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ABSINTHE

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La vie; cette simple expression qui regroupe tout l'univers et la nature, est un combat à vivre, elle est remplie de multiple épreuves. En effet, les choses ne se passent jamais deux fois de la même façon, soit c'est rose, soit c'est laide; parfois, tout va bien, on est heureux, gaie, souriant; cependant ,les entraves, les épreuves, les vicissitudes de cette vie apparaissent et tout devient subitement flou, armère ,désagréable, douloureux : la vie est une vraie absinthe.

En effet, la chronique ci-après est l'histoire de Alcyon, un jeune garçon dans les environs de dix-huit ans qui a perdu ses deux parents le même jour lui laissant son jeune frère Donald. Il est donc obligé de faire face aux entraves et vicissitudes de la vie seul, devenant ainsi l'ange protecteur de lui même et de son frère.

Lisez pour découvrir "ABSINTHE", l'histoire de Alcyon.

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PROLOGUE
«L'absinthe apporte l'oubli, mais se fait payer en migraines. Le premier verre vous montre les choses comme vous voulez les voir, le second vous les montre comme elles ne sont pas ; après le troisième, vous les voyez comme elles sont vraiment.» Le jour là, on était tous à table , tout allait bien, jusqu'à ce que mon père a commencé par cœur de douleur en attrapant : Mon père : "Hou! Hou! Hou!" crie-t-il en doigtant le gobelet d'eau sur la table, ce que je lui remet il prend l'eau dans ma main et le but d'un seul trait. Il prend le carafe maintenant, remplit de nouveau le gobelet puis vide le tout encore, moi, ma mère et mon petit frère , avait cessé de manger et ne faisait que le regarder; mais au lieu de se calmer, il a recommencé par dire: Mon père : Hou Hou Hou (ce qui veut dire os en langue Fon-gbe) Ma mère (avec un ton mélangé de peur) : " Chérie, tu as quoi, ne nous fais pas peur! " dit-elle en se levant de sa chaise puis s'approche de mon père Moi : Papa ? Tu as quoi ? Pour cette fois-ci ,il attaque sa gorge avec sa main gauche, et continue de dire la même chose Ma mère prit le carafe, remplir le gobelet puis sert mon père, mais ce dernier ne le boit pas. Ma mère : Chérie, bois un peu encore s'il te plaît, ça ira Mon père prit l'eau et s'est forcé de le boir, mais c'est toujours la même cénario, rien n'a changé Ma mère : "Ou bien avale un peu de pâtes ?" dit-elle en lui mettant dans la bouche le bout de pâte qu'elle a coupé Mon père au lieu d'ouvrir sa bouche et prend la pâte,tombe de la chaise et ne faisait que respirer à peine Ma mère : "Chérie ! Papa ! Chérie !" s'écrie-t-elle en mouvant mon père dans tous les sens, mais mon père vient de devenir inconscient Moi ( paniqué ) : Papa? Papa? Papa? Nous commençames tous déjà par pleurer, mon petit frère aussi Ma mère(en se redressant):Alcyon? Moi:Oui Maman Ma mère : "Tu restes ici, j'irai chercher un zem pour qu'on transporte ton père à l'hôpital, je pense que c'est très grave, mais ne criez pour ne pas alerter les maisons d'à gauche" dit-elle en en essuyant ses larmes Je regarde mon père par terre immobile, respirant à peine, puis ma peur et mon changrin s'augmentent, je coulais de gros larmes déjà. Aprè environ cinq minutes dehors,ma mère revient enfin avec un gar en chémise bleu , naturellement,c'est un zémidjan man de Porto-Novo la capitale du Bénin ; Le Taxi man : "On fait comment maintenant ?" dit-il pour nous faire savoir qu'il ne peut porter mon père Ma mère : Mettez le derrière moi Le Zémidjan man et moi aide ma mère a porté mon père dans son dos Ma mère : " Alcyon ? Fermes le portail et les portes si tu décides nous suivre, toi et ton frère ; nous iallons à l'hôpital central de Tokpota, tu peux nous retrouver là-bas " dit-elle en sortant à la hâte Moi : Ok maman, c'est entendu Une fois dehors, le Zémidjan man aide ma mère à faire descendre et ils le mettent sur la moto, le Zémidjan s'installe puis ma mère s'assoit derrière mon père Toutes les personnes vivantes dans les autres conceptions se sont déjà sorties et regarde ce qui se passe, il en a ceux qui envoient les mots d'encouragements, ceux qui regardent avec tristesse ; même les passagers s'arrêtent en voyant la scène Ma mère : Alcyon, as-tu entendu ce que j'ai dit ? Moi : Oui Maman, c'est reçu cinq sur cinq Après leur départ, je ferme bien les portes et le portail puis je mets mon petit frère au dos avec le pagne que j'avais pris dans les affaires de ma mère. L'hôpital central est juste à quelque mètre d'ici, j'en poche les clés et je prends la direction de l'hôpital avec mon petit frère ( Donald ) au dos : Donald : On va là où est parti papa et maman Moi : Oui ! Donald : Grand frère, pourquoi papa était tombé par terre Moi : Parce qu'il a mal Donald : Grand frère, est-ce que tu sais que j'ai peur ? Moi : Pourquoi tu as peur ? Donald : Parce que toi et maman, vous pleurez ; papa, est-il mort ? Moi : Tu feras de te taire derrière moi, c'est parce que je ne veux pas que tu retarde que je t'ai mis sur le dos, mais si tu ne fermes pas tes clapettes maintenant, tu vas descendre avec vitesse Donald : Grand frère, ne te fâche pas, je me suis tue déjà C'est ainsi que j'ai marché jusqu'à l'hôpital : une fois dans le hall de l'hôpital, j'attendais de loin déjà la voie de ma mère qui hurlait ; arrivant à son hauteur, en me voyant ,elle supprime ses larmes nets. Moi : Maman ? Qu'est-il arrivé à papa? Elle : Rien chéco, le docteur dit qu'il ira mieux Quelques minutes plus tard, une dame en blouse blanche est sortie d'une des chambres de l'hôpital puis appelle ma mère, il discute quelques fraction de minutes puis ma mère revient vers nous Ma mère : Tu restes ici avec ton petit frère, ne le laisse pas vagabonder s'il te plaît Moi : Ok maman, c'est entendu Ma mère : "Mon chéri, s'il te plaît, ne te promène pas ici, reste à de ton grand frère s'il te plaît" dit-elle à Donald en massant sa joue Donald : C'est entendu Maman, je n'irai nul part je resterai à côté de grand frère Ma mère : Promis Donald : "C'est promis maman" dit-il en soulevant sa mère gauche Moi : Maman, et tu va où ? Comment va papa ? Ma mère : "Ton père ira mieux par la grâce de Dieu, la docteure m'a demandé d'aller payer les médicaments prescrits ici" dit-elle en me montrant le bout du papier qui est dans sa main Moi : Donc, tu rentres à la maison comme ça oui ? Ma mère : Oui, j'irai à la maison prendre de sous pour ajouter avec celui qui est dans ma main, il ne faut que je sois à coût d'argent quand je serai devant le pharmacien Moi : "Mais tu n'as pas demandé la clé !" exclame-je Ma mère : "Dieu merci, tu t'es rappelé de ça, ne bougez pas de là je reviens tout de suite" dit-elle en allant. Environ quelques minutes après, ma mère est revenue avec un sachet blanc, contenant surement des gadgets : Ma mère : Vous êtes là ? Moi : Oui Maman; tu as pu acheter tout ce que tu veux ? Ma mère : Oui Donald : Maman, tu m'as amené quoi ? Ma mère : Mon bébé, je viens Elle aille le long du couloir et va remettre le sachet. Moi : Maman, papa est dans quelle chambre là ? Ma mère : Tu as vu là où avait quitté pour me parler avant ? Moi : Oui, c'est là On était là quand la même dame en blouse est ressortie de là où ma mère est dit que mon est, elle appelle ma mère, puis parle avec elle brièvement; après leur discution, ma mère est sortie de la halle en courant. Elle est revenu plus tôt toujours en courant avec encore un autre sachet blanc en main. Elle va encore le long du couloir, mais cette fois-ci à la hâte, elle revient après avec la dame en blouse ; la dame rentre dans la chambre où se trouve mon père, puis ma mère est retournée vers nous. Moi : "Maman, j'espère que tout va bien" dis-je paniquant Maman : Ne t'inquiète pas, tout ira mieux Moi : De ne pas m'inquiéter ? Mais, tu voudrais toute à l'heure, maman je ne suis plus un bébé pour que tu cachés quelque chose hein Ma mère : Je ne te cache rien, j'étais partie acheter de médicaments pour ton père, j'avais couru parce que le docteur m'a demandé de faire vite Moi : Ok, je vois. Mais maman, j'ai très peur sérieusement Ma mère : Ne t'inquiète pas, ça ira On était tous là silencieux, quand la dame en blouse est encore ressortie, elle appelle ma mère, je ne sais pas exactement ce qu'elle a dit à ma mère, mais de là où je suis assis j'ai vu de loin ma mère qui s'écroule devant elle. Je laisse Donald sur le canapé où on était assis et je cours vers ma mère. Les aides soignant(e)s sont apparus sur champs avec un brancard, la dame qui parlait avec ma mère les aides à la mettre sur le brancard, puis ils ont commencé à le pousser long du hall. Avec beaucoup d'effrois oubliant même que j'ai laissé mon petit frère sur le canapé dans le hall ,je courus vers eux en m'écriant : " Maman,t'as quoi ? Maman ! Maman ! Maman ! "répète-je derrière eux Je voulus me rapprocher du brancard et regarder ma mère mais ils me l'ont empêché ; jusqu'en ce qu'ils sont entrés dans l'une des chambres. J'ai voulu entrer dans la chambre avec eux, mais,avec tous mes efforts pour y pénétrer, ça a été peine perdue, puisqu'il me retenait avec force; après à peu près une minute et demi de bataille avec les deux hommes en blouse blanche qui me retenaient pour que je ne parviens pas à rentrer dans la chambre d'hôpital là ils ont fait entrer ma mère ,j'ai sentit une piqûre sur mon épaule gauche, de ça de là, subitement, j'ai commencé par perdre mes forces, les secondes qui ont suivi tout est devenu noir. Je me suis réveillé après des heures sous un drap blanc dans l'une des chambres de l'hôpital. J'enlève légèrement le drap puis regarde à tout le rôle le plafond ainsi que la chambre. Après un bon moment de réflexion, j'ai commencé à réatualiser les évènements, ce qui a fait paniquer d'ailleurs, puisque je me suis dit qu'ils ont sûrement penser que je suis déjà mort c'est le pourquoi, ils m'ont déposé dans cette chambre et m'ont couvert de drap blanc; je me suis décidé alors de vider les lieux avant qu'ils ne me retrouvent ici, puisque j'ai entendu dire que si quelqu'un est mort et il se réveille, ils vont encore le tuer; en m'imaginant, je me suis levé du lit en hâte. Je m'approcha de la porte et Dieu merci elle n'a pas été verrouillée; je l'ouvre puis je sors de la chambre ; une fois dans le hall, je m'arrête puis je regarde dans les deux sens pour vérifier si quelqu'un arrive, je pensais aussi à mon petit frère, mais je préfèrerais sauver ma tête avant tout; donc, comme personne n'arrivait, j'ai commencé à marcher le long du couloir sur le point des pieds comme les ninjas dans les films d'actions. Comme c'est la nuit, je ne rencontais personne; mais arrivée à niveau: j'entendis une voix derrière moi: Inconnu : "Hé ! Toi là-bas! Tu vas où ?" dit-il en balançant sa lampe porche. Je me suis demandé si je dois m'arrêter et lui faire face, ou plutôt accélérer ? Je prends la seconde option ; parce que je tremblais déjà, je ne veux plus le sort de l'après midi ou je ne me rappelle même plus de l'instant ou s'est passé la chose, j'avais l trouille de me faire administrer une autre piqûre qui va me faire perdre connaissance ,je changeais ainsi le rythme avec lequel je marchais en une course de vitesse; l'homme derrière a commencé par me poursuivre en alertant les autres, il ne cessait également de me demander de m'arrêter, mais je ne m'exécute pas. Après une bonne folle course de vitesse et des fintes par possible puisqu'il y a des gens qui ont voulu par m'attraper par le devant ; je me suis retrouvé enfin dans cours de l'hôpital entre quatre agents de sécurité tous en sueurs. Moi(intérieurement): "Mon Dieu ! Que dois-je faire maintenant ? Comment faire ? Quoi faire? Il est hors de question que ces genres m'attrape kèh!" raconta-je en inspirant et ne expirant avec force. Je ne sais pas si c'est Dieu ou une coupe de chance ; mais c'est en ce moment là même que la coupure de courant a eu lieu, et tout l'établissement devient noir. L'occasion ne fait pas le larron dit-on, je profite de ce temps de coupure pour m'enfuir , et sans mentir, je ne rappelle plus du nombre de saut en longueur et saut en hauteur j'ai fait, ni le nombre d'accrobatie que j'ai pratiqué mais j'ai déjà escaladé la cloture de l'homme et je me suis déjà retrouvé hors de l'hôpital avant qu'ils n'allumèrent la lumière. Une fois à terre, je courus de toutes mes forces jusqu'à arriver à la maison, comme j'avais la clé dans la poche et ils ne me l'eurent pas enlévé, j'ouvre et je me couche directement car j'étais trop stressé; je pense bien à mon petit frère et je ne sais même pas dans quel état il serait là-bas, mais je ne faisais que cogiter jusqu'à ce que je me suis fait emporter dans les bras de Morphée. Ce n'est que le lendemain je me suis réveillé vers les environs de onze heures comme ça par des bruits sur la cours ainsi que des genres qui frappent à la porte sans cesse; sûrement que je n'avais pas bien fermé le portail hier, c'est pourquoi ils ont eu l'accès d'y rentrer. Je me lève puis j'ouvre la porte , et je me retrouve devant deux policiers ,le chef quartier, la dame en blouse et beaucoup d'autres personnes. Ils étaient avec mon petit frère, en me voyant, Donald est venu sauter sur moi. La Dame en blouse ( la docteure ) : "Comment tu t'appelles jeune homme ?" dit-elle en s'approchant de moi et mon petit frère Moi : Mon prénom c'est Alcyon La docteure : Alcyon ? Moi : Oui madame La docteure : Tu as quel âge ? Moi : J'aurai dix-huit ans ( 18 ans ) dans trois mois La docteure : Tu seras bientôt majeur donc Moi : Oui madame La docteure : Je vais te demander d'être brave; hier, moi même personnellement j'ai vécu la pire expérience de ma vie hier depuis que je suis dans ce boulot; ton père n'a pas pu survivre hier, ce qu'il a eu n'était pas naturel, je pensais l'aider en attendant qu'il soit transféré chez les tradi-praticien mais il est mort malgré tous mes efforts. Moi : Je me le suis imaginé quand j'ai vu ma mère s'écroulée, mais et ma mère ; elle est morte aussi ? La docteure : "Ta mère s'est écroulée et tu l'as vu avec tes propres yeux non ? Elle est aussi n'a pas survécu" en commençant par couler des larmes Je ne sais même pas quoi dire, je regarde mon petit frère et mes larmes ont commencé à pleuvoir aussi. La docteure : Calme toi, Dieu a son plan Le chef quartier : Avez vous un membre de famille proche d'ici ? Moi : Mon père ne m'a jamais montré quelqu'un qui soit un membre de sa famille, j'ai grandi dans connaître aucune personne qui est reliée à notre famille La docteure : Vous êtes doux ? Moi : Nous sommes togolais Le chef quartier : Et tu connais chez vous au Togo ? Moi : Je ne suis jamais rentré au Togo ; mes parents m'ont dit qu'ils ont fui à cause des problèmes familiaux Le chef quartier : Donc, si je comprends bien, tu ne connais personne à part tes parents Moi : Oui La docteure : Sinon, vous n'allez pas aussi dans une église ? Moi : Mon père n'aime pas blés église Le chef quartier : C'est vrai, je ne les ai jamais vu s'habiller les dimanches pour se dire aller quelque part La docteure : Et les amis de ton père ou de ta mère ? Moi : Je n'en connais rien, puisque personne n'est jamais venue et mes parents me l'ont présenté entant que leur ami, on vivait dans solitude La docteure : Houn ! Tu penses faire quoi maintenant ? Moi : "À vrai dire, je ne sais pas" dis-je avec les larmes qui ne cessent de pleuvoir La docteure : Le tout puissant t'assistera mon garçon Moi : Amen Donald : Grand frère ; pourquoi tu pleures depuis ? Où est maman et papa ? La docteure : Mon bébé ; papa et maman reviennent bientôt, ok? Donald : "Grand frère, c'est vrai ?" dit-il en me regardant Moi : Oui Donald, ils vont revenir bientôt Les gens nous regarda et leurs larmes coulent tout seul, j'ai pitié de moi même, je suis bien vivant mais à vrai dire c'était sans mon âme, mais j'ai une sorte de courage qui me pousse, sinon, ce n'est pas seulement les larmes que je serai entrain de couler, je pense que je me ferai déjà quelque chose de pire que ça. Ceux qui sont venus nous ont donné de l'argent mon petit frère et moi. Le chef quartier est venu vers moi ensuite et m'a demandé de lui remettre les sous, c'est ces derniers ils ont ajouté de l'argent pour acheter les cercueils, c'est ce qu'il m'a dit. Mes deux parents ont été enterrée le même jour l'un à côté de l'autre dans notre cours. Après que, ceux qui sont venus assisté les funérailles ont déserté les lieux le soir complètement, ça n'a resté que moi et mon petit frère dans la maison. Donald s'est endormi dans mes bras et je suis parti le faire coucher dans la chambre. Une fois retourné au salon, je me suis assis sur le sofa. Quelques minutes plus tard, pendant que je suis entré sommeil et songe, j'ai commencé par entendre la voix de mes deux parents. Maman : "Alcyon ! Alcyon ! Du courage ! Nous n'avons pas décidé de nous aller si tôt te laissant toi et ton petit frère Donald, mais l'être humain l'a voulu et Dieu ne les a pas empêché" dit-elle avec écho Papa : " Alcyon ! Pour nous a été écrit comme ça ! Nous ne pourrons pas l'esquiver ! Dieu n'est pas méchant, il fait toutes ses choses pour une raison, toi, sois courageux et mets ta confiance en Dieu!" dit-il avec pleins d'écho aussi Ma mère et mon père : "Alcyon ! Alcyon ! Alcyon !" dit-ils tous les deux en chœur Après qu'ils ont appelé mon prénom répétitivement, je ressens des mains qui se sont posées sur mon épaule gauche et droit; ce qui me fait sursauter sur champs.... À suivre... 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