Chapitre 8

2271 Words
Bianchi bathily Ma mère veut toujours remettre le couvercle. Je me suis dit je ne devais pas parler comme ça avec elle donc je suis retourné là-bas et j'ai continué le thé. Maman discutait avec Mously et c'est comme si elles se sont toujours connues. Dans la soirée je les ai emmené au resto et ensuite une petite balade " en famille " comme avait souligné ma mère. Une fois revenu j'ai prié puis je me suis mis à lire le Coran. c'est la seule chose qui pouvait m'apaiser quand j'ai des pensées noires dirigées vers mon père et sa famille parfaite. Ma mère ne peut pas comprendre que j'appelle pas mes frères car cette vie qu'ils ont, était censé être notre vie à ma mère et moi. Jamais je ne pardonnerai cet homme qui m'a donné la vie et que jamais je n'ai considéré comme mon père. Tu vole ta femme tu en épouses une autre tu forme ta famille puis tu reviens pour vouloir recoller les morceaux. Ces genres de choses n'arrivent que dans les novelas ou dans les sciences fictions. Après deux sourates j'ai quitté mon bureau pour aller me coucher. Dès que j'ai ouvert la porte je suis tombé sur Mously qui dansait devant le miroir. Quand elle m'a vu elle s'est assise sur le lit. - bianchi quand on entre on fait un toc toc. - c'est ma chambre je te signale. - si tu veux aussi je peux aller me coucher dehors. - j'ai pas dit ça. - c'est ça ton problème tu dis jamais rien. - Mously il fait tard au lit. J'ai pris mon jogging et je suis entré dans la salle de bain pour me changer. Cette nuit j'allais même pas prendre le risque de me coucher sur le canapé. - hey tu fais quoi ici ? Demande Mously quand je me suis mis au lit. - tu vois pas? Ou tu veux que je te fasse un dessin. - ha-ha hana dedet kay. ( non j'y crois pas). - quoi ? - rien bonne nuit RK Mously Mously cette fille elle est unique. À ses débuts dans l'entreprise je l'appelais gueule d'ange, mais elle ne l'entendait pas de ma bouche bien sûr. C'était une fille qui n'avait peur de rien. Le genre qui dit tout ce qui lui traverse l'esprit. Mais elle a bon cœur et très sociale c'est pourquoi je l'ai choisi. Elle n'a pas sa langue dans sa poche et me dit des choses que même ami la personne avec qui j'étais plus proche n'osait pas me dire. Je n'ai pas vraiment réussi à dormir et Mously ne m'y aidait pas vraiment. Elle me lançait tantôt son bras, tantôt une de ses jambes. À la fin je l'ai réveillé. - Mously, Mously. - hun - Mously ?? - oui - range tes béquilles je veux dormir moi. - désolé mon amour. - hein ? Mously, Mously. Elle s'est rendormi juste comme ça ? Je crois que Dieu nous a pas donné les mêmes facultés. À mon réveil maman et Mously étaient dans la cuisine comme deux meilleures amies. - hum ça sent bon d suis sûr que c'est ma maman qui cuisine. - ho non, dit maman, c'est ta femme. Moi je l'aide juste. - hum bon moi j'attends le petit déjeuner. - c'est déjà prêt.... Dis Mously en se retournant et me lança un sourire comme elle savait si bien faire c'est à dire, espiègle. Je me suis mis à table en attendant qu'elles apportent le petit déjeuner qui je dois avouer était vraiment bon. - Bill viens la viens... Il a passé en frôlant la poltronne. - ami à appelé elle viendra avec Badara ils vont passer la journée ici....dit ma mère. - j'y vais donc je vais aller au marché....dit Mously en se levant Elle est montée et je me suis retrouve seul avec ma mère qui me regardait bizarrement. - quoi ? - tu attends quoi pour te changer et accompagner ta femme. - Maman depuis quand les hommes accompagnent les femmes au marché? - si tu ne peux pas lui acheter une voiture kay. - elle sait pas conduire. - c'est pour cela qu'il existe les auto-écoles. Mously est redescendue en portant un ensemble wax. Elle cachait la vue avec ses formes d'en bas qui était vraiment en forme. OK j'ai rien dit. - j'y vais. - attend je t'accompagne - nan ce n'est pas efficace de faire les courses au marché avec une voiture. Je vais prendre un taxi. Maman me lança encore ce regard. - tu as bien vu c'est elle qui a dit qu'elle peut y aller seule. - et tu n'as pas insisté. Décidément vous ne savez pas comment faire plaisir à une femme. Ce sont les détails dont tu ne fais pas attention qui rendent une femme encore plus amoureuse. Les petits déjeuners au lit, les mots doux, les cadeaux à l'improviste pas besoin d'occasions. En revenant du bureau tu passe devant une bijouterie tu vois un collier ou une bague tu l'achète pour la faire plaisir. Parfois tu achète des chocolats ou autres choses je ne sais pas. Avec une femme il faut toujours avoir l'esprit créatif. Ouais peut-être que les conseils vont me servir mais quand je serai vraiment amoureux. - d'accord maman. - sache que tu as une femme superbe adorable Alors arrête d'être idiot. - suis pas idiot maman. - tu es idiot et c*n. - hum je vais me fâcher maman. - tu ne peux pas. - et tu en profite. - garde en tête ce que je t'ai dit. - d'accord maman. - maintenant débarrasse la table. Ma mère on dirait une version de Mously plus âgée. Elles sont pareilles les deux là. J'avais pas le choix donc je l'ai fait puis je suis parti me changer. Badara et ami sont venus vers 11h. Ce couple toujours amoureux comme depuis leur début. Mously Aïdara Premier jour de cours. J'étais pas stressé non ce qui me m'étais en rogne c'était plutôt cette jupe courte qui mettait en évidence mes fesses. J'étais devant la route depuis un moment et pas l'ombre d'un taxi sauf les pervers avec leur voiture de luxe. J'étais parti avant bianchi car je voulais pas être en retard mais voilà je risque de l'être. J'étais sur mon téléphone pour regarder l'heure quand j'ai entendu des klaxons. J'ai levé la tête et je vois bianchi. - toujours pas de taxi? - non - viens je ferais un détour pour te déposer. J'ai pas attendu que l'on me le dise deux fois, je suis tout de suite montée. - ton uniforme te vas bien. - arrête je suis à l'étroit dans ce jupe. - hum. - hum quoi ? - rien. Voilà lui aussi. Son hum était du genre pervers. A l'école je me suis vite intégré. Je suis du genre qui parle à tout ce qui bouge. Je suis descendu à 13h. Quand j'ai ouvert la porte c'est Bill qui m'a accueilli. Cette bête je pourrais jamais m'y faire. - hey me touche pas salle bête chip. - Mously?depuis quand tu parle avec les chiens' tu sais qu'il ne comprend pas ce que tu dis. - pourtant bianchi lui parle et il exécute tout ce que celui-ci dit. Dit lui de ne pas m'approcher. - Bill au repos. Owkei le chien il écoute tout le monde sauf moi. - mais il vous écoute. - c'est trop facile. Et les cours? - c'était cool. Et j'ai cour à 16h. - repose toi je prépare le déjeuner. - mais je peux le faire maman. - hors de question vas-y. J'ai longuement insisté mais elle a dit niet. J'ai regagné la chambre j'ai enlevé la jupe pour enfin respirer et le lit m'a bien accueilli. Quand le sommeil était juste neh on me réveille. - quoi? Et puis bianchi tu fais quoi ici a cette heure? - ma mère m'a appelé pour venir déjeuner. - depuis quand tu reviens ici pour manger ? - depuis que ma mère cuisine. Et lève toi on t'attend. J'ai fait un tour dans la salle de bain pour laver mon visage. Il était juste 14h 05 min donc j'avais le temps. - tu me dépose après bianchi ? - quoi ? Prends un taxi j'ai beaucoup de boulot. - bathily sempera s'il te plait mon amour. il faillit avaler de travers la nourriture. - quoi ? Et en plus c'est pas comme ça qu'on dit. - dépose là ta femme passe avant ton travail. Ha-ha sa mère wallah je l'aime. - tu n'as pas intérêts à me retarder. Pfff c'est ça oui. J'ai pris mon temps lek bâ sour puis je suis allée prendre un bain. De retour dans la chambre je porte mes sous-vêtements puis je jette la serviette pour mettre du crème sur ma peau. Bianchi entra sans même frapper et automatiquement il se tourne de l'autre côté. - couvre toi ish. - fallait frapper. - je parts dans 15 min et si tu viens pas je parts. Il ressortit sans même se retourner. Je l'ai retrouvé dehors déjà dans la voiture et tapait sur le volant. On dirait qu'il était énervé. - mon amour tu es fâché ? - me provoque pas. Té gno nopi. Je me suis tu jusqu'au moment de descendre. - à ce soir.. Lui dis-je sans attendre qu'il me réponde. J'étais en avance donc je me suis assise sur un banc. Deux minutes après une fille m'a rejoint on était dans la même classe et elle s'appelait Ngoné. Elle je crois qu'elle était comme moi car même pas 5 minutes on c'est raconté beaucoup de choses puis d'autres nous ont rejoint. La plupart ne se connaissait pas vraiment donc comme vous me connaissez j'ai proposé qu'on aille dans la classe et que chacun se présente et on fait comme ça. Wallah c'était drôle d'entendre un gars dire qu'il s'appelle " Lucien ndeki " sécurité pour nous way. Après ce jour chacun de nous quand il entrait dans la classe disait un assalamou alleykoum cela me rappelait le lycée Malick Sy. Tata Michelle a rallongé son séjour à mon plus grand amour. J'adorais la voir à la maison. Elle pouvait canaliser mon prétendu mari. C'était Samedi j'avais cour à 11h. Tata était sortie. Il y avait que bianchi à la maison et bien-sûr fallait pas compter sur lui pour me déposer. - j'y vais bianchi. - travaille bien. Késsé? Pas de attend je te dépose ? J'ai traîné un peu les pieds mais nada. Quand j'ai ouvert la porte je tombe sur une femme qui était sur le point de sonner. - heu bonjour. - bonjour mon amour est là ? - mon amour ? Y'a qu'un mon amour ici et c'est moi, à part Bill bien-sûr. Elle me regarda de haut en bas du genre pour me minimiser. - vous êtes la bonne? - vous pouvez pas lire ou vous êtes aveugles ? J'habite ici. - bianchi est-il là ? - ha voilà lui il est mon amour à moi. Il est à l'intérieur. Je me suis mise de côté pour lui permettre d'entrer. J'aurai aimé rester pour écouter mais je risquais d'être en retard. J'ai facilement trouvé un taxi. À 13h j'étais déjà en route pour rentrer. Devant la maison j'ai trouvé une voiture. Une superbe voiture qui à l'air neuve. Peut-être de la visite. J'ouvre la porte et je vois la femme à qui j'avais ouverts la porte ce matin. - salut vous êtes toujours là? - apparemment. Owkei. Je passe dans la cuisine et le repas était en cuisson. En haut j'entends des voix celles de bianchi et de sa mère. - tu ne respecte pas vraiment ta femme bianchi emmenait ton ex dans le domicile conjugal... Dit sa mère - tu veux peut-être que je la vire. J'y peux rien. - toi bianchi depuis quand une situation te dépasse? Puis ils ont commencé à b****r la voix. Je me suis dirigé vers la chambre pour me changer et je suis redescendu. Elle était toujours là l'ex de bianchi parait-il. J'ai pris place auprès d'elle prête pour les investigations. - alors vous vous appelez comment ? - Coumba. - ha j'ai entendu dire que la mère d'ibliss s'appelait Coumba. - quoi ? J'ai pas compris. Meuno comp. - vous êtes une nièce de bianchi? - non je suis son épouse. - épouse ? Dans votre tête hana gamine. - mon amour tu es rentré ? Il m'a fallu 5 secondes pour réagir. C'est bianchi d. Je me suis retourné et je vois sa mère. Je me suis levé pour aller vers elle et on s'est dirigé vers la cuisine. Quand je suis revenue la femme était déjà partie. - où se trouve ton invité ? - rentré. - heure bi pourquoi tu lui as pas demandé de rester pour le déjeuner ? - tu parle trop. - wa à qui appartient la voiture dehors. - à ma belle fille chérie.... dit Tata - quoi? Moi non tu badine n'est-ce-pas ? - non c'est pour toi. - mais je ne sais pas conduire et c'est trop - rien n'est trop pour celle qui rend mon fils heureux considère la comme le cadeau de votre mariage. - voici les clefs, me tendit bianchi, bonne chance en tout cas je ne vais jamais monter dans ta voiture je tiens à ma vie moi. La dame elle vient d'acheter une voiture pour moi ? Et si elle apprenait que tout ceci n'était qu'une mise en scène j'espère qu'elle n'allait pas nous en vouloir.
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