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L'autre homme

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Je me tiens au pas de la porte. Il est sous la douche, la tête sous l'eau, les mains accotées sur le mur. Il ne m'a pas encore vu. J'en profite pour l'observer un instant. Les gouttelettes d'eau dessinent son corps parfaitement sculpté au couteau. Et ses fesses... il se tourne vers moi et me sourit. Un sourire charmeur, invitant, qui me fait fondre immédiatement. Je ne peux m'empêcher de lui sourire à mon tour. Il glisse doucement la porte de la douche en verre et sort la tête.

- Est-ce que tu viens me rejoindre?

Je hoche la tête en avançant d'un pas. Je détache ma robe et la fait glisser le long de mes jambes jusqu'à ce qu'elle ne devienne qu'un amas de tissus sur le sol de marbre. Il m'observe tranquillement, son regard illuminé d'une étincelle de désir. Je descends mon string qui rejoint ma robe et croise les bras, gênée par ma nudité. Il me sourit doucement en me dévorant du regard.

- Tu es magnifique, encore plus que dans mon souvenir.

Je lui fais un petit sourire timide avant de m'approcher tranquillement de la douche. Mes pas sont légers et confiants, mais mon cœur bat à tout rompre dans ma poitrine. Il se pousse pour me laisser entrer et je pose un pied dans la douche. Je le regarde un instant hésitante. Il est si beau. Lui, l'autre homme…

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La chemise orange et jaune
- Tony, est-ce que tu descends mon amour ? Pas de réponse. Évidemment. Je monte une marche que mes escarpins cognent doucement. Le bruit est étouffé par le tapis qui recouvre les marches de l'étage supérieur. - Tony! On va être en retard chez les Parker ! Un soupir me parvient de l'étage, puis le bruit d'une chaise qui frotte sur le plancher en bois du bureau. Des pas las résonnent, puis la tête de mon mari apparaît dans l'embrasure de la porte. Ses cheveux sont légèrement en bataille, ce qui me fait sourciller. Il sort du bureau et referme la porte derrière lui. Il descend les marches tranquillement, tandis que je vais me regarder une dernière fois dans le miroir. Un mauvais pli au bas de ma robe me fait grimacer. Et que dire de ces boucles brunes qui semblent ne pas vouloir coopérer aujourd'hui. Je prends une pince et attache une partie de mes cheveux sur le dessus de la tête. Beaucoup mieux. Mon mari arrive à ma hauteur et m'embrasse dans le cou. - Tu es superbe Hannah. Comme toujours. Je lui souris avant de le regarder de la tête au pied. - Et toi, tu ne t'es pas changé on dirait. Il se regarde en haussant un sourcil. Puis hausse les épaules. - C'est un barbecue entre amis, pas un gala de charité. - Tony... - Très bien, répond-il en levant les mains, résigné. Laisse-moi une minute, je vais me changer. J'acquiesce et il monte les marches quatre à quatre tandis que je bas impatiemment du pied. Je regarde mon cellulaire. Merde, on va être en retard. Je range mon cellulaire dans ma sacoche en cuir que je place ensuite sur mon épaule. - Ne prend pas ta chemise à carreaux oranges et jaunes, le mari d'Isa a la même, ce serait gênant que vous soyez habillés pareils. Il sort de la chambre en se mordant les lèvres, la chemise orange et jaune sur le dos. Je lève les bras dans les airs, découragée. Il sourit de son sourire le plus charmeur. - C'est quoi les chances qu'on porte la même ce soir ? Je lève les yeux au ciel en riant. Pour une fois, il n'a pas tort. *** Du moins, c'est ce que je croyais. Tony me jette un regard à la fois amusé et apeuré en voyant Isabel et son mari arriver… avec exactement la même chemise sur le dos. Je lui fais les yeux noirs tandis que le couple se précipite vers nous. - Hannah! - Isa! Isa me prend dans ses bras en me regardant de bas en haut. - Tu es resplendissante ce soir Hannah ! Bonjour Tony ! Elle se tourne pour lui faire la bise, tandis que son mari se penche vers moi pour m'embrasser également. Puis les deux hommes se regarde. - Et ben dis donc, est-ce que je verrais double ce soir Tony ? - Pas encore Fred, mais j'ai apporté un cognac de 10 ans, alors ça devrait pas trop tarder ! Les deux hommes se dirigent en rigolant vers la terrasse, bras dessus bras dessous comme deux frères. Je suis seule avec Isabelle. Je la regarde un instant. Sa robe semble légèrement trop grande pour elle. Ses beaux yeux bruns sont cernés. Elle pousse un soupir en me voyant la scruter comme ça. - Les enfants, ça te viderait même de ton âme des fois, dit-elle en riant. Je lui souris, mais une boule s'est formée au fond de ma gorge. Depuis près d'un an, Tony et moi essayons d'avoir un enfant, mais sans succès. Et malgré plusieurs consultations chez différents spécialistes, notre problème reste inconnu. Mais ça, personne n'est au courant. Je ne fais que sourire lorsqu'on nous demande à quand les enfants. Et malheureusement, cette question revient de plus en plus puisque Tony approche les 30 ans. Une main se pose sur mon épaule ce qui me sort de mes pensées. - Hannah! Tu as une mine splendide! - Merci Mei, tu es superbe aussi ! - J'ai plutôt l'air d'une baleine avec cette énorme bedaine de 8 mois. Encore une fois, un sourire faux s’affiche sur mes lèvres. Isabel s'approche de Mei et commence à lui vanter les joies de la maternité tout en lui flattant la bedaine. Moi, je les laisse, c'en est trop pour moi, et me dirige vers la terrasse où avait disparu mon mari quelques minutes auparavant. Il est accoté sur le mur de la maison, un verre à la main, à discuter avec son jumeau de chemise. Il me jette un bref regard qui s'attarde sur moi lorsqu'il remarque mes yeux tristes. Je lui fais signe que tout va bien et me dirige vers le petit bar pour prendre un verre de vin. Je prends une gorgée, probablement plus grosse que ce qui est acceptable en public. - HANNAAAAH!!! Je me retourne en reconnaissant la voix criarde qui m'a interpellée. Jolene court vers moi, les bras dans les airs, une bouteille à la main et les talons aiguilles qui s'enfoncent un peu trop dans le gazon. Pourquoi utiliser le sentier de pierres quand on peut traverser directement sur le gazon et semer des fleurs en même temps ? J'affiche un faux sourire en levant le nez intérieurement. Jolene était ma meilleure amie au secondaire. Blonde, yeux bleus, fêtarde. Tout ce que je n'étais pas. Tout ce que je ne suis pas. Plus jeune, son tempérament extraverti/exhibitionniste me faisait rire. Maintenant, la mi-vingtaine passée, ce comportement m'exaspère plus qu'autre chose. Mais étant ma plus vieille amie, je la garde près de moi malgré tout, espérant qu'un jour, elle rattrape son retard de maturité pour arriver à mon niveau. Ce qui n'est clairement pas le cas ce soir. Elle saute dans mes bras, manquant m'assommer avec sa bouteille de rosé à dix dollars au passage. - Comme je suis heureuse de te voir ! Ça fait siiii longtemps Hannah ! Il faudrait se voir plus souvent ! - Désolé Jo, mais j'ai beaucoup de travail ces temps-ci et... disons que je sors beaucoup moins qu'avant. Elle balaye ma remarque d'une main, puis ouvre sa bouteille et bois une gorgée directement au goulot. Je la regarde faire, les yeux ronds. - Tu sais qu'il y a des verres à vin là-bas ? - Bah, pourquoi salir un verre quand cette bouteille se boit toute seule ! Elle boit une deuxième gorgée en regardant autour d'elle. Elle reconnaît immédiatement mon mari. - Tony, hurle-t-elle en levant les mains dans les airs. Mon mari lui fait un grand geste de la main en souriant. Il a toujours bien aimé Jolene. Parfois, je me demande même s'il ne l'a pas préférée à moi lorsqu’on était plus jeune. Il m'adresse un clin d’œil avant de retourner à sa conversation avec son siamois vestimentaire. Jolene prend une nouvelle gorgée avant de commencer une de ses histoires rocambolesques d'hommes mariés, de rockers en tournée ou toute autre de ses conquêtes des derniers mois. Je l'écoute d'une oreille, acquiesçant par ci par là à ses histoires. Au bout d'une demi-heure et de la moitié de sa bouteille de rosé, je feins d'aller aux toilettes pour lui échapper. En fait, j'ai réellement envi, mais ce n'est pas la raison principale de ma fuite. L'entendre conter ses aventures d'un soir, sans gène, sans pudeur, me donne la nausée. Comment peut-on être si facile et continuer à se sentir bien dans sa peau ? La réponse m'est tout simplement inconnue. Je croise Mei qui sort de la salle de bain en soupirant. - Ça fait déjà 6 fois que j'y vais depuis une heure. J'aurais dû m'apporter des couches. Je ne réponds pas et me contente de sourire. Elle penche légèrement la tête et me regarde. Ses cheveux noirs courts donnent l'impression d'une perruque sous cet angle. - Tout va bien Hannah ? Tu sembles... distante ce soir. - Oui, désolé, j'ai eu une grosse semaine au travail, je suis fatiguée. - Raison de plus pour te détendre et profiter de la fête ce soir. Prends un verre de vin à ma place... ou deux ! Elle me fait un clin d’œil complice avant de retourner à l'extérieur en marchant comme un pingouin, les mains sur les hanches. J'entre dans la salle de bain et ferme la porte derrière moi. Les bruits de la fête sont immédiatement coupés, seul un brouhaha discret est perceptible. La tranquillité me fait du bien. Je dépose ma coupe sur le bord du lavabo et m'assoit sur la toilette. Finalement, après seulement quelques gouttes, je renonce, c’était clairement une fausse alerte. Je me relève et me regarde dans le miroir en me lavant les mains. J'y vois une jeune femme aux yeux tristes. Elle semble avoir pris plusieurs années en quelques mois. Je pousse un soupir en enroulant une mèche de cheveux autour de mon doigt pour lui donner une boucle qui fait du sens. En vain. Décidément, mes cheveux refusent de coopérer aujourd'hui ! Je sors de la salle de bain après m'être essuyé sur une petite serviette à main fleurie passée mode et tombe nez à nez avec une chemise à carreau orange et jaune. Je pose une main sur sa poitrine. Tiens c'est étrange… Je lève les yeux et retire aussitôt ma main, les joues roses de gène. - Fred! Je... je suis désolé ! - Ah! T'en fais pas Hannah! Isa aussi a fait l'erreur tout à l'heure en donnant une belle claque sur les fesses à Tony. - Quoi? - Je rigole! Mais c'est vrai qu'on se ressemble dans cette chemise ! Il entre dans la salle de bain et referme la porte en me souriant, amusé. Moi, je ne trouve pas que la situation est drôle. Mes joues sont encore roses de l'humiliation que j'ai vécu lorsque je retourne sur la terrasse où je suis accueillie par les bras chaleureux de Tony. - Ça va ma belle, me demande-t-il en me donnant un b****r sur la tête. - Oui... oui. Je suis tout simplement fatiguée. - Tu veux qu'on rentre ? Je le regarde dans les yeux. Oui, je veux rentrer. Mais ce ne serait pas bien vu de partir les premiers. Il semble comprendre mon regard et m'embrasse le front en me serrant dans ses bras. - Je reviens. Il disparaît un instant à l'autre bout du terrain où se trouve M. et Mme Parker et leur parle un instant. Mme Parker lui fait la bise, M. Parker lui serre la main, puis il retourne vers moi. - Allez, on rentre, j'ai inventé une super excuse pour partir plus tôt. Je lui donne un b****r de gratitude et nous nous dirigeons tranquillement vers la sortie de la cour, bras dessous bras dessous. Il m'ouvre la porte de notre petit VUS avant de monter côté conducteur. Il démarre le moteur et nous nous engageons sur la route. Les Parker habitent dans le quartier à côté du nôtre, alors le trajet est rapide. La voiture tourne dans notre rue. - Au fait, qu'est-ce que tu as donné comme excuse aux Parker ? Il hausse les épaules en tournant dans notre entrée en béton. - Je leur ai simplement dit que je devais aller faire l'amour à ma femme le plus rapidement possible. - Quoi! Il éteint le moteur et se tourne vers moi en souriant. Un sourire moqueur qui fait de petites pattes d'oies aux coins de ses yeux. Je lui donne une petite claque sur le bras et il se met à rigoler. Son rire est contagieux et je finis par rire aussi pour la première fois de la journée. Il ouvre sa porte et je l'imite. Nous sortons en même temps de l'auto et je le rejoins près de la porte d'entrée. Il débarre la porte et l'ouvre de quelques centimètres avant d'arrêter son geste et de me regarder. Son regard est chaud, perçant. Il se mord la lèvre en descendant ses yeux jusqu'à ma poitrine. - Tu sais, c'était une excellente raison pour quitter la fête plus tôt... vouloir te faire l'amour. Il se penche vers moi et m'embrasse doucement sur les lèvres. Ses lèvres sont chaudes et mielleuses, invitante. Je lui mords doucement la lèvre du bas pour répondre à ses avances. Il ne lui en faut pas plus. Il me prend les hanches et m'attire vers lui pour m'embrasser fougueusement. Il me prend la nuque d'une main et me presse sur lui de l'autre. Je sens son érection sur moi, ce qui me fait sursauter. Il descend ses lèvres jusqu'à mon cou qu'il effleure doucement de sa langue. - Tu sens si bon Hannah. Je pousse un soupir de plaisir. Ses mains parcourent mon corps. Il me pousse sur la porte d'entrée qui s'ouvre au complet, manquant me faire tomber sur le dos. Il me rattrape en souriant, puis d'un coup de pied, il referme la porte et attaque de nouveau les lèvres. Nous reculons jusqu'aux marches où il me dépose sur la troisième. Il parcourt ses mains jusqu'à mon escarpin qu'il enlève délicatement, révélant mes orteils trop boudinés à mon goût. Il fait de même pour mon deuxième soulier avant d'enlever les siens. Il se rappelle que je déteste voir des souliers sur le tapis de l'escalier. Cette attention m'attise encore plus. Il fonce sur moi, m'embrasse, m'empoigne la poitrine, me frotte sur lui. Je pousse un soupir de plaisir lorsqu'il descend ses lèvres jusqu'à mon décolleté. Il glisse doucement ses mains jusqu'à mon dos où il agrippe la fermeture Éclair de ma robe qu'il fait coulisser doucement jusqu'au bas de mes reins. Il descend mes manches tranquillement pour profiter de chaque centimètre de peau qui se révèle à lui. Il descend ma robe jusqu'à ma taille, révélant ainsi ma poitrine qui pointe vers lui d'excitation. Une lueur passe dans ses yeux alors qu'il m'embrasse la poitrine, me titille les pointes avec sa langue. - Mmmm... Je prends sa tête dans mes mains, mes doigts s'enfoncent dans sa chevelure en bataille. Je l'attire vers moi. Plus, j'en veux plus... J'agrippe sa boucle de ceinture pour la défaire. Il me lance un de ses sourires qui me fait fondre sur place. Mon string devient de plus en plus humide. Je finis par réussir à détacher sa ceinture et il retire ses mains de mon corps pour m'aider à détacher son pantalon et le baisser. Son boxer bleu moule parfaitement bien son érection. Il me sourit en levant un sourcils, moqueur. - Tu aimes ce que tu vois ma belle ? Je me mords la lèvre en acquiesçant. Je lui prends le col de la chemise pour l’attirer vers moi. Je l’embrasse, passionnément tandis que son érection frotte mon entrejambe. Ses boutons de collet sont détachés comme toujours, sa manière si sexy de porter ses chemises. Je détache son troisième bouton qui ne résiste pas le moins du monde. Puis le quatrième et le cinquième, jusqu’au dernier. Je caresse son torse de mes doigts. La fin vingtaine et la sédentarité l’ont marqué. Ses pectoraux sont toujours aussi bien dessiné, mais ses abdominaux sont maintenant recouverts d’une mince couche de graisse, ce qui lui fait un petit bedon. Il est tout de même superbe, avec juste assez de poils sur le torse pour le rendre viril à mon goût. Je passe mes mains sur ses épaules pour lui retirer sa chemise. Il m’aide en enlevant ses manches, puis la dépose sur la rampe à côté de nous. J’attarde mes doigts à la ligne de ses boxers, ce qui le fait frissonner. Il agrippe mon string de ses mains fortes et le descend doucement, sans résistance. Il reste là, un instant à me contempler, les yeux brillants de désir. Tu es tellement belle Hannah. Je rosis, légèrement gênée. J’en doute fort, surtout avec mes cheveux fous et ma robe à moitié enlevée. Ma gêne, même après cinq ans de mariage, le fait sourire. Il s’agenouille au bas des marches et m’embrasse l’intérieur de la cuisse. Je pousse un soupir de plaisir en lançant ma tête vers l’arrière. Mes muscles se contractent à ses baisers alors qu’il s’approche dangereusement de mon entrejambe. - Je veux te goûter Hannah. Il remonte sa bouche jusqu’à mon ventre. Des frissons me parcourent le dos. Il descend tranquillement ses lèvres, m’arrachant un soupir de plaisir. J’ai terriblement envie qu’il me goûte, me savoure. Mais je n’ai pas pris de douche. Cette pensée éteint immédiatement ce désir. Je lui prends la mâchoire de mes mains pour le relever la tête. Sa barbe de quelques jours est piquante, mais tout de même agréable à toucher. Il comprend immédiatement ma réticence et se relève en soupirant. Il m’embrasse le front en me serrant sur lui. - Une autre fois ma belle. Mais tu ne m’empêcheras pas te de faire l’amour. Il m’embrasse langoureusement. Sa langue explore ma bouche, titille ma propre langue, tandis que son érection frotte sur mon entrejambe. Je m’agrippe à ses épaules en poussant un soupir de plaisir. Je le veux en moi, je dois l’avoir en moi. Mes hanches roulent sur lui, l’interpellent, le supplient. Un sourire carnassier se dessine sur ses lèvres à mesure que son désir augmente. Il descend ses boxers pour me révéler son érection que j’empoigne immédiatement d’une main. Ma main fait des aller-retours lents sur sa verge ce qui le fait soupirer de plaisir. Je l’attire vers moi pour le frotter à mon entrejambe déjà très humide. Il frissonne en fermant les yeux. Il enfouit sa tête dans mon cou. Ses lèvres m’effleurent doucement, un choc me parcourt tandis que mes muscles se contractent. Je le veux en moi, tout de suite. Il semble comprendre mon désir, car il empoigne son érection et s’enfonce en moi, ce qui m’arrache un cri de plaisir. Il commence des mouvements de va-et-vient qui me font rouler des yeux. Nos ébats deviennent de plus en plus précipités à mesure que notre désir augmente. J’ai envi de crier, de lui enfoncer mes ongles dans sa peau tellement c’est bon. Mais je me retiens et je ferme les yeux pour laisser place à l’o*****e qui menace mon corps. J’ouvre une dernière fois les yeux avant d’exploser de plaisir, remarquant au passage la fameuse chemise orange et jaune.

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