l'encontre de ses coups. Je ne me préoccupe même pas de mon dos qui ne cesse de frotter le dur parquet. Il me martèle rudement mais c'est si bon que pour rien au monde je ne lui aurait demandé d'arrêter. J'aime la façon dont il tire sur mes cheveux tout en m'embrassant avec possessivité. J'aime la manière dont il me murmure des mots crus à l'oreille. J'ai l'impression que ma mouille abonde et coule sur le parquet boisé. Je pousse un gémissement de détresse lorsqu'il se retire.
— Je n'en ai pas fini avec toi ma belle.
Il me demande de me mettre à quatre pattes. Une fois fait, il remonte la jupe sur mes jambes pour avoir accès à mes fesses pâles. Je jette un coup d'œil en arrière pour lui demander ce qu'il attend pour me b****r plus profondément mais sa langue m'arrête en se mettant à fouiller mon intimité. Elle se fait audacieuse en plongeant au cœur de ma féminité. Il entreprend de s***r goulûment mon c******s déjà prêt à exploser. C'est jouissif mais je veux le sentir en moi, je veux qu'il éteigne le feu qui embrase mes entrailles.
– Jacques s'il-te-plaît, b***e-moi. Pourquoi tu t'arrête ?!
Je sens ce s******d sourire contre mon sexe. Il embrasse mes fesses puis picore ma colonne vertébrale de baisers. Lorsqu'il arrive à ma nuque révélée par mes cheveux pendant sur le côté, son membre replonge en moi en me poignardant comme une épée. Il bouge trop lentement à mon goût, il me frustre intentionnellement en évoluant avec la lenteur d'un escargot. J'essaie d'avoir ce que je veux en m'empalant toute seule sur sa longue et volumineuse tige mais il maintient solidement mes hanches en place. Je hurle son prénom et j'entends souvent rire alors qu'il lèche ma nuque. Il rendresse le haut de son corps sans quitter mon entre brûlant.
— Que veux-tu bébé ?
— Toi.
— Mais encore ?
— Fais-moi jouir.
Je ne me reconnais plus, je suis désormais si dévergondée, rien à voir avec la petite secrétaire d'il y a quelques minutes. À présent je me fais prendre par mon patron dans son appartement, le suppliant de me posséder avec violence. Je suis devenue son amante, l'esclave de ses désirs.
— Vas-y, fit-il d'une voix assombrie de perversion et en ôtant ses mains de mes hanches. Prends ce que tu veux.
Je me met aussitôt à bouger les fesses d'avant en arrière au rythme que je veux, il me laisse me servir de lui comme s'il est un jouet coquin. J'entends de temps à autres ses soupirs de plaisir et il ne se prive pas pour de claquer les fesses de temps à autres, chose qu'on ne m'avait jamais faite auparavant. Forcément cela a le don de me faire rougir en même temps que je hurle de bonheur. Au bout de quelques minutes je me fatigue et il décide de prendre de relais. Il cesse de jouer et me culbute intrépidement. Son g***d bute en moi à une vitesse vertigineuse et j'ai l'impression d'être fendue en deux. Heureusement qu'il vit seul sur cet étage car mes cris auraient trahi nos ébats bestiaux. Une deuxième vague de jouissance commençait à poindre et il le sent. Il se penche vers mon oreille sans cesser de me marteler. Je suis aux anges. Il me force à tourner la tête vers lui et m'embrasse goulûment tout en empoignant mes seins. Nos peaux claquent l'une contre l'autre, le bruit de sa ceinture partiellement défaite ajoute un piquant à la chose. Il se détache de mes lippes rougies par ses morsures et le jade de mes yeux croise son saphir étincelant de passion.
— Je te sens venir bébé. Tu vas jouir pour moi hein ?
— Oui.
Je suis devenue son jouet obéissant. Il ordonne, je m'exécute. Jacques nous redressa de sorte à ce que nos bustes soient un peu à la verticale mais avec mon cul bien cambré contre son bas-ventre pour recevoir ses puissants coups de reins. Je passe la main dans ses cheveux blonds alors qu'il me murmure des paroles à l'oreille. Il empoigne fermement ma poitrine et pince mes tétons rendus douloureux par l'excitation.
— C'est ça, donne-moi tout. Tu aimes quand je te b***e n'est-ce-pas ?
Un "oui" couiné fut tout ce que je pus dire avant d'être fauchée par un second o*****e plus dévastateur que le premier. Je sanglote, gémis, chiale, hurle son prénom et l'implore en prononçant des paroles incompréhensibles à mes propres oreilles. Jacques qui me maintient solidement dos contre sa poitrine jure à plusieurs reprises sans cesser de me besogner avec hardiesse. Il finit par jouir en moi et je sens de longs et puissants jets brûlants fouetter mon intimité. Nous nous écroulons au sol avec des respirations saccadées. Pour ne pas m'écraser, il m'allonge sur le dos et me surplombe avec un petit espace entre nous. Son sexe toujours planté en moi n'a pas vraiment débandé. Il embrasse amoureusement le milieu de ma poitrine et remonte jusqu'à mes lèvres en passant par mon cou et ma mâchoire. Je le laisse dévorer ma bouche et l'embrasse comme si ma vie en dépendait. Il vient de me faire sentir femme à nouveau. Pourquoi a-t-il fallu que Jacques Cartier soit mon patron ? Pourquoi a-t-il fallu que cette passion soit prohibée ? Soudain je prends conscience de l'énorme bourde que je viens de faire.
Je viens de m'envoyer en l'air avec mon boss.