Hervé : voilà. Tu vois que tu n'es pas si stupide que ça.
Moi : tu es malade dans ta tête. Jamais je ne ferais ce que tu me demandes de faire c'est compris ? Jamais.
Hervé : ne m'oblige pas à employer d'autres mesures Émilie.
Moi :(à genoux et les mains jointes) s'il te plaît ne me fait pas ça. Je préfère encore que ce soit toi qui le fasses mais s'il te plaît, pas d'autres membres de ta famille.
Hervé : en m'épousant tu as épousé toute ma famille très chère. Donc tu es sensé prendre soins d'eux comme tu le fais avec moi.
Moi : je t'en supplie mon Mari s'il te plaît je ferai ce que tu voudras mais pas avec tes cousins disais-je en le suppliant de toutes mes forces
Pendant que j'étais encore en train de négocier, son cousin Fabrice était déjà placé debout et caressait son Dagobert déjà bien placé au gare debout.
Fabrice : je commence à perdre patience belle-sœur. Ton mignon est là
Hervé : elle est à toi frangin dit-il en prenant place sur le fauteuil à côté.
Puisque mes cris de détresse envers mon époux n'avaient aucun résultat, je m'étais retourné vers son cousin espérant une meilleure compréhension de sa part... Je le suppliais de ne pas me faire une horreur pareille... mais il était encore pire qu'Hervé, malgré mes supplications, il continuait de faire la sourde oreille. J'étais placé debout et malgré le fait qu'il me tirait, je refusais d'avancer. Il m'avait appliqué une de ses paires de gifle pour m'obliger à le suivre. Mais j'insistais sur le fait que je n'irai nulle part avec lui.
Fabrice : ça ne me gêne pas si tu préfères qu'on le fasse devant ton époux tu sais ?
Moi : (En pleures) pourquoi vous me faites ça hein, pourquoi ?
Hervé : écoute. Si tu continues à faire la difficile ne soit pas surprise que les deux viennent au même moment réclamer que tu assouvisses leurs désirs
Soit intelligente et va avec l'un après l'autre c'est beaucoup mieux pour toi chérie
Moi : non, non. S'il te plaît (en pleurant) à chaude larme.
Pour éviter un cauchemar encore pire que celui qui m'attendait déjà je me suis levée malgré moi et j'ai suivi Fabrice dans la chambre.
Boris : déshabille-toi
Moi ..... En retirant mes vêtements
Fabrice : jusqu'aux sous-vêtements
Chose que j'avais faite. J’étais nue devant lui et avec mes mains je cachais ma partie intime Ainsi que ma poitrine. Quand je le voyais placer devant moi, il me dégoûtait il s'était aussi mis à nu comme un ver, j'avais essayé de ne pas diriger mes yeux vers son s**e mais c'était plus fort que moi. J'avais succombé à la tentation.
Je vous jure que ce que je voyais n'avais pas l'air d'un pénis ordinaire. C'était, c'était... Je ne saurais vraiment pas expliquer à quoi cela ressemblait. C'était juste horrible à regarder et terrifiant. Je criais au scandale et je voulais à tout prix sortir de cette chambre, je ne voulais et je ne pouvais pas accepter qu'il me touche j'essayais tant bien que mal de porter mes vêtements pour lui échapper mais il m'en avait empêché et m'avait saisi brutalement et avait fait de moi sa prisonnière. On dirait que dans cette famille ils ne savent pas ce qu'on appelle préliminaires. Et moi non plus d'ailleurs. Il m'avait pénétré directement, J'avais l'impression d'être mordu à l'intérieur je ne ressentais aucun plaisir mais la douleur, pas celle que pouvait supporter un être humain, Je ne sais pas si c'était les effets secondaires de la peur ou bien autre chose mais je pense qu'il avait fait plus d'une heure sur moi et c'est après avoir jouie qu'il avait laissé la place à son frère Brice. J'étais exténuée je ne pouvais que regarder faire sans riposter je ne m'étais pas faite prier et j'étais juste rester tranquille le laissant également jouir à son tour. Cette nuit-là j'avais versé plus de larme que je n'en avais jamais versé au paravent. J'avais supplié le ciel de prendre ma vie parce que c'était devenu un enfer. J'avais perdu la notion du temps et honnêtement je ne sais à quel moment l'autre avait fini jusqu'à partir.
J'étais couché la et je pleurais, je pleurais de toutes mes forces. Je n'avais même pas la force pour me lever et aller me doucher parce qu'on avait entièrement vidé mon énergie. J'étais encore plus légère qu'une feuille de papier. C’est sur cette même position qu'on m'avait laissé que j'étais restée couché, inerte, pensive, avec mon entre jambes qui brûlait et en prière. J'avais levé les yeux vers le ciel et je demandais à cet être suprême qui a le pouvoir de guérir les cœurs meurtris que s'il existe vraiment qu'il me sorte de cet enfer dans lequel il a permis que je me trouve. De toute la nuit je n'avais pas fermé l'œil. C'est aux environs de 5h du matin que j'avais pu trouver un peu de sommeil. J'étais sur le point de dormir un peu lorsque celle de Orlan la cousine d'Hervé était venu me réveiller
Elle : on ne déjeune pas ce matin ou bien ???
Moi : je suis très épuisé s'il te plaît laisse-moi me reposer un peu
Orlane : et pendant que tu te reposes on va mourir de faim ?? Va nous faire le petit déjeuner là-bas
Moi : tu n'as qu'à aller préparer le petit déjeuner là toi-même ok ??
Orlane : ce n'est pas moi qui aie demandé que tu fasses l'amour avec deux hommes toute la nuit ma chérie.
Moi : hummmm parce que tu appelles ça f***********r ???
Orlane : c'était quoi donc ??
Moi : C'était tout sauf l'amour. C'était même un viol, tes frères vont payer pour leurs actes un jour.
En plus ne joue pas à l'ignorante avec moi. Pourquoi tu n'es pas venu prendre ma défense ??
Orlane : désolé chérie je ne me mêle pas des histoires de couple.
Moi : tu es une femme comme moi. Comment peux-tu permettre que tes frères face une telle horreur a un être humain ??
Elle : tu es très naïve très, très cher. Comme ça tu as gobé l'histoire de cousin et cousine. Faut que j'aille m'amuser. Dit-elle en sortant de la chambre. Préviens-moi quand le petit déjeuner sera prêt.
Moi : dans tes rêves.
Lui avais-je répondu sèchement En essayant de la rattraper pour qu'elle m'explique cette dernière phrase. Mais la douleur que j'avais entre les jambes m'avait retenue.
Pour quelle raison mon mari peut-il ramener des étrangers à la maison, mentir sur le lien qui les unit, et m'oblige à coucher avec eux ? Si ce n’est pas ses cousins comme m'a laissé croire Orlane ,qui sont ces trois personnes dans la maison ? C'est quoi leur objectif ? Je n'allais pas tarder à tout découvrir
J'essayais quand même de marcher même si c'était courbé.
J'avais fait ma toilette du matin avant d'aller à la cuisine préparer le petit déjeuner. Je me disais que si j'étais plus affective avec lui, peut-être qu'il sera moins cruel avec moi.
Le repas était enfin prêt. Et j'étais allé chercher Hervé dans la chambre et à ma grande surprise il était en plein action avec sa soi-disant cousine la position sur laquelle je les avais trouvé, je ne vous dit pas. Et elle était la et prenais plaisir à ce qu'on lui faisait ??
Moi: hum hum hum faisais-je pour susciter leur attention.
Orlane : le petit déjà est prêt ??
Disait-elle sans aucune honte. Sans complexe
On dirait qu'elle trouvait normale de faire une telle chose avec le mari des autres. Ce n'était pas que j'étais jalouse loin de là mais pour moi c'était inconcevable d'entretenir les relations sexuelles avec le mari d'autrui sur leur lit conjugal. J'étais juste dégouté. Je ne cherchais pas à savoir ce que faisait les deux autres parce que je ne voulais pas qu'il croise mon chemin puisque j'avais eu assez de traumatisme comme ça. Je ne voulais plus avoir d'embrouille avec personne raison pour laquelle j'avais opté pour le silence face à tout ce qui m'arrangeait ou pas... J'avais pris place sur un siège au séjour j'étais assise comme une malheureuse veuve et orpheline je ne pensais à rien. J’étais juste perdu dans je ne sais quel nuage lorsque je fus interrompu par Hervé qui était en pleine discussion avec un homme au téléphone. Lorsqu'il s'était approché de moi, j'avais reconnu la voix de mon père
Hervé : il veut causer avec toi. disait-il en me donnant le téléphone.
J'étais d'ailleurs surprise qu'il veuille me parler,
Moi : salut
Mon père : ça va bien dans ton mariage j'espère ???
Moi : tu es sérieux là papa ?? Tu m'as obligé à épouser un psychopathe.
Mon père : je ne sais pas de quoi tu parles. J'espère que tu n'as pas copié les mauvaises habitudes de ta mère parce que si c'est le cas c'est normal que ton époux te mette sur le droit chemin
Moi : En pleure. Pourquoi papa. Ce n’est pas ma faute si ma mère t'a trompé.
Mon père : Mais c'est à cause de toi que je déteste l'homme que je suis devenu.
Moi : comment peux-tu dire une chose pareille ?? Je n'ai rien avoir avec ce qui s’est passé avec ma mère
Ma mère : ohhhhhh ma chérie tous les mariages ont des hauts et des bas. Je suis certaine que tu finiras par gagner le cœur de ton époux et vice versa.
Moi : cela n'arrivera jamais maman tu comprends ?? Jamais
Ma mère : tu as besoin d'être calme pour réfléchir demande la permission a ton mari de t'amener prendre l'air tu en as besoin pour mettre de l'ordre dans tes idées.
Moi :JE NE VEUX RIEN DE TOUT ÇA, OK. JE VEUX JUSTE QUE TU ME LIBÈRES DE CETTE GALÈRE DANS LAQUELLE TU M'AS MISE disais-je en lui criant au téléphone au point de le jeter au mur...
Hervé : madame tu sais combien m'a coûté ce portable ???
Moi: désolé
Disais-je toute timide en allant prendre le téléphone pièce par pièce pour le remettre en état. J'avais allumé le téléphone pour me rassurer que ça fonctionne encore bien. C'est avec la main sur la poitrine que j'avais sorti ce ouf de soulagement avant de lui remettre le téléphone... Heureusement j'ai échappé à une paire de gifle me disais-je intérieurement.
Hervé ayant suivi la conversation puisque c'était sur haut-parleur, il avait engagé un garde du corps pour m'amener prendre de l'air en me faisant faire le tour de la ville. C'était ma première fois de sortir de la maison depuis que j'étais arrivée. J’admirais la beauté et le paysage de cette ville magnifique. J'avais profité au maximum de cette balade , parce que j'en avais profité pour m'échapper.
A suivre...