bc

APPEL DE L'OCÉAN

book_age12+
112
FOLLOW
1K
READ
reincarnation/transmigration
kickass heroine
confident
prince
princess
mystery
bold
highschool
another world
war
like
intro-logo
Blurb

Dans un monde où la plupart des croyances ne sont tournés que vers les progrès scientifiques et techniques, il est difficile de croire en l'existence d'un autre monde.

- Tout ça, ce sont des foutaises. Moi, je ne crois qu'en ce que je vois. Mon smartphone par exemple...

Un monde parallèle à celui que nous connaissons, mais qui existe bel et bien.

Fils unique à mes parents, à mes 17 ans, j'ai dû voir toute ma vie se bouleverser avec la rencontre d'une mystérieuse créature dont pour moi l'existence ne relevait que du conte de fée.

- Mais, qu'est-ce que tu es ? Qu'est-ce que tu me veux ?

Mes origines, ainsi que des réalités dont j'ignorais l'existence m'ont été dévoilées.

- Je l'ai su dès l'instant où j'ai posé mon regard sur toi.

- De quoi tu parles ?

Il faut que je fasse un choix, mais tellement de choses sont en jeu, elle dit que c'est mon destin, mais comment savoir que c'est la vérité ?

- Je t'en prie. Entend l'APPEL DE L'OCÉAN.

Je m'appelle Dilane et ceci est mon histoire.

chap-preview
Free preview
Au commencement
Laissez-moi vous dire avant de commencer à vous raconter mon histoire, qu'avant que tout cela n'arrive, y a des années de cela, j'étais moi-même septique à l'idée de l'existence d'un monde différent de celui que vous et moi connaissions. Pour tout vous dire en ce qui me concerne, pour moi, tout ce qu'on pouvait raconter à propos était soit des contes pour fée, soit c'étaient des histoires juste pour faire peur aux plus petits ou bien aux personnes trop curieuses. Laissez-moi également y ajouter que même en cet être unique d'Israël j'y croyais juste parce qu'il fallait bien croire en quelque chose... Mythologie grecque, le coran, le bouddhisme, et j'en passe, moi j'étais totalement septique. Et si on m'avait dit qu'un jour, qu'une suite d'événements devaient me mettre face à cette réalité à laquelle je n'y croyais pas, mais qui bel et bien existait, mais surtout existe encore. Et beuh... Je crois j'aurai rigolé, j'aurai ri à pleine dent. Je suis né avec une cuillère en argent dans la bouche. D'aussi longtemps que remonte mes souvenirs de l'époque, j'ai toujours vécu à l'étranger, en Angleterre. Mais mes parents m'ont toujours dit que je suis né au pays et qu'on l'avait quitté peu de temps après car mon père avait eu une opportunité, j'avais deux ans à ce qu'ils me disaient. Mon père était un très riche homme d'affaire et tout lui réussissait de façon remarquable et quant à ma mère, elle était une femme au foyer. Après tout pourquoi aurait elle travaillée quand elle avait déjà un mari qui lui rapportait tout, s'occupait d'elle comme elle n'en avait jamais rêvé et par-dessus tout l'aimait. Ils s'étaient rencontrés lorsqu'ils avaient à peine de quoi manger tous les jours et ils avaient tout surmonté ensemble. Une véritable romance. Mais bon, ceci n'est pas l'histoire de mes parents, c'est plutôt la mienne. Du jour au lendemain tout s'était effondré et nous devions retourner dans mon pays d'origine. - MAMA : Mon bébé, on va devoir rentrer au pays dans les prochains jours. Ton père traverse depuis quelques mois une situation difficile et ça vient d'empirer. En faite mon fils, nous sommes contraints de d'abord t'envoyer au pays... Mais ne t'en fait pas, on viendra te retrouver très bientôt. Tu comprends ? Je dois rester auprès de ton père. Au fait, je ne me suis pas encore présenté. Je m'appelle Dilane. Aujourd'hui, je me le rappelle encore comme si c'était hier qu'elle me disait cela. Je devais prendre l'avion pour aller dans un pays que non seulement je ne connaissais pas, mais même le moindre souvenir je n'en avais pas. J'avais alors 17 ans et dans ce pays où j'allais, j'allais faire la classe de terminale et sans vouloir me jeter des fleurs, j'étais plutôt très bon à l'école. - DILANE : Comment ça retourner au pays mama ? Seul en plus ! Pourquoi je ne peux pas rester ici ? - MAMA : Dilane mon fils, s'il te plaît, je t'en supplie ne complique pas plus les choses. Je t'assure que si on avait une autre solution ce ne serait pas celle-ci. Et vois le bon côté des choses mon bébé, tu pourras ainsi connaître ton pays et les membres de ta famille qui y sont. Je n'avais toujours que vécu avec mes parents aucun oncle, aucune tante rien que papa et mama jusqu'à ce jour. Je les aimais tellement et c'était pour cette raison que je n'envisageais pas les laisser et partir, mais j'étais quand même déjà assez grand pour comprendre que la seule façon dont je pouvais les aider était de ne pas davantage leur compliquer la situation. Et puis de toute façon, ma mère m'avait dit qu'ils viendront bientôt me retrouver. Je la croyais parce que c'était ma mère et je savais qu'elle ne me laisserait jamais plus d'une année loin d'eux. Ils allaient à coup sûr trop me manquer, mais comme je vous les dis, d'une certaine façon, j'avais déjà la maturité nécessaire pour comprendre que dans la vie des choses sur lesquelles le contrôle nous échappe peuvent aussi nous arriver. - MAMA : Tu iras chez le grand frère de ton père, c'est un homme très gentil. C'est de loin le seul qui nous avait apporté son soutien. Et tu verras, il vit dans une très belle maison. C'est ton père qui l'a aidé à construire sa demeure. - DILANE : J'aurai quand même aimé que tu viennes avec moi... Papa est de loin l'homme le plus fort que je connaisse... Il s'est imposé dans ce pays tout seul. Et moi j'ai peur de rentrer me retrouver seul dans mon propre pays. - MAMA : Noon ne dis pas ça. Tu l'as toi-même dit, c'est un homme fort... Et devine quoi ? - DILANE : Quoi ? - MAMA : Je connais son fils et il est exactement comme lui. Puis son téléphone se met à sonner. - MAMA : Oulaaarr ! Dans cette conversion, j'ai oublié de te dire le plus important. C'est ton oncle qui appelle, je vais vous laisser échanger un peu d'accord ? Je vais à la cuisine préparer quelque chose pour ton père. Heureusement j'étais parfaitement bilingue, car comme vous le savez en Angleterre on échange qu'en anglais je ne parlais le français que très rarement avec mes parents, mais ça allait bientôt changer... En commençant par ce premier échange avec ma famille. Conversation sur Skype. - DILANE : Hello everybody's... Morning ! - ONCLE : Mon fils, pardon laisse nous tes choses là... Nous ici, c'est le français qu'on parle seulement avec le patois. - DILANE : Mes excuses tonton, question d'habitude. Bonjour tout le monde ! - ONCLE : C'est comment alors ? Mais c'est que tu as grandi hein... Tu marchais à peine la dernière fois que je t'ai vu. - DILANE : Dommage que je n'aie aucun souvenir. Vous m'avez tous l'aire sympa. - ONCLE : Tu vas te plaire ici mon garçon... C'est ma famille, ma femme Tiffany qui sera aussi ta mère ici... Là ce sont mes diablotins Junior vous devez avoir le même âge ; Marie Louise la top-modèle de la famille et Amanda la dernière, c'est la patronne de la maison... Elle vient d'avoir 4 ans. - AMANDA : Papa c'est qui là bas ? - ONCLE : C'est ton grand frère... Demande-lui alors son nom. - AMANDA : Tu t'appelle comment ? - DILANE : My nam... Pardon. Je m'appelle Dilane. - AMANDA : Aaahnn ! Tu es où ? - DILANE : Je suis en Angleterre. - AMANDA : C'est où ? Papa il est chez les gens qu'on voit souvent à la télé là ? - ONCLE : Héhéhé ! Oui oui et bientôt il va venir rester avec nous. Donc Dilane tu viens quand ? L'école a déjà repris ici tu vas donc prendre l'année en cours seulement. - DILANE : Je ne suis pas inquiet pour ça tonton. Et dès que tout est prêt ici je prendrai l'avion. - ONCLE : Okay... Bon on va te laisser. Porte-toi bien et embrasse tes parents. Maintenant que je savais un peu avec qui je devais vivre je me sentais un peu moins tendu. Je suis retourné voir ma mère après cela. - DILANE : Je vais très certainement m'y plaire là-bas mama. - MAMA : Voilà, qu'est-ce que je t'avais dit ?! Tu as vu Junior ? Vous avez le même âge... Tu devrais particulièrement bien t'entendre avec lui. - DILANE : Oui, lui aussi je l'ai vu. Et il m'a également paru sympa. - MAMA : Tu vois que tu n'avais pas à t'en faire... En plus où ils vivent là-bas c'est aussi très beau... Et cet endroit est rempli de mystère... Tu n'en sais rien parce que tu n'as pas grandi là-bas, mais je t'assure que tu devras te méfier de tout ce qui te paraîtra étrange ou hors du commun. - DILANE : De quoi est-ce que tu parles mama ? Tout ça, ce n'est rien que des trucs pour faire peur... Comme ces films d'horreur et autre. - MAMA : Non non, c'est très sérieux, là où tu vas, tu devrais prendre ces choses aux sérieux mon fils d'ailleurs ton propre père en a été victime... Car ils vivent à... Pendant que nous étions en train de parler, mon père entra et dans son regard se lisait sa détresse lui qui avait toujours su tout camoufler. Il était sorti comme tous les matins dans son costume, mais était rentré ce soir pour la première fois avec sa veste en main, sa cravate desserrée, les deux premiers boutons de sa chemise ouvert. Ma mère l'avait tout de suite comprise, et elle s'était rapidement débarrassée du tablier de cuisine qu'elle avait pour suivre mon père dans son bureau. Avant ça, ma mère avait essayé de me parler des choses étranges qui se passait dans mon pays, mais précisément dans cette localité où j'allais désormais y vivre. Mais bien sûr rien de ce qu'elle pouvait me dire à propos n'était assez pertinent pour me rendre moins septique à propos de tout cela. Moi, ce qui m'attristait pour le moment était d'avoir vu mon père dans cet état, mais bien-sûr aussi le fait de devoir les laisser comme je ne les avais jamais quittés. En plus de ça, tout ceci avait été très soudain, je n'ai pas eu le temps de psychologiquement me préparer qu'il fallait que je quitte l'Angleterre pour mon pays d'origine. Après ce soir, un jour lorsque je rentrais de mes marches, c'est ma mère qui m'avait accueillis avec mes valises et mon billet d'avion, c'était le jour j. C'était alors que j'avais pu à nouveau revoir mon père, la veille ou bien à quelques heures de mon vol. J'étais dans ma chambre en train de prendre des dernières choses puis il entra. - PAPA : Alors mon président, ça va ? - DILANE : Ah ! Papa, j'ai failli croire que je partirai sans te parler. - PAPA : Content de t'avoir déçu fiston ! Je me suis avancé près de lui et il me prit dans ses bras. Il était juste venu me dire au revoir dans ma chambre. Je savais qu'il n'allait pas mettre long, ce câlin je ne me souvenais même plus de la dernière fois qu'on s'en était fait un avant cet autre. - PAPA : Appel moi si un jour tu rencontres des soucis là-bas. Je suis fière de toi fiston... Je veux dire de ta compréhension. Il posa sa main sur ma tête et sortit de ma chambre. Pas besoin de vous dire quel point il était triste. Je pense que ce qu'il l'affectait le plus de devoir m'envoyer loin d'eux parce qu'il n'envisageait aucune solution et voulait m'éloigner de tout ça. Le vol était prévu pour 22 h du lendemain. C'était ma mère qui était venue me chercher dans ma chambre ont sorti avec mes valises et qu'ont mises à l'arrière de son véhicule, celui de mon père avait déjà été saisi. On roula jusqu'à l'aéroport et ma mère était restée avec moi jusqu'à ce qu'on commence à embarquer. Je me levai prêt à partir et elle me dit ses derniers mots avant qu'on ne se sépare. - MAMA : Prends soin de toi mon bébé. Et n'oublie pas ce que je t'ai dit... Fais attention à tes fesses, là bas la nature ne dort pas. Ok ? DILANE : Oui oui mama... Je ferai attention à mes fesses et à toutes les autres parties de mon corps. Il faut que j'y aille maintenant, l'avion ne va pas m'attendre... Sauf si... - MAMA : Vas y mon bébé. Dit-elle en larme. Je vais pour embarquer dans l'avion, et peu à peu en retournant je peux apercevoir sa silhouette disparaître au fur et à mesure que je m'éloigne. À la fin je finis par couler quelques larmes… Je n'arrivais toujours pas à croire que j'étais en train de quitter mes parents, ceux avec qui j'ai toujours vécu. Pour moi, c'était juste trop tôt. Dans l'avion après le décollage, je n'avais pas tardé à m'endormir, nous n'avions pas fait d'escale alors se fût la voix d'une hôtesse qui me réveilla. - HÔTESSE DE L'AIR : Monsieur, veuillez attacher votre ceinture, on va bientôt atterrir. Les minutes qui ont suivis, l'avion atterrissait et une fois encore la voix de l'hôtesse de l'air. - Chers passagers, bienvenue au Cameroun. Nous sommes à l'aéroport international de Douala, il est 9 h 43, la température extérieure est de 30°. La compagnie de transport aérien #### vous remercie.

editor-pick
Dreame-Editor's pick

bc

Le fils du patron

read
156.5K
bc

Mon garde du corps ( Un peu trop sexy)

read
15.2K
bc

La mariée de substitution [Complété]

read
5.7K
bc

Âme sœur

read
3.2K
bc

Le prix de ma cupidité

read
10.4K
bc

Un bébé pour Mia

read
36.9K
bc

Le contrat

read
35.4K

Scan code to download app

download_iosApp Store
google icon
Google Play
Facebook