Imagine Jacob Frye (Assassin's Creed Syndicate) x reader

761 Words
De loin on aurait simplement dit qu'il dormait sur le palier de sa porte, mais de près la jeune femme se rendait compte qu'il somnolait et qu'il semblait sacrément amoché. Elle se pencha sur lui et secoua doucement son épaule et comme elle n'obtenue aucune réponse, le secoua violemment cette fois-ci, réussissant à lui faire reprendre conscience. Il semblait d'abord paniqué mais se détendit en apercevant la jeune femme, lui offrant même un de ces fameux sourires charmeurs. - Oh hey Love ! Quelle belle soirée n'est-ce-pas ? - Jacob j'ai juste deux petites questions pour toi : que fais-tu sur mon palier ? Et pourquoi est-ce que tu te vides de ton sang ?! - Ne sois pas autant paniquée (Y/N), j'ai juste eu une petite escarmouche avec des Blighters etttt J'ai gagné ! - Tu es saoul en plus ?! Oh Jacob Soupirant, elle l'aida à se relever, un bras soutenait sa taille tandis qu'elle avait passé un bras sur ses épaules. Ils titubèrent jusqu'à l'atteindre le salon où elle lâcha le brun sur le sofa. Il s'effondra dans un grognement et se redressa un peu. - Ne bouge pas, je vais chercher de quoi te soigner et te faire dessoûler par la même occasion ! Elle ne mit pas plus de deux minutes pour revenir les bras chargés, elle déposa tout sur la table basse et entreprit de le soigner, appuyant un bout de tissu imbibé de whiskey contre la plaie à son arcade sourcilière. - Réellement tu n'avais que cela pour désinfecter ? Il tenta de saisir la bouteille mais elle frappa sa main et lui intima du regard de ne pas essayer de nouveau. - Ici ce n'est pas un hôpital, je fais avec ce que j'ai. Si tu n'es pas content tu peux prendre la porte et sans mon aide. Jacob ne dit pas un mot, il la regardait seulement un petit sourire aux commissures des lèvres. - Pourquoi est-ce que tu m'observes ainsi ? - Est-ce un crime d'observer la beauté de la personne que j'aime ? Bien que cela faisait deux ans qu'ils étaient ensemble, la jeune femme rougissait toujours autant sous les compliments de l'homme qu'elle aimait. - Voudrais tu arrêter cela ? - Voudrais tu arrêter d'être aussi charmante ? ...Aïe ! Fais doucement je suis blessé quand même ! - Blessé bien sûr, uniquement quand tu le veux bien Bon enlève ton haut et avant que tu ne sortes une quelconque phrase salace, c'est uniquement dans le but de te soigner. Une fois de plus il ne dit rien et obtempéra mais non sans avoir arboré un air satisfait sur le visage. La jeune femme frôla d'un doigt les abdominaux et s'arrêta aux zones endommagées, Jacob n'avait que quelques hématomes ainsi qu'une légère entaille au niveau de son pectoral droit, rien de bien méchant heureusement. (Y/N) s'attela à correctement le soigner et cela ne lui pris pas plus de quinze minutes. - Bon j'ai terminé mais il reste encore à te faire aller mieux niveau alcool dans le sang ! Tiens bois cela et en entier, ça te fera le plus grand bien. - Non merci mais je n'ai pas besoin d'eau ! Je...Je vais bien, regarde je suis bien ! - Jacob si tu ne bois pas ce verre, tu dormiras sur le canapé ce soir ainsi que les autres soirs à venir Le jeune homme l'observa les sourcils froncés, il pouvait bien voir qu'elle était sérieuse et mettrait sa menace à exécution. Soupirant, il lui arracha presque le verre des mains et le bu d'une traite avant de le rendre. - Heureuse  ? - Oui très ! Elle déposa un b****r sur le front du brun et ce dernier en profita pour entourer sa taille de ses bras et de l'attirer contre lui. Elle lâcha un petit cri de surprise, les paumes de ses mains se posèrent contre le torse musclé de l'assassin afin de ne pas entièrement tomber sur lui. - Tu aurais pu prévenir ! - Non car ne rien dire est le principe même de la surprise. L'homme se débarrassa de ses chaussures avant de s'allonger, la jeune femme contre lui, elle n'avait pas trop le choix que de s'allonger à vrai dire. - Que fais-tu ? - Je commence à avoir mal à la tête et je suis fatigué alors je vais faire une sieste. (Y/N) soupira mais ne tenta pas de se libérer, juste de se blottir encore plus contre Jacob qui rigola doucement en constatant cela. - Merci de toujours prendre soin de moi (Y/N) , je t'aime tellement. - Il n'y a pas de quoi, il ne faudrait pas que ce joli visage s'abîme. Mhhhm Je t'aime aussi.      
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