LOGAN 225

ON EST ENSEMBLE

choquée et abasoudir je le regarde

Riley : tu m arrête cette betises que tu appel relation avec ce Clem ou je vais te faire très mal

Riley venait de prendre la porte qu il claqua en la refermant ce qui me fit sursauté

je ressort après avoir prit un semblant d esprit a peine je m assoie que Lila remarque que quelque chose ne va pas

Lila : ça va

me demande t elle soucieuse je ne peux que lui mentir en lui disant

moi : oui oui mes parents sont juste zarbi mais tout les enfants disent cela

elle me fixe un moment puis s arrete

Céline arrive 2 heures plus tards disant qu elle avait du faire un detoure a l hopital

raison pour laquelle elle n a pas pu venir me prendre elle disait qu elle m avait completement oubliée

je lui pardonne si c est pour etre au chevet de Carl elle passe toute la journée sur son téléphone elle a souvent un sourire niait au visage

qui etait signe qu elle parlait a Carl tout semblait rentrer dans l ordre entre eux

a part ce petit incident dans le placard tout se passa bien mes parents devenaient de plus en plus bizzare si bien qu un soir je suis rentré et la maison etait un vrai bordele

et comme presque tout les soirs maintenant ils etaient sortient sans même me le dire ou me laisser un mot

ces derniers temps je nettoyait derrière eux et ils venaient trouver la maison propre mais c etait trop je laisse la maison ainsi et rejoint ma chambre

ma mère n a même pas prit le temps de cuisiner quelque chose pour moi le frigidaire etait vide et n a jamais été aussi crade

papa n aurait jamais laissé la maison dans cet etat

mon bain terminé alors que je rentrait dans ma chambres je les entendient rentrer

ma serviette nouée sur ma poitrine je descend les nerfs a vif

- alors vous vous etes bien amusé

dis je les dents serrés

- et pourquoi n as tu pas fais le menage

dis ma mère en faisant le toure de la pièce des yeux pincé moi je rêve

- est tu entrain de dire que je dois ranger votre bordèle

a peine ai je finis ma phrase que je sens ma tête partit sur le côté ma mère venait de me gifler

je regarde mon père qui ne semble pas du tout choqué mes larmes se mettent a couler

- tout a interet a etre propre Lorsqu on redescendra

sur ce elle prit la main de mon père ils appretait a aller dans leur chambre lorsque je saisie la main de mon père

- papa tu vas rien dire tu vas la laissé me traiter ainsi

mon père retira vigoureusement sa main de la mienne

- tu la bien cherchée ce ne sont pas des façons de parler surtout a sa mère maintenant va faire le menage

sa phrase terminé je les regarde regagner leur chambre en se taquinant comme si de rien etait

vous trouverez cela stupide mais j allume la plaque de cuisine et pose ma main au dessus je peux sentir la chaleur qui s y degage

puis je pose ma main et la retir immediatement en retenant mon crie de douleur ce n est pas un rêve je ressens bien cette putin de douleur

mais une chose est sûre mon père dans son etat normal ne laisserais jamais la maison ainsi le parquet sale et crasseux

sans parler des cartons de pizzas qui n on que trop duré sur la table a mangé

que dire de la pile d assiette sale qui depassait du levier sans rien toucher je retoune dans ma chambre et prend soin de claquer la porte

je dors relativement mal j esperait que ma mère vienne me presenter des excuses ou mon père

je me reveille de très bonne heure rien avait changé la maison etait toujours aussi crade cela fut mon quotidien presque tout les jours de cette semaine

Cèline passait tout son temps a l hopital elle connaissait ma phobie des hopitaux je detestait cette odeur de medicament

qui y flottait tout le temps melangé a l halcool l angoisse qu on pouvait lire sur le visage des gens les malades qui gemissait de douleur

j en avait horreure elle me demandait donc de ne pas l accompagner elle aimait vraiment Carl pour prendre sur elle et y aller car sa mère etait morte d un cancer epreuve très difficile pour elle

enfin jeudi

je fait un sac avec les affaire dont j aurais besoin pour le vendredi et une robe marron claire destinée a la fête j irai a la fête de chez Cèline je ne veux plus passer un jour de plus dans cette maison

dans le bus je mets mes ecouteurs alors que je m eloigne de la maison je commence a culpabiliser je ne les aient même pas prevenu que j allais chez Cèline comme tout les soirs depuis quelque temps ils sont dehors

ils avaient qu a mieux me traiter le bus se gare non loin du palais qui lui sert de demeure le portail souvre automatiquement de lui même grace a la reconnaissance faciale

cette maison c est mon deuxieme chez moi je me dirige directement dans la chambre de Cèline

la porte est ouverte elle est couchèe sur son lit perdu dans sa conversation telephonique

Cèline: c est pas vrai je t aime aussi bb

je me pose devant la porte et l observe nulle doute qu elle parle avec Carl

elle ecoute son interlocuteur tout en jouant avec ses cheveux du bout des doights elle vient de se pincer la lèvre inferieure

moi : j en est marre dis a Carl de te rappeler plus tard

a l entente de ma voix elle sursaute

Cèline: je te rappel plus tard

dit elle a la hate puis elle raccroche

reaction que je trouve bizzare toutefois je ne dis rien je la rejoin sur son lit

Cèline : je savais pas que tu venais aujoudhui

moi : moi non plus j en pouvais juste plus mes parents sont je sais même pas quoi dire

Cèline: mais au moins ils sont la eux

je la regarde desolé car elle avait perdu sa mère et son père c etait enfermé dans son travaille c etait sa façon a lui de supporter la mort de sa femme enfin je crois elle etait pratiquement seule dans cette maison où elle manquait de rien materiellement mais terriblement de l essentiel

moi : tu as raison

Cèline: ne soit pas trop dure avec eux ils font de leur mieux

moi : tu as sans doute raison

au même moment mon téléphone sonne c est Clem en y repensant il etait absent en cour aujoudhui il séchait souvent les cour mais qu elle genre de petite amie je suis pour ne l avoir remarqué que maintenant

moi : allo bb

Clem : ça va toi

moi : oui t es pas venu en cour je pourrais savoir pourquoi

Clem : j avais juste la flemme

je lève les yeux aux ciels

moi : demain tu viens pas vrai

Clem :pourquoi tu veux me voir pour qu on fasse des choses inoubliable

dit il sensuellement mais cela n a aucun effet sur moi au contraire je voulais lui parler pour qu on fasse une pause j avais besoin d eclaicir mon esprit

moi : tu es lourd avec ça toi

Clem : j ai hate que samedi arrive

c est vrai que cette putin de fête etait samedi c est a dire après demain

nous parlons encore quelques heures de banalités en rigolant et tout puis je raccroche après des bonne nuit mon bb

A peine je raccroche que Cèline me demande c est quoi le probleme

moi : je sais pas si j aime vraiment Clem

Cèline : comment ça

moi : je pense que je ressens quelque chose pour quelqu un d autre

Cèline est tout de suite excité

Cèline: je le connait il est au bahu c est quoi son nom qu es ce que tu aime chez lui

moi : je te dirais rien avant d etre sûre

elle boude sa bouille est trop mimi

je lui lance un coussin et oui on termine notre soirée épuisée après une bataille d oreillé

comme vous l aurai deviné c est en retard que nous arrivons en cour car nous avons trop dormir les garçons sont de retoure

Carl et Cèline sont coller je suis assise sur les pieds de Clem on parlait en riant Josh un ordinateur sur les pieds qu il tapait energiquement jusqu a ce qu il face son entrée

mon coeur rate un battement il me regarde comme si il s appretait a me tuer

il n avait pas besoin de parler je savais exactement ce qu il me disait

- tu fous quoi sur ce type putin

c est un truc comme ça son regard me disait Clem ressere sa prise sur ma hanche lui aussi avait vue comme Riley me regardait

quelques minute plus tard le prof fais son entrée je n avais pas eu le temps ou le courage de demander la pause entre nous a Clem où un peu des deux

les cours passaient assez vite jusqu a la pause apres nous avions cour de sport je me souviens que j avais pretée ma tenue de sport ce jour la j etais malade et incapable de faire le sport

au finale nous etions restée toutes les deux dans les gradins a causer et rire comme des folles elle refusait de suer comme un porc sans moi avait elle dit

ce souvenir me fais sourire j ai vraiment de la chance de l avoir je me dirige vers son casier elle n y est pas bizzare pourtant c est là qu elle nous a dit qu elle venait

moi : tu n aurais pas vue Cèline

demandais je a une des pompom girl qui passait par la

?? : je l ai vu qui se dirigeait vers la bibliotheque

bibliotheque a t elle dit depuis quand au debut je croiyais qu elle se paye ma tête

moi : tu rigole

?? : non

moi : okay je vais voir

je prends le chemin de la bibliotheque et croise un geek a lunette qui sortait de la bibliotheque

moi : pardon tu n aurais pas vue Cèline

il me regarde comme si il ne croyait pas que c est a lui que je parlait il va jusqu a regarder derriere lui il n y avait personne

?? : c ....c..est...a..moi...qu.....

begait il

moi : oui

il inspire profondément en jouant avec ses doights suremment pour calmer sa nervosité

??: oui.....oui.....je...l..

je ne le laisse pas terminé et rentre en lui criant un merci

tout les yeux sont braqués sur moi certains cligne même des yeux croyant rever ce lieux je ne le frequentait pas vraiment

aucun des populaires d ailleur Cèline avait une bibliotheque aussi garnit que celle la mais n y mettait jamais les pieds que pouvait elle bien faire ici

je la cherche entre les etagère des livres et finit par reconnaitre sa voix cependant l entente d un autre m arrete dans mon élant

Cèline: il vient juste d arrivè je ne peux pas lui faire ça donne moi encore du temps

?? : pendant combien de temps devrais je supporter qu il te touche et t embrasse je veux aller a la fête accompagné de la plus belle fille

Cèline : promis ce weekend je mettrait fin a cette relation et on ira a la fête ensemble tu sais que c est toi j aime

j ouvre grandement les yeux mets ma main sur ma bouche pour ne pas laissé echapper mon crie de stupeur

on pouvait entendre qu ils embrassaient

c est le moment que je choisis pour sortir de ma cachette Cèline dos a moi ne me voyait pas mais Riley qui avait les yeux ouverts et me regardait pendant qu il embrassait ma meilleure amie ne se gêna pas

leur baisé terminé elle se retourna et surauta en me voyant

moi : Cèline mais tu fous quoi

Cèline: je voulais te le dire mais tu es proche de Carl je ne voulais pas te mettre dans une mauvaise position

moi : bravo parceque je suis en plein dedans

Cèline: Hel je suis desolé j aime Riley depuis le premier jour et je sais que tu l as remarquée tu me connais si bien

epuis m***e j avais envie de hurler de douleur et le fils de p**e qui ne disait rien dire que j etais prête a consideré la possibilité de quitter Clem pour lui

moi : je suppose que Carl n en sait rien

elle tourne la tête de gauche a droite pour dire non

moi : tu aurais put au moins casser avec Carl immagine comment il va se sentir en l apprenant

Cèline: je sais tout c est passè tellement vite

Riley : on est ensemble maintenant et je compte officialiser cela

dit il en la regardant tendrement j avais l impression de mourrir sur place a quoi jouait il avant que mes larmes ne coule je sors de la

les hommes ne sont que des chacals