Darel
Je b***e sa bouche pendant un moment sans parvenir à atteindre l'o*****e. Je me retire de sa bouche et la relève. Je dégage Estrella pour avoir plus de place. Elle s'installe dans mon fauteuil et enlève son dessous, elle le regarde en se doigtant. Je fais courber l'esclave et je la pénètre sans tarder. Elle pousse un hurlement, je regarde la chatte d'Estrella bien ouverte et je continue de b****r cette chatte si vierge, si chaude. Hum... elle est bonne. J'ai fini par déverser en elle tout ce que j'avais. Je me retire et la jette par terre.
Elle tombe par terre, inconsciente. Estrella continue de prendre plaisir en le regardant, je la regarde faire alors que mon sexe est toujours aussi tendu.
- Tu vois bien que ces esclaves ne peuvent pas te supporter. Elles sont trop faibles et surtout inexpérimentées. Et surtout inexpérimentées. Elles ne savent pas comment te faire plaisir. Laisse-moi te faire plaisir, je suis tout à toi. Elle se relève et s'installe sur la table, les cuisses grandes ouvertes.
— Vient te nourrir de moi, mon roi !
J'avance et la pénètre brutalement. Elle pousse un petit cri, il faut dire qu'avec ma taille elle le sent passer, mais elle est plus habituée que les autres.
- Tu m'as manqué ! Tellement...
- Hummm...
Je m'empare de ses lèvres et je l'embrasse furieusement. Elle attrape mes cheveux et me presse contre elle. Je continue de la prendre sauvagement, la force de mes coups la projette contre la table.
Je me retire et la retourne, avant de la pénétrer sauvagement :
- Ho... mon roi... Oh oui...
Je m'agrippe à sa hanche et y mets plus de force.
- Ho... mon Dieu... Hum...
Je finis par jouir une deuxième fois. Elle avait déjà joui au moins trois fois.
Je me retire et ajuste mon pantalon.
- Demande aux servantes de la ramener dans sa cellule.
— Bien, mon roi.
Je la laisse dans le bureau pour aller prendre une douche.
J'ai eu une enfance assez heureuse, mais au fond de moi, tapis dans l'ombre, se cache une noirceur dont je ne saurais dire le nom. J'aime faire du mal, j'aime sentir mes partenaires souffrir le martyre pendant l'acte ; je ne sais pas pourquoi, mais cela intensifie mon plaisir.
Je prends ma douche et je vais manger.
Emily
Mon pied m'a fait souffrir toute la nuit.
Au petit matin, je souffrais atrocement.
- Mathilde : « J'ai vraiment mal aux pieds. »
- Tu l'as bien cherché, ça t'apprendra à te blesser intentionnellement. Il faut attendre que Adine arrive, elle pourra t'apporter des médicaments.
- J'ai vraiment mal, j'ai l'impression que mon pied est enflé.
Une heure plus tard, la vieille dame arrive enfin. J'ai très mal.
— Bonjour tout le monde. Comment vas-tu ma petite ?
- J'ai très mal, mon pied est enflé.
— Je vais te chercher des médicaments. Je vais en informer le roi.
Elle revient avec des tubes de bandages et de médicaments.
Je les prends et Mathe me fait un pansement.
- Tu vas rester dans ta cellule pendant cinq jours le temps que ton pied soit guéri.
- Merci beaucoup, madame.
- Tu as intérêt à faire plus attention.
Je le ferai, madame.
- Mais tu ne peux pas rester toute la journée seule ici alors que les autres seront au champ. Je reviens te chercher dans une heure pour que tu m'aides dans la cuisine.
- D'accord, je serai prête.
Elle s'en va et je dis à Mathilde :
- Je ferai tout pour ne plus travailler dans les champs.
- Et comment comptes-tu t'y prendre ?
- Je ne sais pas encore, mais je ferai tout pour y arriver. Bonne chance à toi. Si tu trouves une solution, pense à moi, surtout, ne m'oublie pas.
Trente minutes plus tard, elle part avec les autres au champ. Je ne comprends pas pourquoi il nous envoie au champ, alors qu'il y a maintenant des machines qui peuvent faire le travail à notre place. Pourquoi sont-ils aussi avares ?
Nous sommes dans l'un des pays les plus développés du monde, en Australie. Nous avons tout ce qu'il nous faut. Même si nous sommes entourés de forêt, nous avons la télé et nous pouvons voir toutes les nouvelles technologies avancées actuelles. Alors que nous sommes dans l'une des villes les plus grandes et les plus riches du pays, que font-ils de toute cette richesse ? Pourquoi y a-t-il encore des esclaves dans la tribu des loups ? Alors que partout les hommes sont libres ? Pourquoi devons-nous être des esclaves ? Ce n'est pas normal. Je lui dirai mes quatre vérités, à cet imbécile de roi. Il entendra parler de moi. Qu'il se tienne bien. s****d, truand, incapable. S'il était capable de faire quelque chose de ses dix doigts, il n'aurait pas d'esclaves.
Adine vient me chercher, et je boîte en entrant dans cette grande maison. Je n'ai jamais mis les pieds à l'intérieur. Tout est si beau ici. Je regarde autour de moi avec émerveillement. J'ai l'impression d'être dans un autre monde.
Tout est en or ici, en or ! Alors que nous, là-bas, dans nos cellules, n'avons rien à manger. Ils sont vraiment méchants !