Orlovsky Tome 3

Certaine personne on une vie plutôt dramatique, tellement que certaines en finissent, si j'étais comme ces personnes, je pense que je serais morte depuis longtemps. Personne n'a vécu autant de chose dans sa vie, personne n'a autant souffert que moi. J'ai été emmener de force en Russie pour payer des dettes qui n'existaient pas et appris que cet homme pour qui j'avais des sentiments est celui qui a tuer ma mère. Je lui ai pardonner parce que je l'aimais vraiment. J'étais capable de pardonner beaucoup de chose à cet homme, il m'a sauver la vie quand j'étais au plus bas, il m'a aider à reprendre confiance en moi. Alors pourquoi je ne lui ai rien dis de ce qu'un membre de sa famille m'a fait ? Son cousin, la personne a qui il tiens m'a v****r. Comment j'aurai pu le regarder dans les yeux ? Je n'arrivais pas moi même à me regarder dans les yeux, j'ai éviter mon propre reflet pendant six mois puis un an est passé et c'est comme si de rien n'était. Je vie une vie normal loin de la mafia, loin de tout ces choses qui m'empêchais d'être moi même...Ou si on préfère, j'ai fuis. Je descends de l'escabeau et pose la palette de couleur et mes pinceaux pour regarder ce que j'ai peint. Beaucoup de chose on changer. En plus d'avoir fuis Matvey, je me suis installer en Amérique à Miami, j'ai organisé plusieurs vernissage et signer avec une agence. J'essuie mes mains avec un torchons, la porte derrière moi s'ouvre, je me tourne pour trouver le vigile de la salle de vernissage devant moi. "- Ah. Je croyais que vous étiez parti. - Je vais m'en aller." Je retire mon tablier, je l'entends s'approcher, je me retourne et lui fait signe de s'arrêter. "- Pouvez vous rester où vous êtes ?" Lui demandé-je gentiment. Il s'arrête et s'excuse. Ça aussi a changer, je ne supporte pas qu'un homme soit à moins de un mètre de moi. C'est comme si que mon corps crier à l'agression, mais ce genre de chose n'arrive que la nuit. Le jour, je suis capable de serrer la main et de discuter avec un homme comme si de rien étais mais la nuit, je me sens en danger. Je prends mes affaires et sors en passant loin du vigile. En arrivant à l'extérieur, je range ma veste, le vent souffle sur moi, je tremble légèrement et me rends à ma voiture. Je n'ai pas dit à mon père ou je vivais et je lui ai renvoyé rien dit sur mon agression, je ne sais pas pourquoi mais j'ai tellement honte. Moi la femme qui aime montrer mon caractère à réussi à se faire v****r. D'autre dirons que ce n'est pas ma faute mais celle de ce type mais...Moi...Je suis sûre que c'est la miennes. Je savais qu'il me détestait, je savais que je ne pouvais pas lui faire confiance et donc OUI. C'est de ma faute. J'arrive chez moi, je balance mes clés dans le bol à l'entrée, j'enlève mes chaussures et retire ma veste. Je ma rends dans la cuisine, je sors un verre, j'ouvre une bouteille de vin rouge et verse à l'intérieur de mon verre jusqu'à ce qu'il soit rempli. Je pose la bouteille et bois une grande gorgée. Je me sers à nouveau, puis me rends dans le salon, j'allume la télé et m'installe sur le grand canapé en cuir blanc qui se tient devant. Je regarde la télé à travers le verre de vin. Avant, je buvais jusqu'à évanouissement pour éviter de pensée à ce soir là, mais...Maintenant, j'ai appris à ralentir, je ne vois qu'un verre. p****n à qui j'essaie de mentir ? Je prends le verre et jette le contenu dans l'évier de la cuisine, je prends la bouteille et le verse aussi dans l'envier puis je jette la bouteille dans la poubelle. Je tourne les talons vers la salle de bain... "- Parlons de Matvey Orlovsky..." Matvey ? Je tourne la tête vers la télé, l'écran montre Matvey qui sort du tribunal "- C'est la cinquième fois que cet homme échappe à la prison..." déclare la journaliste. Il a encore échapper à la prison ? Qu'est-ce qu'il a encore fait ? J'ai l'impression qu' chaque fois que j'allume cette télé Matvey échappe à la prison, je me rends dans la salle de bain pour prendre une douche. Il y a une attitude que je n'ai jamais cesser en un an, c'est de me frotter pendant des heures sous la douche et lorsque je ressors...Je me regarde dans le miroir le corps rouge à cause du grattage que je fais à chaque douche, j'ai encore l'impression de sentir les main de cette enflure sur moi. J'enfile des vêtements confortable et me rends dans mon lit, je fixe le plafond sans jamais trouver le sommeil, je tire le tiroir et attrape un flacon de cachet, je l'ouvre et en versé un dans ma main que j'avale avec le verre d'eau sur la table de nuit puis m'endors après quelque seconde. Je fais toujours ce même cauchemar, cet homme sur moi à gemir comme un sale porc. Je me redresse rapidement et regarde l'heure qui est marquer 3 heures du matin. Je n'ai pas eu une seule fois un sommeil parfait...Je me réveille toujours avec ce rêve vraiment dégueulasse. Je me laisse tomber en arrière sur le lit et fixe le plafond. Je me tourne face à l'horloge, je me lève, j'enfile une tenue de sport et me mets à courir dans la ville jusqu'à 5 heures du matin. Je retourne chez moi me douche, j'enfile un chemisiers, une jupe longue jusqu'au genoux, j'enfile des talons, j'attrape mon petit sac et me rends dans la salle où dois avoir lieux mon prochain vernissage. Je pousse la porte, et regarde mon agent qui donne des consignes, elle pose les yeux que moi et s'approche le sourire au lèvres, elle ouvre grand ses bras. "- Print !" m'appelle-t-elle. Mon nom d'artiste est 'Print', je ne sais pas où m'est venu cette idée mais c'est ce que j'ai trouver pour empêcher qui que ce soit à me trouver sans que je sois prête. Je souligne que personne ne m'a vu en vrai ou en photo sauf les client VIP qui m'achete des tableau d'une grand fortune. Je regarde les tableaux. Mon agent alias Dalhia se place à côté de moi. "- Ton vernissage sera prêt pour le grand jour. - C'est cool. - Oh non. Print !" Je la regarde. "- Tu as encore à peine dormi ? - Je fais encore des cauchemars. - Tu devrais aller voir ce médecin que je t'ai recommander. - Je suis déjà aller la voir." Je remarque les ouvriers femme qui mettent en place les tableau contre les murs. Je m'arrête devant un que je ne souhaite pas vendre, c'est mon plus beau chef d'œuvre. Impossible pour moi de m'en séparer. "- Tu sais combien de proposition que tu as eu pour cette peinture ? - Je sais...Cette peinture n'est pas à vendre. - Tu rates des millions avec cette œuvre. Tu gâche ton talent." Elle tourne son écran sans ma direction, je sursaute en voyant les montant qui sont proposer mais ce qui me choc le plus c'est qu'elle l'est mit la alors que je lui avait dit que je ne comptais pas vendre cette peinture. "- Dalhia, pourquoi tu as mis le tableau en vente ? - Ce qui t'inquiète c'est ça ? Et le montant ? - Peu importe le montant proposer cette peinture n'est pas à vendre !" Cette peinture compte énormément pour moi, la pièce maîtresse de mon vernissage, Zelenyy, la panthère qui m'a sauver la vie, j'ai tellement exprimer d'émotion dans le regarde de Zelenyy dans cette peinture que beaucoup souhaite l'acheter. "- Print, tu te rends compte des millions que tu perds ? - Je m'en vais d'autre avec ceux que je gagne. - Avec ces montant tu pourrais partir en retraite. - C'est insultant." Elle colle le téléphone devant mes yeux. "-Sérieusement Print, Regarde ! Des millions." Je lève les yeux au ciel en croisant mes bras sous ma poitrine. "- Tu devrais mettre une pancarte qui annonce qu'elle n'est pas à vendre. Je n'aurai pas envie de me répéter au vernissage." Je tourne les talons et regarde les autres tableau. Je regarde la table qui se fait installer au fond de la salle, je la pointe du doigt. "- C'est là que vont être les boissons ? - Oui, comme demander que du champagne." Je hoche la tête pour acquiescer le travail de mon agent. "- C'est le dernier vernissage et je n'en ferais plus avant un moment." Elle reste bouche bée devant ce que je viens de dire, elle éteint son téléphone et me fait face. "- Excuse moi, j'au sûrement mal entendu Print. Je te signal que ton contrat avec mon agence dure trois ans si jamais tu devais rompre le contrat tu... - Combien ? - Ou est passer la femme qui voulait absolument ce faire de l'argent. - Je suis toujours là mais..." Je n'arrive plus à peindre c'est comme si que la flamme c'est encore éteinte, je ne sais pas pourquoi mais j'avais tellement à exprimer maintenant que j'ai tout fais sortir plus rien ne me viens à l'esprit. La toile que je peins ne me donne même pas envie de la finir... "- Tu es vraiment étrange Print." Je le sais parfaitement. Son téléphone se met à sonner, elle s'excuse et s'éloigne le téléphone à l'oreille. Je soupire et fixe les tableaux. Encore un vernissage pour vendre les tableaux d'une sommes monstrueuse, j'ouvre l'appli de mon compte en banque sur mon téléphone. Dalhia revient le sourire jusqu'au oreille. "- Devine quoi ! - Quoi ? - L'acheteur régulier de tes peintures, va être présent ce soir." L'acheteur régulier ? Il y a un acheteur qui prends les peinture les plus chère et les acheter à un prix plus élever. Il achetait en ligne donc on a jamais vu qui cela pourrait être. Et ça ne me dérangerait pas plus j'aimais qu'une personne aimait mes peinture, cela me donnait du réconfort. Dalhia pose ses mains sur mes épaules et commence à me secouer. "- Tu as intérêt de faire bonne impression." Je retire ses mains de mon épaule. "- Pourquoi faire ? Il acheter juste des tableaux, je ne suis pas là pour plaire à qui que ce soit. - Que tu peux avoir mauvais caractère, tu as de la chance d'être douée." Je me demande ce que ça veut dire, peu importe. Je continue de regarder les employés qui termine de mettre les peintures. Je regarde les invitations sur la table, j'attrape une enveloppe. "- Attends...C'est quoi ça Dalhia ?" Elle s'approche et me prend les invitations. "- Tu as signé un contrat qui me laisse faire ce que je veux... - Qu'est-ce que ça veut dire ? demandée-je confuse. - Que tu vas terminer la soirée avec ceux que j'ai invité ce soir après le vernissage, tu pourrais trouver un sponsors... - Hors de question ! la coupée-je en fronçant des sourcils. - Print ! Tu ne m'as pas donner un seule tableau depuis six mois, on est là à vendres ceux que tu n'as pas vendu dans les anciens vernissage." Je pouffe de rire. "- Donc parce que je n'ai pas donner de peinture depuis six mois, je dois avoir un sponsors ? - C'est mon conseil, si tu ne veux pas être reconnu comme une artiste de passage. Avoir un sponsors est la meilleure des choses pour toi. Tant que tu es dans notre agence tu devras faire ce que nous te disons et tu iras à cette soirée." Elle tourne les talons me laissant la, je bats des cils plusieurs minutes et jette toute les invitations au sol, les petites cartes dorées dépassent des enveloppes. Une employés s'apprête a le ramasser. "- Laissez-les par terres." Jamais je prendrai un sponsors ! Je ne suis pas à ce point fragile en tant qu'artiste...Putain ne me dite pas que je suis devenu une personne qui a absolument besoin d'être pour se faire connaître. Je souffle, me baisse et ramasse les enveloppe, j'ouvre l'une d'elle et vois le nom d'un certain Monsieur 'Z', je tourne la carte pour regarde s'il y a un indice sur la personne mais un simple 'Z'. Je me rappelle du pseudo de la personne qui acheter mes peinture anonyment, cette personne qui me donnait de la joie quand je voyais ces messages pour mes peintures. Je vais vraiment le ou la rencontrer ce soir. J'irai à cette soirée que pour trouver cette personne, la remercier...Et je partirai.